Connaissance Vulgaire

ce qu’une œuvre d’Art ? L’opinion générale pourrait décréter qu’une œuvre d’Art doit être considérée en opposition avec une œuvre banale, dit objet de consommation, dans la mesure où on ne se figure pas de la même manière un chef d’œuvre, et un vulgaire objet. Sur quoi repose cette distinction ? Ou est la frontière ? Qu’est ce qu’une œuvre d’Art ? Nous verrons dans un premier temps la distinction entre ce que l’on nomme une œuvre d’art et l’objet pur et simple du quotidien, mais aussi où est

transposition didactique pose le problème de la continuité entre le degré de scientificité des savoirs, de l’intérêt de tel ou tel autre contenu et le milieu culturel dans lequel il se construit. La vulgate vient du latin «vulgata», qui signifie «vulgaire» au sens de commune. Ce terme viendrait de Bacon, R. dans le cadre de la traduction de la Bible en latin. Cette traduction serait de Stridon au début du Ve siècle. L’Église catholique, au Concile de Trente, l’a authentifié. La «vulgate» est, le

sympathie physique qui, lors de la maladie de sa femme, « lui faisait ressentir en lui-même les affreux sursauts de son coeur ». Tout cela est obscur, pas raisonné, pas voulu ; à peine su ; très réel néanmoins. Et il n'y a rien ici de la férocité vulgaire du bourgeois avide ou du fêtard cynique. Ces égoïsmes-là se documentent infailliblement par le respect et l'amour exagérés de la richesse. Or, le mépris dans lequel Michel tient l'argent et la propriété est un gage certain de la hauteur de son esprit

le poids de l’environnement et des structures est suffisamment intégré dans la logique d’acteur, pour qu’il puisse s’attarder sur ses objectifs, ses stratégies, ses logiques afin d’expliquer les comportements sociaux. LES OBSTACLES A LA CONNAISSANCE Selon Bacon (1561-1626), il faut combattre les préjugés qu’il nomme idoles. Il en distingue trois catégories: - celles qui tiennent à des généralisations abusives et à l’imagination, et qui engendrent de fausses sciences comme l’astrologie

l’international)  ; désir d’abolition de l’asservissement d’un humain à un autre (communisme, libéralisme), égalité (des chances notamment : Préface à la Trad. du Nouveau Testament où il est stipulé que la Bible doit être traduite dans une langue « vulgaire » de sorte que chacun puisse s’en instruire, sans exception // accès obligatoire à l’école, dans les pays plus développés : pour chaque enfant de moins de 16 ans en France (selon la loi) et souhait de beaucoup qu’il le soit dans tous les pays du

Notes : Lord Henry semble être quelqu’un de moqueur : Il critique souvent d’autres personnes. Dorian Gray semble être un jeune homme parfait. II chapitre : Basil fait un portrait de Dorian Gray qui, quant à lui profite de ce temps pour faire connaissance avec Lord Henry. Lord Henry le met en garde contre le temps qui est « l’ennemi de la jeunesse ». Le tableau de Basil est magnifique mais Dorian se plaint : il a peur du temps, il craint de devenir vieux, il envie ce tableau qui sera immortel et

silhouettes associées, il y’a une présentation des personnages qui n’est pas objective mais subjective grâce aux images. Le chœur est un personnage qui transcende le temps, mémoire du passé, témoin du présent et annonciateur de l’avenir, cela montre la connaissance du personnage enfant par son souvenir, Blazius donne les caractéristiques de Perdican et des espoirs de la pièce et le mot « cœur » revendiqué au centre de la scène est le point central de la pièce. Instrument = liberté, vérité, pris dans les filets

pas certain. Il s'intéresse dès lors au "livre du monde" pour en acquérir une expérience, mais réalise finalement que tout connaître des siècles passés et des différents peuples éloigne du siècle présent, c'est pourquoi il se replie sur une connaissance qui ne pourrait être plus proche de lui que lui-même en décidant une sorte d'introspection. » "Ainsi mon dessein n'est pas d'enseigner ici la méthode que chacun doit suivre pour bien mener sa raison : mais seulement de faire voir en quelle

obtenue que par une bonne connaissance de soi-même. Mais peut-on réellement se connaitre soi-même ? Cette recherche de connaissance entraîne le sujet à réfléchir et à prendre conscience de certaines de ses réactions ou émotions qu'il tente par la suite d'expliquer. Se pose alors le problème de la capacité d'explication lié par exemple à la limite du langage ou à celle des moyens utilisés. Alors, sommes-nous réellement les mieux placés pour nous connaître ? Cette connaissance peut-elle être complète

elle est permise puisqu’elle n’est qu’une annonce, et pas un argument. Dans la deuxième phrase, Spinoza pose la nature du but recherché par l’homme : la sécurité – but en soi pour le vulgaire qui reste au niveau de l’obéissance, moyen d’atteindre la béatitude pour le sage, qui s’intéresse au troisième genre de connaissance. Spinoza s’apprête à prouver en quoi les appétits empêchent la sécurité ( “ en outre ”). Pour cela il utilise une méthode de calcul logique : pour démontrer qu’une proposition est