Connaissance Empirique

plan pratique) de connaissance, en considérant toutes les autres formes traditionnelles de savoir et de savoir-faire comme inférieures et dépassées au regard des possibilités sans cesse renouvelées que la rationalité scientifique offre à l’humanité. Qu’on songe à la médecine ou à la justice, on s’en remet en fin de compte à des « experts » dont l’autorité se fonde sur la maîtrise de démarches rationnelles et hypothético-déductives censées être « scientifiques ». Mais si la connaissance scientifique constitue

à faire de la psychologie, " D’ou viennent nos pensés ? D’ou vient notre connaissance ? " Comment fait-on pour connaître le monde dans lequel on vie ? " D’ou viennent nos pensées, nos connaissances ? " 2 conceptions : " -Platon 447-327 avant JC -Aristote 384-322 avant JC " La réalité réside dans le monde concret des objets auxquels on a accès par nos sens -> selon Aristote Notre connaissance de la réalité vient de se qu’on explore avec nos sens, Avec nos sens on explore

disqualifier la sensation comme origine de la connaissance vraie ? La sensation nous donne-t-elle accès à la vérité ? Ou nous la dissimule-t-elle ? On trouve la thèse de la sensation comme dissimulation de la vérité notamment chez les auteurs qui accordent un rôle privilégié à la raison dans la connaissance. Dès l’Antiquité, en particulier dans l’idéalisme platonicien, on trouve une disqualification de la sensation comme instrument de la connaissance. Quels sont les arguments mobilisés par Platon

donc être alimentées par des recherches documentaires, car aucune analyse ne peut se construire sans une base solide de connaissances. Nous voulons rompre avec l’idée que seul le terrain et l’expérience de terrain construit les compétences des managers (prise de recul permettant de rompre avec des idées préconçues). L’expérience de terrain accompagnée d’une solide connaissance théorique participe à l’amélioration du « savoir être » et facilite une employabilité dans le secteur et l’activité choisie

Troisième partie : le pb de l’empiricité et le fondement de la connaissance. 1. la solution kantienne : le recours à l’a-priori. Il ne faut pas que tte notre connaissance dérive de l’expé. L’empirisme a tord : l’universalité des énoncés universels de la science suffit à montrer l’existence de principes cognitifs indpdt de l’expé, cad a priori. Que pouvons nous connaître a priori du monde ? Pas son contenu, pr cela l’expé empirique est nécessaire. Ns connaissons a priori la forme du monde : sa

Méthodologie
de
la
recherche ‐ Des
enseignants
chercheurs
spécialisés
et
experts
dans
le
domaine
de
recherche
concerné
par
la
quesBon
de
départ.
 ‐ Des
 témoins
 privilégiés
:
personnes
 qui,
par
 leur
 posiBon,
leur
 acBon,
ou
 leurs
responsabilités,
ont
 une
 bonne
connaissance
 du
 problème.
 ‐ Des
acteurs.
 • En
quoi
consiste
les
entreBens
et
comment
y
procéder?
 
 Les
 auteurs
 décrivent
 ensuite
 la
 forme
 d’entreBen
 la
plus
 «compaBble»
 avec
 les
entreBens
exploratoires
 :
les
 entreBens
 semi‐direcBfs.
 
 Il
faut

diffère de la méthode expérimentale ; qualifie la démarche du médecin au chevet du malade. Ensemble d’observations portant sur l’individu (le groupe ou la situation), son histoire (anamnèse) et l’interprétation, grâce au sens clinique (expérience, connaissance, intuition) des symptômes examinés. Aussi : étude par expérience directe des groupes restreints et des situations individuelles, souvent par relation directe de l’observateur avec les êtres observés. • COMPLEXITE : notion recouvrant plusieurs

savons-nous pas dire ce que nous voulons? Kant soulève ici une contradiction entre «les éléments» faisant partie du concept du bonheur et «l’idée du bonheur» elle-même. En effet, il affirme que les éléments faisant partie du concept du bonheur sont «empiriques», c’est-à-dire qu’ils s’appuient uniquement sur l’expérience sensible (qui peut être perçu par les sens), alors que l’idée du bonheur en elle-même suppose l’absolu. Le bonheur devrait donc exister par lui-même et pour lui-même. Dans ce cas, l’idée

Définition présupposée de la science qu’il puise de l’antiquité grecque, Aristote : il n’est de science que de l’universel. Et c’est en s’appuyant sur cette définition que Schopenhauer Thèse du texte : l’histoire n’est pas une science, c’est une connaissance basée sur des faits singuliers, tandis que les sciences Thème : L’histoire peut elle prétendre avoir la même valeur que les autres sciences ? Thèse : il est impossible pour l’histoire de prétendre au statut d’une science et ce non pas pour

progresser dans la lecture - Facilite l’élaboration des hypothèses de travail en tant que propositions de réponse à la question de recherche L’exploration : les lectures (1)  Les bonnes questions pour orienter les lectures ? • Quelles sont les connaissances établies ? • Quels sont les cadres théoriques ? • Quels sont les auteurs ? • Autres études déjà conduites sur le sujet ? • Avec quelles méthodologies, et pour quels résultats ?  Les axes de lecture ? • Ouvrages de référence ? • Actualité scientifique