Complicité Lecteur Narrateur

pencherons sur la description de la société du XVIIIème. Tout d'abord il est necessaire de préciser que le narrateur de ce récit est omniscient, cependant, celui-ci passe de nombreuses fois en focalisation interne, que ce soit à travers le personnage de Grenouille ou celui de Baldini par exemple. De plus, le narrateur fait preuve de complicité avec le lecteur notament en utilisant une sorte de complicité avec le pronom personnel "nous". Jean Baptiste Grenouille ne peut être percu que comme un psychopathe

plus. Conclusion : cet autoportrait n'est pas mélioratif (positif), l'auteur ne cherche pas à se valoriser mais il n'est pas péjoratif non plus (sa santé le contente), c'est donc un jugement lucide sur lui-même. Il demande à son lecteur un peu d'implication (on n'est jamais entièrement content de son physique) et de l'empathie pour sa vieillesse qui nous arrivera un jour. Carpe diem : « cueille ce jour », profite de la vieRédaction : pastiche du texte de Montaigneun pastiche

FOCALISATIONS révèlent la position du narrateur (qui raconte ?) et son niveau de perception : • focalisation 0 = narrateur omniscient (foyer de perception indécelable). • focalisation interne = la narration se limite au point de vue d'un personnage. • focalisation externe = le narrateur est une sorte de témoin ignorant. - ces points de vue entraînent un jugement implicite ou explicite du narrateur sur les personnages et une participation différente du lecteur à l'action : registres réaliste, comique

– Le ravissement de Lol V. Stein- Extrait n°1: Incipit Introduction: En 1964 , 20 ans avant que Margurite Duras reçoive le prix Goncourt avec l'Amant , paraît Le ravissement de Lol V. Stein , titre énigmatique. Au fil de la lecture , le lecteur peut s'amuser avec le titre. Le roman nous conte l’histoire de Lol V. Stein, une jeune femme qui semble avoir perdu la raison après six mois de fiançailles pour avoir vu, lors d’un bal, son promis succomber en un instant à un irrévocable coup de

L’analyse du récit permet de retracer l’itinéraire tragique d’un boy en deux étapes: les deux cahiers du journal. a.       Le premier cahier Il trace l’itinéraire de victimisation du héros qui, se sentant exclu des siens, s’enfuit sous la complicité de sa mère, pour rejoindre le père Gilbert à la mission catholique. Jacques Chevrier explique qu’ Oyono a assis son récit sur un schéma tragique, qui va de la mort du Père Gilbert à celle de son protégé Toundi, en passant par la méchanceté de son

correspondances) -récit autobiographique (Sylvie, on retrouve les souvenirs du Valois) -des nouvelles (les filles du feu) -un roman (chapitres sous Sylvie et Jemmy) différence entre Sylvie et Jemmy: sylvie, narrateur interne et récit qui peut évoquer un récit autobiographique et dans Jemmy, narrateur externe et récit hétérodiégétique -le théâtre (Corilla. Nom italiens, typiques aux pièces de théâtre à cette époque comme Hernani de Hugo et chez Musset). On le retrouve aussi chez Angélique: sorte de

- BURLESQUE : Décalage entre la tonalité et le sujet traité dans un texte => (comique exagéré) - COMIQUE : Amuser le lecteur. Créer une relation de complicité entre le lecteur et l'auteur ou le lecteur et un personnage => (Jeux de mots, Maniement du double sens, Incongruité du vocabulaire et des expressions, Décalage entre l'apparence ou le langage et le caractère, la situation, Redondance de mots ou de situations, Sous-entendus, Ironie, Parodie, Autodéri- sion) - DIDACTIQUE : Transmission

Aussi, on remarque la présence de nombreux bruits et de lumières faisant référence au domaine de la fête : «des feux Bengale, des pétards » (ligne 246), « de ce bruit et de ces lueurs » (ligne 248). De plus, cette scène se déroule la nuit, le lecteur s’imagine ainsi le jeu d’ombre et de lumière provoqué par les torches et les feux d’artifice : « cent torches éclairaient soudain la folle » Enfin, le public est à la recherche de sensations évoquées, à la ligne 242 : « les plaisirs » ou à la ligne

La figure du narrateur Comme dans une relation de voyage, se distingue par deux caractéristiques majeures : – son héroïsme : il arrive dans l’inconnu, seul : « Je restai bien surpris de me voir tout seul au milieu d’un pays que je ne connaissais point ».Ce qui permet la dramatisation du voyage. – son apparente neutralité : L’utilisation de la première personne. Un regard distancié de l’auteur dans la cadre de l’utopie garantir la crédibilité. b) L’image que donne le narrateur de ce nouveau

mesure. Le narrateur est interne ( nous) , on suppose qu'il doit être un élève. Le conteur donne une complicité avec le lecteur : « Nous étions à l'étude... » , le « nous » s'oppose à « il » qui est Charles.Déja nous avons une impressions que Charles est exclu de sa classe , ses camarades , de sa narration; Mais aussi par le lecteur du titre Madame Bovary , nous nous attendions à avoir la description du personnage principal , de la fameuse Emma cela crée déjà un rejet avec le lecteur; Nous retrouvons