Complicité Lecteur Narrateur

Période 5 : la littérature engagée Le registre pathétique consiste à inspirer un sentiment de compassion, de pitié au lecteur. La situation d’énonciation comprend un émetteur qui livre un énoncé écrit ou oral à un destinataire dans un lieu et à un moment donné (maintenant, ici) Le discours direct se caractérisé par l’utilisation de verbes de paroles, des deux points, des guillemets, de verbes au présent, passé composé, futur de l’indicatif et à l’impératif. Le discours indirect se

certaines exigences du lecteur. Une autre question non résolue est celle de la limite de l’incipit : première ligne, premier chapitre, première apparition du personnage éponyme ? I. Les conventions de l’incipit et la parodie diderotienne Diderot joue d’emblée avec les quatre fonctions que nous venons d’évoquer. A. La prise à partie de son narrataire Il instaure une relation d’autorité mais aussi de complicité avec lui : " Que vous importe ? ", " Vous voyez, lecteur... ". L’objectif serait

2) Ce que révèle cette scène au lecteur.   II. Développement :   1)      Le jeu subtil des points de vue : a)      Qui raconte ? → pronoms personnels : sujet ou complément ( je ↔ me ; nous ↔ nous ; il ↔ lui, se …). « elle », « il », « le », « la » = 3e pers. du singulier + vision illimitée (dans les pensées de Mathilde) = narrateur omniscient mais il rester à l'extérieur de Julien, il commente l'attitude de Julien « mépris le

apologue ? Nous verrons que ce texte est un récit dont la visée est argumentative dénonçant deux fléaux du temps de Voltaire. L’apologue est avant tout un récit, c’est une histoire avec des personnages dans un cadre défini. Voltaire est le narrateur, donc cet extrait est bien un récit. Dans ce dernier, les actions s’enchainent, les péripéties se suivent, ce qui est caractéristique du genre narratif, lui-même caractérisé par le récit. Le passage est raconté par l’auteur, du point de vue de

(Problématique : Comment cet incipit met-il en place l'univers du récit de manière à surprendre le lecteur dans ses attentes vis-à-vis du genre romanesque ? ) Analyse : I Un incipit dynamique et efficace. a) Efficacité d'un incipit en mouvement. Incipit : provoque un certain nombre d'attentes chez le lecteur doit accrocher le lecteur → élément-clé du roman Personnages : décrit avec beaucoup de détails qui sont très précis

à la situation d’énonciation initiale, qui fait un bilan sur l’œuvre, une conversation entre le narrateur et son public, qui clôt l’œuvre. LECTURE Mouvements du texte : 1/ …. « que celles qui pouvaient l’amuser » : réaction du lecteur naïf et exigence du divertissement 2/ « Quand les choses que vous avez racontées » … «la répétition continuelle et inévitable du fond » : réaction du lecteur critique et la problématique du portrait de mœurs 3/ « En effet, dit le sultan » … fin : clausule

Synthèse Français : Examens décembre Le champ sémantique : C’est l’ensemble de significations de ce mot, dans différents contextes, à une époque déterminée. Ex : « amour » (passion, confiance, complicité, etc...) Le champ lexical : c’est l’ensemble des mots associés à une notion toujours à une époque déterminée. Ex : « pomme » (fruit du pommier, une personne «  c’est pour ma pomme », etc…) Autobiographie : écriture par un auteur de sa propre vie. Biographie : écriture de la vie d’une

Albert Camus ⇨ En quoi ce début de roman apparaît-il comme déroutant ? I- Une narration déroutante par les choix narratifs opérés Narration à la P1 : narrateur perso en principe associé à PDV interne qui devrait nous donner accès aux pensées du perso. Or pas de cela ici. 1) le narrateur se contente d’enregistrer Comme si on était plus proche d’un PDV externe. ⇨ La nouvelle de la mort de sa mère ouvre le texte : brièveté de la phrase : simple constat

scène provient du jeu de regards entre le narrateur et les personnages. Un narrateur omniscient → cité un passage (l.16-17) → Adverbe « longtemps » (l.15) → Il est au courant de leur histoire d’amour. → Verbe de perception permettent de passer du narrateur au personnage : (l.4) croire/laisser paraitre De penser : (l.15) «  il ne put résister à l’envie » (l.29) « elle jugea » Narration : - pronom indéfinie « on » qui inclue le narrateur et le lecteur. - discours direct : phrase de M.de Nemours

défini par l’occurence des termes « à cinquante mille années-lumière de chez lui » aux lignes 2 et 27, à « cette partie de l’univers » (l.6) et au terme péjoratif « cette saloperie de planète » (l.10). Mais le point de vue est aussi omniscient, le narrateur sait tout sur tout comme on le voit à la ligne 1 : « Il avait faim et il était gelé » ou encore « il faisait la guerre dans un monde étranger, en se demandant s’il reverrait jamais son foyer » (l.28). Le texte comporte également des descriptions