Complicité Lecteur Narrateur

souci d’une description fidèle que l’auteur va produire cet effet très réaliste, où toute une méthode est mis en place pour respecter cette « mission ». En plus de cela, on peut constater une forte présence du narrateur par quelques opinions donné par celui-ci ou par interpellations du lecteur. C’est donc cet intérêt de la description qui en fait un œuvre très réaliste. Conclusion : On peut donc conclure que pour représenter la réalité, la description loyal de ce qui nous entoure est une

du texte. C’est une première approche du lecteur vers l’écrivain et c’est pour cela qu’il doit être captivant afin de lui donner l’envie de poursuivre sa lecture. L’incipit répond généralement à des caractéristiques comme le fait qu’il informe et qu’il permet de s’intéresser. Il définit le genre du roman et les choix de narration que l’auteur à choisi. Il doit accrocher et séduire le lecteur puis son attention et sa curiosité. L’adresse directe au lecteur et l'entrée dans l’intrigue. Il crée un monde

va nous divertir et nous éduquer I .Une anecdote plaisante 1) proximité avec le lecteur -il nous expose son avis lors d'intrusions , qui sont fréquentes-utilise un ton un peu familier «  figurez vous quelle consolation , et quel rapport de cette dent au chrétiens , ni au turcs  » il interpelle le lecteur -les intrusions spontanées , s'accompagnent d'un narrateur qui joue et qui est complice de son lecteur , il cherche a le séduire 2) des interventions qui rythment le récit-certaines phrases

vocabulaire et des expressions - Décalage entre l'apparence ou le langage et le caractère, la situation - Redondance de mots ou de situations - Sous-entendus - Ironie - Parodie - Autodérision Amuser le lecteur ,créer une relation de complicité entre le lecteur et l'auteur ou le lecteur et un personnage Didactique : -Vocabulaire pédagogique  - Utilisation du mode impératif et du futur injonctif  - Déroulement logique dans un style simple et précis  - Illustration par l'exemple Transmission

que le narrateur présente l’inconnu comme un grotesque personnage. « vieillard », « des yeux vert de mer ternis en apparence par l’âge », « un front chauve », « une bouche rieuse et ridée », « garni d’une barbe grise »et « les yeux n’avaient plus de cils, et à peine voyait-on quelques traces de sourcils au-dessus de leur arcades saillantes » illustrent le fort emploi du champ lexical de la vieillesse et poussent même à la déformation du visage de ce dernier. Le point de vue du narrateur serait plutôt

surtout la couleur des chemises brunes des soldats nazis pendant la seconde guerre mondiale. Le titre « Matin Brun » est pessimiste et laiise penser que c'est une mauvaise journée qui commence. Résumé de l'œuvre: Deux hommes, Charlie et le narrateur assistent en refusant de s'inquiéter à la mise en place d'un régime totalitaire: l'État Brun. Tout prend cette couleur: chat, chien, journaux...L'État organise progressivement plusieurs interdictions: -suppression des animaux domestiques non bruns

reconvertie en nourrice. Momo est le narrateur de ce récit réaliste, écrit avec beaucoup de recours à l’oralité. L’extrait (p. 195), qui précède l’excipit, où Momo reste auprès de la défunte Madame Rosa dans son trou juif, est globalement tragique avec une note de registre comique par l’utilisation du burlesque. Cet extrait lyrique évoque l’amour, la vieillesse et fait réfléchir le lecteur sur l’existence humaine. Dans cette scène lyrique, le narrateur décrit l’amour en racontant la fin de

Quand se situe cet épisode ? A qui peut-on attribuer l'écriture de ces lignes ? A quel type de texte cela peut-il faire penser ? ] A quel moment le lecteur a-t-il l'explication de ce qui est évoqué dans ces seize lignes ? Quel est l'intérêt d'une telle disposition ? Ces seize lignes en italiques qui ouvrent le récit surprennent le lecteur qui commence le livre : - elles racontent que vers la fin du procès de Maurice Papon, un homme habillé en clown d'abord, puis normalement ensuite

proximité, une manière de raccrocher de prendre la bienveillance et de capter son lecteur. « Les motifs abondés ». Il y a profusion de ragot, on peut toujours trouver des motifs pour trouver du mal à parler de quelqu'un. Il y a accumulation de paroles désobligeante. Il reprend la voix populaire, « Qu'est-ce que c'est cette femme ? [...] cet enfant ? ». C'est une forme d'indirect libre, on ne sait pas si c'est le narrateur ou le locuteur qui parle. On est dans une forme de dénonciation, une forme réquisitoire

l'incipit "progressif" ( laissant des zones d'ombres au lecteur ), l'incipit "dynamique" ( jettant le lecteur dans une histoire déjà commencée ) et l'incipit "suspensif" ( donnant peu d'informations et cherchant à dérouter le lecteur). Je vais vous montrer l'utilité première de l'incipit, contribuer toujours à donner envie au lecteur de lire la suite et par quel procédé il y parvient. Tout d'abord l'incipit annonce le texte, il montre au lecteur le rythme du récit ainsi que son genre ( ex : roman