Complicité Lecteur Narrateur

révèle une articulation des événements très maitrisée Sit initale: mort et preparation des obsèques de la lionne ( v1 a v16) avec digressions de l’auteur v11 et commentaire de 17 a 24 Element pertubateur: le cerf ne pleure pas (v25 etv28). Le narrateur explique sa conduite avec l’analepse v26-27 Péripetie:delation v29 et la condamnation a mort du cerf invention du songe( la reine l’a obligée a ne pas pleurer = prosopopée de la reine qui relance l’interet de la fable) Element de resolution: hemistiche

genre du nouveau roman dont elle est la principale représentatrice. La caractéristique essentielle de ce mouvement est la présentation des moindres sentiments et pensées des personnages à un moment précis. Cet extrait de roman fait découvrir au lecteur une image du rapport ardu entre une mère et son enfant, et nous expose par ailleurs une scène de dispute épineuse entre les deux êtres .C'est pourquoi nous nous proposons de répondre à la question suivante :Comment cet extrait met en scène une

propre espion. La Boétie désire surtout provoquer une prise de conscience. Il veut repousser le peuple dans sesretranchements. Il s’attaque à leur dignité, il cherche à les culpabiliser, pour ensuite les atteindre. Il les accable à travers l’idée de complicité, lignes 14,15. Il désire provoquer chez le peuple un sentiment de honte, les toucher dans leur amour propre. Il veut toucher les gens en tant que parents, lignes 17, 18. Relation de cause à effet qui est dénuée de sens : on n’élève pas ses enfants

persuader le lecteur de son innocence. Lors de l'épisode de la fessée par exemple, l'accent est mis sur la difficulté de l'aveu, et non sur la faute en elle-même. La faiblesse devient une force, puisque la confession est présentée comme un acte de franchise qui inspire au narrateur plus de fierté que de honte. Par ailleurs, Rousseau souhaite captiver son lecteur durant des centaines de pages, l'intéresser à sa vie. Pour atteindre ce but, l'écrivain doit donc faire en sorte que son lecteur joue un rôle

quelque chose en elle séduit, juste un détail : juste son charme. Ici, ce n’est plus une histoire de beauté qui permet de la juger. François Mauriac a brossé le portrait d’une criminelle très ambiguë. Au début de l’œuvre, elle paraît monstrueuse. Le lecteur est face au stéréotype de la femme qui veut tuer son mari. Et au fil de l’œuvre, en suivant Thérèse dans son intimité, en étant impliqué directement dans ses pensées, en suivant son histoire tout au long du roman, on peut voir naître une forme de

d’une aliénation littéraire : nous sommes, selon eux, trop dépendants d’un certain type de littérature | |(littérature traditionnelle). Ils veulent donc montrer aux lecteurs que le roman peut échapper aux conventions romanesques du| |19e siècle. En contestant les fondements du roman bourgeois, ils veulent rendre les lecteurs actuels disponibles pour | |d’autres romans. | |

biographie et œuvres, 1page sur l'encyclopédie, 8pages philosophes d'autrefois et d'aujourd'hui … Le registre comique. Le registre comique, est un registre qui a pour but de divertir les lecteurs et de les faire sourire, rire, ainsi que de créer une relation de complicité entre le lecteur et l'auteur ou le lecteur et un personnage Il existe plusieurs types de comiques. Tout d'abord il y a le comique de situations qui est basé sur les quiproquo, l'effet de surprise, décalages entre ce qui est

référence au grossier donc à la nourriture. Mais aussi un onomastique à la ligne 24« Grandgousier » qui quand à lui est le père de Gargantua, dont il reçoit les attributs principaux. Ce nom est accompagné d’un adjectif « bonhomme » qui permet aux lecteurs de voir (comment il peut être)c’est -à-dire un homme simple, naïf, excessivement crédule ou complaisant. De plus le champ lexical de la boisson à la ligne 9 « boire », « buveur » l22, « flacon » l43, « gobelet » l44, aussi présent que celui de la

Si le grain ne meurt est formellement basée sur une mise en scène d’un « je ». Sans remettre totalement en question le genre autobiographique dit classique, André Gide en utilise certains aspects pour construire son récit qu’il veut dramatique. Le lecteur est alors confronté à un récit autobiographique qu’il peine à dissocier d’un simple récit narratif, difficultés engendrées par les stratégies auxquelles recourt André Gide. La dualité du « je » narré et du « je » narrant ainsi que l’utilisation qu’en

documents complémentaires permettent en parallèle de cerner et définir les caractéristiques formelles et structurelles des textes qu’on regroupe dans cet objet d’étude. ( Enonciation menée à la première personne, présence d’un « pacte »de vérité avec le lecteur, alternance de récits historiques et de discours ancrés sur le moment d’énonciation, passages d’analyse introspective…). L’étude permettra évidemment aussi de mettre en évidence les nuances liées aux genres. La question des registres est également