Complicité Lecteur Narrateur

Le choix du discours direct permet de conserver la vivacité des personnages, et le lecteur peut avoir l’impression d’assister à la scène. Cependant, les procédés de retranscription des paroles des personnages sont eux aussi variés. On peut en effet identifier deux passages au discours indirect

Manon accepte les avances et l’argent d’un autre protecteur, M. de G. M. Des Grieux se fait passer pour le frère de Manon, ils escroquent le vieil homme en lui volant argent et bijoux, et s’enfuient. Mais ils sont arrêtés et emprisonnés. Avec la complicité de Lescaut, Des Grieux parvient à s’évader, non sans avoir tué le portier. Des Grieux se fait l’ami du fils d’un administrateur où Manon est emprisonnée, qui l’aide à l’enlever. Les deux amants vivent seuls, Lescaut s’étant fait tuer par un rival

comédie à cent actes divers, et dont la scène est l'univers». Le style de La Fontaine est souple et naturel, son vocabulaire est le plus riche de l'époque. Il connaît toutes les ressources du vers, particulièrement du vers libre. C'est un admirable narrateur, un poète de la nature. Ses Fables constituent la principale œuvre poétique de la période classique, et l'un des plus grands chefs d’œuvre de la littérature française. Le tour de force de La Fontaine est de donner par son travail une haute valeur

» finals. la justification de la guerre Le massacre est ici moralement et socialement justifié: « infectaient », « coquins » présentent les victimes comme des coupables. La guerre serait donc une mesure d'assainissement. la comptabilité Le narrateur tient une véritable comptabilité des tués, et énumère les chiffres et le total final sans manifester aucune émotion: comme si l'importance des chiffres traduit à elle seule l'opinion de l'auteur et valoriser la guerre (cf. les communiqués militaires)

l’incrédulité de Suzanne plus vivante après la cérémonie commence la procédure judiciaire 3) Le lecteur pris à témoin L27-32 création de complicité avec le lecteur : «  je me suis trouvée que chrétienne » > parallélisme + « je n’ai plus compris … baptême » : complicité crée avec les adresses aux lecteurs (l3-4) L30 : « apostrophe le marquis » anaphore, gradation : prend le lecteur à témoin. Conclusion : L’extrait est paradoxal ; Il relate une chose qu’elle n’est pas sensée se souvenir

« étendu par terre ». De plus la présentation du nègre est faite par le narrateur qui ne prend pas partie : il le décrit comme «  n’ayant plus que la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue » et à qui il « manquait […] la jambe gauche et la main droite », comme si l’homme ne valait guère plus que ses habits. La focalisation externe expose ici l’horreur mais ne fait ressentir aucun effroi ce qui donne au lecteur une sensation d’indifférence. D’autre part, les paroles du « nègre »

l’avarice, l’argent, le bonheur relatif et le rapport à la vie. Comment cette fable répond t-il aux exigences du classicisme qui est « plaire et instruire »? On sait qu’un apologue est un récit à portée argumentatif qui vise à faire réfléchir le lecteur : Pourquoi peut-on dire que cette fable est un apologue ? Pour cela dans un premier temps nous nous pencherons sur le portrait de l’avare qui entre pathétique et comique puis dans un autre côté nous nous étudierons la critique plaisante. Cette

étudier à l’université de Salamanque. Plusieurs fois interpeller par la justice pour complicité forcé de vole. - Question posé par le jury. - Présentation du plan - Lecture à voix haute de l’extrait Exemple de question : → En quoi ce texte est un incipit traditionnel du roman? Exemple de plan : I. Une situation initiale de roman traditionnelle a) Une entrée en matière qui guide le lecteur b) Des portraits en action II. Un roman picaresque a) Un picaro b) Un

la description de la société du XVIIIème selon Grenouille. Tout d'abord, il est necessaire de préciser que le narrateur de ce récit utilise un procédé dit "omniscient", cependant, celui-ci passe de nombreuses fois en focalisation interne, que ce soit à travers le personnage de Grenouille ou celui de Baldini par exemple. De plus, le narrateur fait preuve de complicité avec le lecteur notamment en utilisant le pronom personnel "nous". Jean Baptiste Grenouille ne peut être perçu que comme un psychopathe

|narrateur / auteur | | |focalisation | | |voix narrative | | |modalisation | | |enjeux et valeurs | |Critères d'évaluation |  |    Un récit est un système complexe: l'action racontée par un narrateur selon un certain