Comparaison Sartre Et Freud

Qu’est-ce que c’est que ce truc ? » Trois lectures en rapport avec le trio infernal au théâtre et l’enfer de la jalousie : • Molière, L’Ecole des femmes (1662), Acte V, scène 1 • Racine, Andromaque (1667), Acte IV, sc. 5 : • Une œuvre complète : Sartre, Huis clos (1944) Études d'ensemble : seul, à deux, à trois : des combinaisons qui modifient nos comportements / caractérisation des trois types humains représentés : des personnages caricaturaux ? / Ridendo castigare mores (corriger par le rire

mais aussi la conscience réflexive ou un sujet prend connaissance de son propre état corporel. Pour la première, le « je pense, donc je suis » révèle la certitude du « je » mais ne dit rien sur ce que je suis. Tandis que pour la seconde, Jean-Paul Sartre disait par exemple : « prendre conscience que je suis timide, c?est ne plus être timide [?] aussi simplement, aussi ingénument ». En effet, il y a le « moi » qui est timide et le « je » qui sait que le moi est timide. Tandis que les choses sans conscience

temps, et peut échouer. C'est à dire que l'humanité peut stagner, voir régresser. Merleau-Ponty compare l'humanité à une phrase. Ce mot est compris par tous quel que soit le contexte culturel, car les phrases sont la base du langage. Cette comparaison permet de mieux comprendre, le caractère fragile du progrès. On peut facilement s'imaginer que l'humanité se mette en route, se déroule et soit victime d'une hésitation ou des circonstances et aille s'échouer on ne sait où. La vision de Merleau-Ponty

évoque sont dégagées du regard humain = soucis d’objectiviser le regard, position radicalement différente. Seconde différence : les surréalistes ont privilégié l’écriture automatique ; volonté de laisser libre cours à l’inconscient, marqués par Freud. Breton et Aragon ont travaillé dans un service de psychiatrie. Chez Ponge, au contraire il y a volonté de la parfaite maîtrise de la création de textes : Malherbe, La Fontaine. Beaucoup de surréalistes pendant la guerre se réfugient aux USA ou s’enrôlent

du regard humain = soucis d’objectiviser le regard, position radicalement différente. Seconde différence : les surréalistes ont privilégié l’écriture automatique ; volonté de laisser libre cours à l’inconscient, marqués par Freud. Breton et Aragon ont travaillé dans un service de psychiatrie. Chez Ponge, au contraire il y a volonté de la parfaite maîtrise de la création de textes : Malherbe, La Fontaine. Beaucoup de surréalistes pendant la guerre se réfugient aux

fondamentale : la naissance La psychanalyse permet d’aider à penser des problématiques. En psychanalyse on ne parle pas d’identité mais de personnalité Le sujet, la question du moi, je, le soi, identification et narcissisme. Fondateur de la psychanalyse : FREUD, la construction identitaire du sujet, méthode de recherche faisait suite au développement de la psychologie sociale, il aimait décrire le processus de tout le monde pour mieux appréhender ceux qui souffraient. Etudiant les personnes normales qu’il

possible ce que l'on perçoit dans son propre coeur. Mais ne peut-il s'y mêler de la complaisance et de la condamnation qui peuvent dénaturer la connaissance de soi? a) C'est là justement que nous attend le point de vue des philosophies du soupçon. Selon Freud, le conscient est un mauvais guide. Le moi n'est même pas le maître dans sa propre maison. Ce que nous connaissons, ce n'est que la surface de nous même, ou ce que nous voulons bien connaître et avouer. Ce n'est pas la vérité, la vérité est ailleurs

mon corps, que le corps est un corps sujet ou un corps objet ? Est-il possible de sortir de l’ambiguïté qui fait que je suis mon corps tout en l’ayant ? La conscience est-elle transparente à elle-même comme l’analyse Descartes ou bien faut-il avec Freud soupçonner qu’il y a dans notre expérience psychique, une part d’ombre récusant le projet moral d’une souveraineté exigible de la conscience ? Dire Je, Moi, revient à présupposer une unité et une identité personnelle. Qu’en est-il de cette prétention 

comprendre le texte .............................................. 55 Texte 15 : La sublimation de la figure du père, S. Freud (18561939) .......................................................................................... 56 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 57 Texte 16 : Sans Dieu, l’homme est condamné à être libre, J. P. Sartre (1905-1980) ................................................................ 59 Pour mieux comprendre le texte .....

par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 14 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 15 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 15 6. Critique de la théorie de l’aliénation 15 III. Liberté et déterminisme 16 A