Comparaison Racine Corneille

Règne de Louis XIV 1715 mort de Louis XIV Nombreux courants philosophiques et littéraires (burlesques, mondains et précieux, doctes, libertins...) Le baroque 1636 début de l'œuvre de Corneille Corneille, Le Cid 1637 1659 début de l'œuvre de Molière Molière, Dom Juan 1665 1667 début de l'œuvre de Racine Racine, Andromaque 1667 Le classicisme fin du XVIIème Querelle des Anciens et des Modernes   La France Peu intéressée aux ressources de l’expansion coloniale. A un territoire plus

Les figures d'insistance : Figure Procédé et effet Exemple Le parallélisme On utilise une construction semblable pour deux énoncés → il met en évidence une similitude ou une opposition. « J'ai tendresse pour toi, j'ai passion pour toi ». Corneille. L'anaphore On répète le même mot ou même expression en tête de vers, de phrase ou de paragraphe. → Elle met l'accent sur une idée pour convaincre ou rythmé l'énoncé. « Il y a des petits ponts épatants. Il y a mon cœur qui bat pour toi. Il y

sifflent sur vos têtes » Racine. Assonance = C’est la répétition de sons voyelle. « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant » Verlaine. Amplification = L’amplification se fonde sur une gradation entre les termes d’une énumération ou dans la construction d’un paragraphe. « Va, cours, vole et nous venge » Corneille le cid. Anacoluthe = L’anacoluthe est une rupture de construction. « Vous voulez que ce dieu vous comble de bienfaits / Et ne l’aimer jamais ? » Racine Analepse = C’est un retour

» (Nicolas Boileau, Le Lutrin, III) 1. 2. L’hyperbole L’hyperbole est une exagération (exprimée au moyen d’une accumulation, de l’emploi d’intensifs ou de mots excessifs). Ex. : « Je meurs de faim » 2. Les figures d’analogie 2. 1. La comparaison Mise en relation de deux termes à l’aide d’un terme comparant (comme, tel, semblable à, etc.). 2. 2. La métaphore Mise en relation de deux termes sans terme comparant. Une métaphore est filée quand elle est développée tout au long d’un texte

souvenirs sont cors de chasse Dont meurt le bruit parmi le vent » — Guillaume Apollinaire, Cors de chasse la comparaison la comparaison comporte trois éléments : le comparé - l'outil de comparaison - le comparant (éventuellement inversés) « La musique souvent me prend comme une mer » — Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, LXIX. — La Musique la métaphore image sans outil de comparaison – on distingue la métaphore annoncée (ex.1) où le comparé et le comparant sont présents et la métaphore directe

utilise un nombre imprécis de syllabe ; exemple V. 1 et 2 « Sa grandeur éblouit l’histoire. / Quinze ans, il fut. » Alors que dans le courant classique les poètes comme Racine et Corneil utilise des règles précis comme l’alexandrin et donc ne donne aucune liberté à leur poème ce qui rend le poème moins expressive. Dans le poème de Racine « Andromaque » on peut apercevoir des vers très structuré et donc aucune expression a travers ses vers; exemple au vers 1 et 2 « Songe, Songe … » /  « Qui fut … » qui

cors de chasseDont meurt le bruit parmi le vent » — Guillaume Apollinaire, Cors de chasse | la comparaison | la comparaison comporte trois éléments : le comparé - l'outil de comparaison - le comparant (éventuellement inversés) | « La musique souvent me prend comme une mer » — Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, LXIX. — La Musique | la métaphore | image sans outil de comparaison – on distingue la métaphore annoncée (ex.1) où le comparé et le comparant sont présents et la métaphore

Mouvements littéraires et culturels Siècles et Auteurs XVIème siècle L'Humanisme Montaigne Rabelais XVIème siècle La Pléiade Du Bellay Ronsard XVII siècle Le Baroque Corneille, l'illusion comique XVIIème siècle Le Classicisme Corneille, Racine, Molière XVIIIème siècle Les Lumières Voltaire, Rousseau XIXème siècle Principes Procédés - Placer L'homme au centre de toutes les préoccupations (morales, sociales, esthétiques). - Encourager la recherche, les sciences

est une répétition d'un même son consonne.
Le cas le plus célèbre d'allitération se trouve chez Racine: «Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes» Il s'agit ici d'une allitération en [S] Oxymore n. m. Figure de style qui consiste à placer l'un à côté de l'autre deux mots opposés (voir antonymes). On trouve des cas célèbres d'emploi de ce procédé : « Cette obscure clarté » (Corneille, Le Cid ), un silence éloquent, un mort-vivant etc.  Ce procédé crée un paradoxe, une image surprenante

Un registre épique (glorifie un héros dont ses exploits suscitent l’admiration, le thème du combat est essentiel). L'épopée (présent partout). Indices : champ lexical du combat ; antithèses; procédés d’amplification comme les hyperboles, les comparaisons hyperboliques, les accumulations ou l’emploi du superlatif. Auteurs : Homère (auteur grec), Virgile (auteur latin), Hugo, Zola (c’est un auteur réaliste mais dont beaucoup de passages sont plus épiques que réalistes). Un registre tragique (