Comparaison Entre Hos Et Ricardo

et globalisation Jusqu'à présent nous avons décrit les flux de marchandises entre territoires, et la régulation assurée par le SMI. Nous n'avons pas analysé les causes des échanges internationaux et marchandises, et l'intérêt qu'ils présentent pour les acteurs de chacun des territoires entre lesquels circulent ces marchandises. C'est l'objet des théories du commerce international, qui sont, avec Smith et Ricardo, aussi anciennes que l'économie, de modéliser ces phénomènes. Nous les présenterons

perspective, c'est bien l'individu et lui seul qui influence le fonctionnement de la société (c'est l'individu qui fait la société et non pas le contraire). la macroéconomie, s'intéresse aux relations théoriques et empirique (vérifié sur le terrain) entre les grandeurs globales, c'est-à-dire, les grands agrégats nationaux (comme la consommation, la production, l'investissement, le chômage, l'inflation, la croissance, l'épargne,...). Le point de départ de l'analyse en macroéconomie est de considérer

international La théorie du commerce international Loi des avantages comparatifs Le mercantilisme (XVIème XVIIIème) Plusieurs auteurs, comme Jean Bodin, John Locke ou Monchrétien s’intéressent aux raisons. Moyen de s’enrichir, confusion entre le roi et la nation, entre la richesse et l’or (puissance d’un souverain= stock d’or dans les caisses, c’est à dire l’excédent commercial sur les autres pays). XVIème, en Europe, l’Espagne a plein d’or. C’est une course pour s’accaparer les métaux jaunes. Ils

ressources productive rare à la production, à travers le temps, de marchandise et de services variés et de répartir ceux-ci à des fins de consommation présente et future entre les différents individus et les collectivités constituant la société. (D. Ricardo) L’économie est une recherche sur la répartition du produit de l’industrie entre les classes qui concourent à sa formation. (K. Marx) L’économie politique étudie les formes selon lesquels les hommes produisent, consomment, échangent et règlent la

capitaux. Le bon fonctionnement du marché suppose les règles suivantes : * Le respect des règles de la concurrence * La garantie de la bonne exécut° des contrats * L’accès à l’info D intervenants sr le marché * La confiance mutuelle entre les intervenants sr le marché Chapitre 2 : Le prix et les décisions des agents économiques. Dans 1 éco de marchés concurrentiels, les O & D se confrontent : * Il en découle la déterminat° d’1 prix de marché * Le prix constitue la

situation pour tous qui est dû aux mécanismes du marché qu'il appel « une main invisible » permettant de concilier l'intégral individuel et général. Il ne faut donc pas d'intervention de l'État pour laisser jouer les mécanismes du marché. Et David Ricardo (1772-1823) avec la loi des coûts comparatifs, elle montre que le libre échange est le meilleur système pour tous les pays et qu'il permet d'éviter l'État stationnaire et donc la croissance économique. Robert Malthus pour sa théorie de la population

La théorie des avantages absolus (Smith, 1776), la théorie des avantages comparatifs (Ricardo, 1817), le modèle HOS (Heickscher, 1919 ; Ohlin, 1933 ; Samuelson, 1941, 1948, 1949), la théorie du cycle de vie du produit (Vernon, 1966), la théorie des coûts de transaction (Williamson 1975) ou encore la théorie éclectique (Dunning, 1980). Toutes ces théories nous aident à comprendre le choix du mode d´entrée dans les marchés externes.  La théorie des avantages absolus (Smith, 1776): selon Adam

ententes sont interdites. Si on laisse faire le marché, on aura une efficacité. Théoriquement on doit avoir une concurrence pure et parfaite, 5 conditions : • Atomicité du marché • Homogénéité des produits • Transparence de l’information • Libre entrées sur le marché • Mobilité des facteurs de production  L’atomicité n’est pas respecter il y a oligopole, monopsone  Les industriels différencient leurs produits  Transparence de l’information faussée  La mobilité des facteurs de production

I. Revenus et répartition 1 1. Du RN au R disponible des ménages PIB , PNB, RN =ref du niveau de dvl et de richesse des nations (même si existe IDH) mais insuffisants RN= PIB+ R percu par le RDM –R versé au RDM RN : répartis entre : ménages ( 2/3 du PIB en 2006), entreprises, institution fi. , les ISBLSM , l’état RDRM (revenu dispo brut des ménages) = R primaire + R transfert – PO (=prélèvements obligatoires) R primaires= salaires bruts, cotisations sociales employeurs, R

l’an 800 crée un empire, qui n’est pas loin de l’union européenne actuelle. Mais ce n’est pas un empire économique, ce qui relie les peuples, c’est la chrétienté. L’empire de charlemagne n’a pas duré très longtemps, puisque l’héritage était partagé entre tous les fils. Il faut attendre la renaissance pour que les états se reconstituent. On va construire la nation sur un ensemble de critère : langues, traditions, origines ethniques. Ce nationalisme va progresser jusqu’au XVIIIème siècle. La construction