Comparaison Descartes Nietzsche

Angèle Kremer-Marietti Le Nietzsche de Heidegger Sur la Volonté de puissance1 Heidegger part d'un point de vue strictement heideggerien quand il affirme que la « Volonté de Puissance dénomme le caractère fondamental de tout étant » (N I, 36) 2. Sur la base de la notion d'étant, qui indique la perspective à partir de laquelle il va vouloir intégrer Nietzsche dans sa problématique propre, dès le principe Heidegger fait remonter la position nietzschéenne ainsi présentée à tout ce que la tradition allemande

« vraies » que la nôtre ? Tout au contraire le monde, pour nous, est redevenu infini, en ce sens que nous ne pouvons pas écarter la possibilité qu’il renferme en lui une infinité d’interprétations. Nous sommes repris du grand frisson. Friedrich Nietzsche, Le Gai savoir, § 374 Sens manquant Dans le même ordre d’idées, on peut supposer qu’il nous manque un sens. Les aveugles, par exemple, ne connaissent qu’une partie du monde que nous connaissons. Qu’est-ce qui nous prouve que nous ne sommes pas

agissements, actions, impulsions ou même certains de nos préjugées ou de nos névroses qui surviennent parfois sans que l'on puisse les déchiffrer. « L'homme a besoin de ce qu'il y a de pire en lui s'il veut parvenir à ce qu'il a de meilleur . »Nietzsche nous rappelle ici que cette analyse de soi se montre indispensable dans une espérance d'évolution et d'amélioration de notre quotidien. Après cette analyse, nos défauts nous apparaissent, ainsi nous pouvons tenter des les corriger; cependant nous

Texte de DESCARTES Début du Discours de la méthode.   Dans un texte consacré au thème de la connaissance, Descartes tâche de répondre à la question de savoir quelles sont les conditions qui, pour un individu, rendent possible la connaissance. Par là, Descartes apporte une solution au problème que pose l'accès à la connaissance : est-elle réservée à une élite douée de talents particuliers ou bien est-elle, moyennant certaines conditions, accessible à tous ? Ce qu'il soutient ici, sa thèse, c'est

Introduction L'opposition du bien et du mal, de la morale et de l'immoralité, des bons et des méchants, n'est selon Nietzsche qu'une illusion utile à la conservation d'un type humain : les prêtres, qui se servent de ces notions pour étendre leur domination à l'ensemble de l'espèce humaine. Il en fait la critique dans le passage de Humain trop humain que l'on se propose d'étudier, en analysant la définition que donnent les moralistes de la méchanceté. Il leur objecte qu'elle n'a pas de sens, ou qu'elle

l’inverse est-il aussi vrai ? On le saura un jour mais pour l’instant les limites de la science ne permettent pas d’en savoir plus sur les pensées. Cependant pour certains philosophes, la pensée relève presque de l’existence de la vie. En effet, selon Descartes, l'acceptation de l’existence de la pensée nous amène à l’acceptation de notre existence elle-même. Ce qui donne lieu à cette célèbre citation « je pense donc je suis ». Pour lui la pensée et donc l’esprit est réellement la seule chose dont on peut

.................................................7 4. Conclusion...................................................................................7 Etape 2. Qu'est-ce que le bonheur ?..........................................4 Etape 4 – Descartes et la satisfaction intérieure.......................8 1. Présentation................................................................................4 2. Conseil................................................................................

conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir

les prodiges , et nul plus prodigieux que l'Homme'' Une révolution semble se produire a l''époque moderne, grace a Descartes et a son ''cogito'' , l'homme devient pour la premiere dois transparent a lui meme . Mais le soupcon et la desillusion succedent a l'optimisme Cartésien. Parmis les premiers , Nietzsche , s'interroge sur le caractere reel ou fictif de la decouverte de Descarte ''Le sujet c'est une fiction''. Quant a Freud , il détrone deux fois la conscience : une fois en montrant que ''le

une comparaison. Il y a d’abord l’idée que le faux se réalise forcément, que le vrai soit là ou pas pour faire office de repère. Et cela vient avec l’idée que le vrai, lui, n’est pas forcément présent. On sait que le faux est possible. On a argué que le faux était possible grâce au vrai. On peut donc se demander ce qu’il se passerait s’il n’y avait pas de vrai, ce qu’il resterait du faux, afin de démontrer que le faux n’est pas forcément reflet du vrai. C’est une idée que développe Nietzsche dans