Comparaison Descartes Freud

pour rien que le terme a été placé en premier. D’où la grande importance de s’interroger dans quelles mesures nous sommes libre et quels en sont les grands obstacles, avec entre autre l’inconscient, le désir et la société. L’inconscient selon Freud. On n’est pas conscient de tout son ‘soi’. Notre inconscient refoule certaines idées, des pulsions. En chaque homme l’inconscient peut être développé de manières différentes. Certaines personnes ont un inconscient qui refoule ou non certaines mêmes

comme un alibi. Selon lui, l’homme est parfaitement responsable de ses actes, cette responsabilité lui fait peur, c’est pour cela qu’il se crée des alibis : parmi l’idée de Dieu. On retrouve autrement une critique de la foi à travers la philosophie de Freud. Dieu est à l’adulte ce que le père est à l’enfant. En effet l’enfant éprouve un sentiment un peu mêlé à l’égard du père : c’est ce que le fidèle ressent à travers son culte et ce que le théologue Rudolf Otto appelle le numineux, un sentiment hétéroclite

connaissance de la doctrine de l’auteur n’est pas requise. Il faut et il suffit que l’explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question. Introduction Réalité purement spirituelle chez Descartes, unité transcendantale selon Kant, la conscience est le sujet qui rend possible la pensée et la connaissance. « Il n’y a de pensée, renchérira Alain, que par l’unique sujet « Je » ». C’est précisément cette idée d’un sujet qui serait cause de la

mieux vivre dans des plaisirs illusoires plutôt que d’affronter la réalité avec lucidité ? 1. Les illusions heureuses a. Illusion & Lucidité Illusion = apparence trompeuse ; pas forcément conforme aux désirs (ex illusion d’optique) + Freud L’avenir d’une illusion adhérer à illusion en raison de la satisfaction qu’elle procure, illusion motivée par désir Lucidité = capacité de dissiper apparence, ne pas se laisser emporter par illusions b. Avantages & Inconvénients à l’un et

il existe une relative comparaison à nos désirs, nos besoins... Être une conscience implique donc une supériorité mentale absolue qui confère à l’individu des droits inaliénables. Je ne peux jamais être traité légitimement comme un objet (esclavage, torture...). C’est la dignité de l’être humain que l’on doit respecter quel que soit les actes de l’individu. La conscience de soi c’est d’abord l’impossibilité de douter de l’existence de sa pensée Texte de Descartes Méditations métaphysiques

Terre sainte Vers 1780 Huile sur toile 50,8 x 61 cm Sir John Soane’s Museum, Londres L’âge des Lumières crée dans un premier temps un nouvel ordre en classant la mélancolie dans le domaine de la déraison et de la folie. Si Descartes, dans ses Méditations métaphysiques, parlait de ces « insensés, de qui le cerveau est tellement troublé et offusqué par les noires vapeurs de la bile qu’ils assurent constamment qu’ils sont des rois lorsqu’ils sont très pauvres», cette bile noire

dirigée par Laurence Hansen-Løve Jean Lefranc Freud (1996) PhiloSophie © octobre 2008 Table des matières Introduction : Freud et la philosophie ..................................... 4 Note sur la traduction.................................................................. 9 Chapitre 1 : La naissance de la psychanalyse ......................... 10 Éléments de biographie (1856-1939) ........................................ 10 Freud neurologue .....................................

correspond à la « réelle réalité », si elle est universelle. D'autre part, le mobilisme, thèse soutenue par Héraclite qui disait « On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. » insiste sur la constante mobilité du monde sensible. C'est ce que Descartes met en évidence dans sa seconde méditation avec l'exemple du morceau de cire. La certitude sensible qu'il avait en observant un morceau de cire, sa couleur, son odeur etc. est mise en doute dès lors qu'il l'approche du feu : le morceau de cire a

entourée de sommeil…". "To be or not to be…" Calderón de la Barca : « Qu'est-ce que la vie ? Une folie. Une illusion, une ombre, une fiction et le bien suprême a peu de valeur car la vie n'est qu'un rêve…» (pièce "La vie est un songe"). Le thème de la comparaison entre vie et rêve était déjà dans le conte arabe des « Mille et une nuits ». Mais aussi bien avant, en Inde et en Chine, par exemple un vieux sage chinois Tchouang-tseu (env. 350 av. J.C.) : « Un jour j'ai rêvé que j'étais un papillon, et à présent

distractus (qui est tiré dans tous les sens). L'étymologie intervient dès lors comme l'auxiliaire d'une lecture attentive du texte et d'un décodage du portrait : le distrait est une personne qui prend une chose pour une autre (acte manqué décrit par Freud) ou qui prend une personne pour une autre (l' artifice théâtral du quiproquo). La Bruyère utilise la technique de l'accumulation et de la gradation : il additionne, accumule les bévues de son personnage Ménalque. Cette agglutination repose essentiellement