Clytemnestre D Eschyle

journées, le vainqueur était désigné par un vote, ce qui était un grand honneur. Les trois auteurs antiques les plus connus sont Eschyle, Euripide et Sophocle. 3 Dire l’horreur 1 5 - © Hachette Livre 2013, Cahier de français 1re – La photocopie non autorisée est un délit. - 4 Égisthe et Clytemnestre viennent d’assassiner Agamemnon. Oreste, le fils de Clytemnestre et Agamemnon, se rue sur eux. LE MENDIANT […] Et comme Égisthe penché disait aux meneurs que tout allait bien, et que tout désormais

C.) vécut à la période la plus brillante d’Athènes : Périclès, (homme d’Etat), Phidias, (sculpteur), Hérodote, (historien) furent ses amis. Il a écrit de nombreuses tragédies, mais il n’en subsiste que sept, telles que Oedipe roi et Antigone. b) Éschyle et Euripide sont deux grands auteurs tragiques athéniens du Ve siècle av- J.C. que Sophocle a souvent affrontés dans les concours de tragédie. c) Ce sont donc trois grands auteurs de tragédies de l’Antiquité, qui ont tous écrit sur le mythe des Atrides

d’Iphigénie J. Racine, Andromaque D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 Euripide, Andromaque ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE J. Racine, Andromaque TEXTE 2 J. Racine, Britannicus D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 Tacite, Annales TEXTE 3 J. Racine, Iphigénie D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Eschyle, Agamemnon ANALYSE D’IMAGE TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS 37 37 38 39 40 41 42 43 44 44 44 45 45 45 46 Le classicisme Exercices d’approfondissement 1 Aristote, Poétique 2 P. Corneille, Cinna 3 P. Quinault, Thésée 4 J. Racine, préface d’Andromaque

de Créon a provoqué la colère des dieux de l’enfer, de Hadès en particulier. En refusant Chapitre 2 • Le théâtre : texte et représentation • 97 6 ➜ p. 141 Sophocle, Antigone n 1. Situation du texte Sophocle (496-406 av. J-C) est, avec Eschyle (525456) et Euripide (480-406), l’un des plus grands auteurs tragiques de la Grèce antique. Il vit au moment de l’hégémonie athénienne, pendant le siècle de Périclès. Le contexte politique favorise l’épanouissement des arts : la ligue de Délos signe

Peut-on alors parler d’un pouvoir de la rue ? Doit-on considérer que le pouvoir de la rue serait le pouvoir rendu au peuple ? © Groupe Eyrolles 119 Questions sociales Citations utiles « La violence a coutume d’engendrer la violence. » Eschyle, Agamemnon. « La religion de la non-violence n’est pas seulement pour les saints, elle est pour le commun des hommes. C’est la loi de notre espèce, comme la violence est la loi de la brute. » Romain Rolland, Mahatma Gandhi. « L’injustice appelle l’injustice

rue ? Doit-on considérer que le pouvoir de la rue serait le pouvoir rendu au peuple ? © Groupe Eyrolles 119 ■ ■ FICHE 20 ■ ■ ■ Conclusion Questions sociales Citations utiles « La violence a coutume d’engendrer la violence. » Eschyle, Agamemnon. « La religion de la non-violence n’est pas seulement pour les saints, elle est pour le commun des hommes. C’est la loi de notre espèce, comme la violence est la loi de la brute. » Romain Rolland, Mahatma Gandhi. « L’injustice appelle

Peut-on alors parler d’un pouvoir de la rue ? Doit-on considérer que le pouvoir de la rue serait le pouvoir rendu au peuple ? © Groupe Eyrolles 119 Questions sociales Citations utiles « La violence a coutume d’engendrer la violence. » Eschyle, Agamemnon. « La religion de la non-violence n’est pas seulement pour les saints, elle est pour le commun des hommes. C’est la loi de notre espèce, comme la violence est la loi de la brute. » Romain Rolland, Mahatma Gandhi. « L’injustice appelle l’injustice

gloire naissante. Commentaire La pièce est d'allure plus mélodramatique encore que “Zaïre”. L’échange des enfants à l'insu d'un père prêt à venger leur absence, puis leur «reconnaissance», sont des ressorts classiques de la tragédie, depuis Eschyle jusqu'à Verdi. Zopire, vieillard inexorable, ne fléchit point et, tel le Créon de Sophocle, préfère sa cité à sa descendance. Séide, qui est défini comme «un esprit amoureux de son propre esclavage», est un type éternel. La pièce n'a qu'une faible

textes antiques rendus à leur pureté, leur vitalité, leur intégralité, mais résolument tourné vers le présent1 Les dramaturges entendent écrire en français des comédies et des tragédies imitées de l’Antiquité : dès lors, Euripide, Sophocle, Eschyle et Sénèque deviennent des modèles pour les futurs auteurs de Cléopâtre. La tragédie grecque représente la chute d’un héros, du plus grand bonheur au pire malheur2 tandis que la tragédie romaine décrit la métamorphose d’un héros en monstre mythologique3

l’artiste i concilier les deux aspects. Le cœur de l’homme doit se révéler dans ses dieux, personnifications des grands mobiles qui le sollicitent et le gouvernent à l’intérieur. C’est le problème qu’ont résolu les grands poètes de l’antiquité, Homère, Eschyle, Sophocle. Les principes généraux, ces grands motifs qui sont la base de l’action, par cela même qu’ils sont vivants dans l’âme des personnages, forment aussi le fond même des passions ; c’est là l’essence du vrai pathétique. La passion, ici, dans