Civilisation universelle

concepts Les questions Les textes Nature ● Culture ● Se cultiver Comment l’homme passe-t-il de la nature à la culture ? Lévi-Strauss 2 p. 15, Freud 4 p. 17. Arendt 6 p. 21. Lacan 11 p. 24. Barbarie ● Est-il juste de qualifier certaines civilisations de barbares ? Kant 10 p. 24. Lévi-Strauss 15 p. 29. Norme Règle Pourquoi les règles sont-elles nécessaires à la culture ? Lévi-Strauss 2 p. 15, 3 p. 16. Freud 4 p. 17 Leiris 5 p. 18, 7 p. 21. Prohibition de l’inceste La prohibition de l’inceste

heurts » plus ou moins violents entre les hommes constitue, selon Kant, le moteur même de leur évolution. Dans le contact que nous nouons avec nos semblables, nous sentons bien quelque chose de l’humanité individuelle s’épanouir vers une humanité universelle, comme si nous sortions du cadre limité de notre petite personne pour participer à l’évolution d’une histoire commune par le biais de laquelle l’humain comme « phénomène présent dans le monde » crée quelque chose dans ce monde, suit un projet «

'ipsae' (d'elles-mêmes) – 'ultro' (de sa propre initiative) - 'mella' (miel) – 'lactis' (lait) > profusion, richesse, abondance > les hommes n'ont pas peur de l'avenir, vivent au jour le jour, sans se préoccuper d'une quelconque pénurie 2)Entente universelle des individus. confiance mutuelle des individus > 'domus non habuit ulla fores' (la maison n'avait pas de portes) > tout le monde peut rentrer et sortir comme il le souhaite, on sait que rien ne sera voler, aucune crainte, aucune intention mauvaise

l’on entend parfois ici et là : « La valeur d’une civilisation se juge au développement de sa technique. » Présupposés Cette opinion, mine de rien, implique 8 présupposés : 1. Les civilisations ont une valeur plus ou moins grande. 2. On peut juger de la valeur d’une civilisation. 3. La technique peut être plus ou moins développée dépendamment des civilisations. 4. On peut juger du développement d’une civilisation. 5. a. Une civilisation peut être jugée par le développement de sa technique

collectif comme phénomène social qui désigne l’ensemble des usages, des représentations et des valeurs traditionnels d’un groupe humain. (sens tardif du terme : seconde moitié du XVIIIème siècle). La culture devient alors synonyme de « la » civilisation en possédant désormais une caractérisation axiologique ou éthique. C’est le fait d’être civilisé. Et constitue un idéal pour l’individu et pour les communautés. Développement des problématiques associées à la notion de culture : Problématique

discipline : enlever le coter sauvage de l'homme , protéger l'homme des dangers de la vie en société . l'instruction : ajouter qqch a notre contitution (savoir-faire et savoir-vivre) L'ethnocentrisme c'est l'attitude par laquelle on considère notre civilisation comme supérieure aux autres ce qui conduit a rejetter ou évaloriser des modes de vie éloignées des notres L'artiste et l'artisan produisent des objets artificiels mais ils ne sy prennent pas de la même manière . En effet l'artiste a une idée

fait plus sentir autant qu’auparavant. Par conséquent, je pense qu’elle n’est plus nécessaire socialement pour la population. En deuxième lieu, les religions ne sont «(…)pas compatible avec les machines, la médecine scientifique et le bonheur universel. Il faut faire un choix.» Encore une fois, Mustafa Meunier explique que les Dieux, les religions ne sont plus conciliables avec les sociétés modernes. Les principes moraux qu’imposent les religions dénigrent les avancés sur la génétique, l’eugénisme

et Histoire, Claude Lévi-Strauss critique l’ethnocentrisme, c’est-à-dire le fait de considérer que sa culture est supérieure aux autres. Il relève que cette attitude est profondément enracinée dans la mentalité des hommes, quelle que soit leur civilisation. Les ethnies amérindiennes se traitent entre elles de « singes de terre » ou d’« œufs de pou », ce qui revient à dénigrer à l’autre le rang d’être humain. Il s’agit donc en vérité de racisme. La culture de l’étranger est niée comme culture et reléguée

bon sauvage. Diderot est un écrivain et philosophe français qui révolutionna son époque par ses opinions. Ses écrits bouleversent le lecteur, l'obligeant à réfléchir sans parti pris, le conviant à l'objectivité et à l'ouverture d'esprit. Esprit universel, Diderot croit en la « Science de toutes les sciences », la philosophie, qui, en synthétisant toutes les connaissances, peut mener au progrès de l’humanité. Soucieux d’instaurer une philosophie positive, il poursuit des études scientifiques, s’intéresse

prendre la vie d’une personne. C’est donc la priver irréversiblement du pardon ou simplement de se repentir. Donc la peine de mort est bel bien un acte inhumain et la violence n’est pas une solution contre la violence. De plus, la Déclaration universelle des droits de l’homme reconnaît que tout être a le droit de vivre et affirme que : « Nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. » Ainsi personne n’a le droit de tuer, même en suivant les ordres