Changement Paradoxe Watzlawick

directeur honoraire de l’IAE de Montpellier et professeur émérite en sciences de gestion à l’université de Montpellier II.Fondateur du centre de recherches en gestion des organisations (CREGO), il s’intéresse plus particulièrement aux problèmes du changement organisationnel lié à l’usage des technologies de l’information et à ceux de l’évaluation des systèmes d’information. Il a publié de nombreux ouvrages et articles en informatique de gestion et en gestion des organisations « Systèmes d’Information

L'éthologie est l'étude objective du (ou des) comportement(s) reposant sur l'observation et la mise en rapport des différents éléments relevés durant cette observation” psychologie expérimentale (Thorndike – 1898, Pavlov – 1904, Watson – 1913) Watzlawick , la réalité de la réalité. Essais, ed° le Seuil perspective systématique = 1. distinguer ce qui appartient à l'espèce étudiée de ce qui est propre à l'individu 2. reconnaitre les actes à structures invariante (stabilité du signe) = actes instinctifs

similitudes, provoque une impression de mecanique, BERGSON insiste a la fois sur 1'effet de surprise necessaire au declenchement du rire et sur le plaisir ressenti lorsque le rieur potentiel constate que ses previsions se realisent. Cest le grand paradoxe du rire : surprise et prevision comblee 'cohabitent'. - Le pantin a ficclle : «Innombrables sont les scenes de comedie ou un personnage croit parler et agir librement [...], alors qu'envisage d'un certain cote, il apparaft comme un simple jouet

l’œuvre – le congrès du monde entier –, dans l’espace matériel du livre. -------------------------------------------- [ 1 ]. « L’édition est un acte de trans-formation, terme qui se comprend à la fois comme une élaboration, une médiation et un changement », Emmanuel Souchier, « L’Image du texte, pour une théorie de l’énonciation éditoriale », Médiologie N° 6, 1998, p. 137. [ 2 ]. J.L. Borges, « Essai d’autobiographie », in Le Livre des préfaces , Seuil, 1980, p. 186 ; « Borges égal à lui-même »

C’est aussi ce que nous faisons lorsque nous percevons d’autres individus. - Nous avons tendance à formuler des jugements qui reposent sur des impressions premières. Ces jugements sont caractérisés par leur consistance qui les rend rebelles au changement. - Les impressions ont une fonction économique. (On n’a jamais une seconde chance de refaire bonne impression) - Des impressions fausses peuvent persister même en présence de preuves car on a tendance à rechercher les informations confortant nos

langage : Chaque espèce animale vit dans un monde qui lui est propre et va développer des moyens de communication adaptés et adéquats. La communication animale est le transfert d’informations convoyées par des signaux ou combinaisons de signaux. Les changements sont souvent latents et non visibles dans l’immédiat. Les signaux agissent sur tous les canaux (ultrasons, électriques : s’orienter et communiquer, visuels : mouvements stéréotypés ou postures, couleurs changeantes, plumages saisonniers). - la communication

technique devient dressage, la volonté de transformer comportements et attitudes, stérilisation pure et simple de la créativité. L’épilogue d’un tel scénario est connu par avance : la valeur est écrasée par la norme, le processus remplace l’action… et, paradoxe suprême, l’organisation, rationalisée à l’extrême, plus guère rationnelle et moins encore raisonnable (un terme de philosophe), périclite de ses « performances ». On le conçoit, la responsabilité du management d’entreprise est grande dans ce qui

matérielles et théoriques du « cadre » que R.KAES définit comme ceci : « le cadre est un non processus, c’est à dire une série d’invariants à l’intérieur des bornes desquelles le processus peut avoir lieu. Il est donc ce qui demeure permanent pour que le changement se produise. » 2.6. la plaquette de présentation Dès l’arrivée dans ce service, j’ai demandé à ma garante psychologue de me fournir la plaquette de présentation du service dans lequel j’allais effectuer des entretiens cliniques. Les données

p s , i i e se t e t t e o t a n a e me d s o otme t p i uln c r s o d n àr nd b ev b . e c mp r e ns u q ’ e or p n e t i ’ s ra l s i s e e o e Le comportement possède une propriété essentielle mise en valeur par G. LAYOLE(2) ,P. WATZLAWICK, J.H. BEAVIN et DON D. JACKSON(3) :“ Le c mp r me t ’ p sd c nri , ’ t i q ’ e tmp sied n p ss o ot n n a e o t r c s e a a e“ e -à-d e ul s i o s l e e a e r i b comporter à moins de ne plus exister. C smê sa tusl a c re t n s c n epo

récepteur, montre ses lacunes quand il s’agit de décrire les relations humaines : le modèle téléphonique de Wiener mettra longtemps à tomber en désuétude au profit de modèles plus complexes tels que celui de l’orchestre conçu notamment par PAUL WATZLAWICK. 1. MILLER, G. A., GALANTER, E., & PRIBRAM, K. H. (1960). Plans and the structure of behavior. New York: Holt, Rinehart and Winston. 26 Alliance des consultants industriels francophones - http://www.acifr.org © Éditions d’Organisation