Cas Pratique Réticence Dolosive

excès « d’une liberté sauvage «. La différence de puissance économique rend souvent illusoire la négociation : le plus faible est contraint d’accepter les conditions qui lui sont imposées, qui ne sont pas justes à son égard. Ainsi s’est répandue la pratique des contrats d’adhésion dans lesquels une partie ne fait qu’adhérer à une convention pratiquement préparée par l’autre. Ce libéralisme total, lié à l’individualisme qui constitue le fondement de toute relation contractuelle (liberté de contracter

DROIT DES SURETES On va avoir un examen qui comptera pour 50% de la note de TD, et l’autre 50 % c’est une note de participation à l’oral et les copies qu’on rend. L’examen du partiel ça sera surement des cas pratiques. Pas de piège à l’examen. Pour les manuels : le professeur nous déconseille les traités (les gros manuels). Il n’aime pas aussi le Defreinois (Malory – Aines). Il préfère : - Collection Sirey, Bourassin, Bachelier, Brémmond. Il est très bien fait et clair, dernière collection de 2009

excès «  d’une liberté sauvage «. La différence de puissance économique rend souvent illusoire la négociation : le plus faible est contraint d’accepter les conditions qui lui sont imposées, qui ne sont pas justes à son égard. Ainsi s’est répandue la pratique des contrats d’adhésion dans lesquels une partie ne fait qu’adhérer à une convention pratiquement préparée par l’autre.  Ce libéralisme total, lié à l’individualisme qui constitue le fondement de toute relation contractuelle (liberté de contracter

incertain, le contrat est aléatoire. Aucun des 2 ne sait ce qu'il va recevoir, on ne sait pas au départ qui va avoir un avantage ou pas au contrat. Ex: Contrat d'assurance, on paye X par mois et on ne sait pas s'il va nous arriver qq chose et ds ce cas il va perdre. Ex: Vente viagère, on paye rente chaque mois a une personne. Ex: vente de récolte sur pied, le prix est déterminé alors que la récolte n'est pas encore mure. L'interet de la distinction = possibilité d'obtenir une nulité pour lésion

sanctionner(le creancier(en doirt d’attendre qqch) ne peut pas exiger son debiteur a l’executer. Pour le debiteur l’execution ne constitue qu’un devoir de conscience. L’obl° naturelle peut se transformer dans une obl° civile et donc de devenir obligatoire. Cas : c’ lorsqu’elle commence a etre executé. C’ la jurisprudence, la cour de cassation estime que si le debiteur d’une obli° naturelle execute volontairement cette obl° en toute connaissance de cause(en sageant qu’il n’est pas obligé) il sera censé executer

l'obligation par laquelle le débiteur s'engage a accomplir une prestation a l'égard d'un débiteur . ex: réparer votre voiture , construire la maison , contrat médical . elle fait l'objet de l'art 1142 du CC . les obligations de faire ne peuvent en cas de non exécution se résoudre que par dommage et intérêt . on va pas porter a votre liberté individuelle mais sanction si pas fait . 3. obligation de ne pas faire => plus rare . ce sont les obligations par lesquels un débiteur s'engage a s'abstenir

également un droit de préférence : le détenteur du droit réel, le propriétaire de la chose, est préféré à tous les autres. Le créancier, au contraire, ne profite pas d'un droit de préférence, notamment lorsqu'il est en concurrence avec d'autres, hormis les cas dans lequels il dispose d'un privilège ou d'une sûreté. ...en vertu duquel l'une peut exiger de l'autre... — L'obligation a un caractère contraignant. Cette contrainte oblige le créancier à agir à l'encontre du débiteur. Il pourra le saisir

pouvoirs publics à savoir l’ingénierie financière et la dématérialisation des documents juridiques. En effet au lendemain de l’indépendance le Maroc est entrée dans une économie dirigiste, fortement encadrée par l'Etat qui réglemente strictement les pratiques des professionnels et tente de réguler les marchés. C'est à partir de cette période que l'on observe en droit pénal des affaires, une tendance inflationniste caractérisée, et ce, dans tous les domaines touchant au droit des affaires. Avant de procéder

  d’y   attendre.   Le   DEBITEUR   met   donc   au   service   du   créancier   tt   les   moyens   dont   il   dispose   et   fait   de   son   mieux   pr   le   satisfaire.   Tel   est   le   cas   du   médecin   qui   ne   s’engage   pas   à   guérir   le   malade   mais   seulement   à   lui   donner   des   soins   non   pas   quelconques  mais  consciencieux,  attentifs  et  conforme  aux

de contrainte pour obliger le débiteur a s'exécuter. C'est la force contraignante de l'obligation (sanction étatique : on peut aller devant le juge pour demander l'exécution de l'obligation). Il faut qu'il existe une possibilité d'agir en justice en cas d'inexécution. B. La distinction des obligations civiles (juridiques) et des obligations naturelles Les obligations purement morales : on peut facilement les distinguer des obligations civiles. Ce sont les obligations qui relèvent du fort intérieur