Cas Pratique Promesse De Vente

l’objet de l’obligation est la prestation due par le débiteur ; cet objet peut être soit un fait positif (paiement d’une somme d’argent par exemple, ou livraison d’une chose) soit un fait négatif (une obligation de non concurrence). Dans tous les cas, ces différentes obligations sont évaluables en argent. Ne pas confondre cependant l’objet de l’obligation et l’objet de la prestation. L’objet de l’obligation est constitué par la prestation, et l’objet de la prestation est constitué par la chose elle-même

  Master Droit des affaires Exposé sous le théme : La vente en état futur d’achèvement A l’attention de : M. BENTAHAR Elaboré par : Meryem MOUSTAKAM Zineb ELMDAGHRI Abdelwahed NAIM Année Universitaire 2008-2009   1   Plan Introduction Chapitre préliminaire : le cadre juridique de la VEFA • Le champ d’application de la loi 44-00 • Quelques qualifications voisines Première partie : l’encadrement de la VEFA Chapitre1 : le régime juridique de la VEFA Section 1 : le contrat

de son père. • L’anesthésiste est peut-être une femme  sa mère. Cas pratique : Anaïs et Boris sont fiancés depuis le mois de mars 2011. A l’occasion de la cérémonie de fiançailles, Boris offre à Anaïs une bague de famille, et Anaïs, une clé en or ciselée de grande valeur. La famille de Boris offre divers cadeaux au futur couple. Bien qu’Anaïs apprenne à Boris qu’elle est enceinte, il décide de briser la promesse du mariage pourtant prévu début décembre car il ne se plait plus en la

obtenir satisfaction, doit s’adresser au débiteur et au seul débiteur. Toute autre personne n’est pas concernée (sauf en cas de minorité). A la différence du droit réel qui produit toujours un effet absolu. Il s’oppose « erga omnes » et engendre un droit de suite et confère à son titulaire un droit de préférence. C’est-à-dire qu’en cas de conflit entre plusieurs créanciers ou en cas de conflit avec d’autres titulaires de droit concurrents, le titulaire d’un droit réel peut se payer par préférence

arriver qu’ils soient séparés : on peut avoir des cas de dette sans contrainte (cas de l’obligation naturelle : comporte bien une dette, à telle enseigne que si on la paie, le paiement est valable et ne constitue pas un indu : le débiteur qui a exécuté une obligation naturelle ne peut exiger son remboursement. Mais il n’existe pas d’action pour le contraindre à payer, parce qu’il n’y a pas de Haftung. En sens opposé, on peut également découvrir des cas de contrainte sans dette. Par exemple, une caution

fonction de leur contenu obligationnel. Les contrats peuvent être synallagmatiques ou unilatéraux. Les contrats synallagmatiques sont des contrats dans lesquels chaque partie au contrat doit exécuter une obligation (ex : contrat de vente). Les contrats unilatéraux sont les contrats dans lesquels une seule partie au contrat est tenue par une obligation (ex : donation). Les contrats peuvent être à titre gratuit ou à titre onéreux. Le contrat à titre gratuit c’est

Contrepartie de l'apport = le nouvel associé va avoir de nouveaux droits : politiques, mais aussi pécuniaires (= dividendes > part de bénéfices distribuée aux associés). La contribution aux pertes est le fait pour un associé de perdre son apport en cas de déficit de la société au moment de sa dissolution. Dans les autres types de sociétés, les associés restent tenus des dettes de la société envers les créanciers sociaux = obligation à la dette. Clause léonine = l'art. 1844-1, al.2 du C.civ. interdit

m'engage à vous livrer du vin sans autre précision, le Code civil indique que dans ce cas le vin doit être de qualité loyale et marchande ; mais le problème n'est pas résolu car reste la question de savoir combien de vin je dois livrer. Vous n'avez pas de pouvoir de contrainte sur moi puisque je pourrais me libérer en vous livrant une goutte de vin) ; − nullité des clauses d'exonération de responsabilité en cas de manquement intentionnel ou volontaire (ce principe est aussi justifié par le principe

l’Etat contrairement à l’engagement moral. Exemple : je promets à mon voisin de l'aider à déménager : si je ne réalise pas ma promesse, mon voisin ne pourra pas m'y obliger. Mon engagement est purement moral : il n'y a pas d'obligation juridique entre lui et moi. En revanche, un engagement juridique est garanti par l'Etat : si mon débiteur n'exécute pas sa promesse, je pourrais saisir les tribunaux (cf. p. 3). Mais comment les parties peuvent-elles volontairement créer entre elles des obligations

unilatéraux. Toutefois l’acte unilatéral reste une source secondaire d’O. RMQ : L’O naturelle répond a un devoir moral ou de conscience envers autrui. Elle n’est pas sanctionnée juridiquement. Toutefois l’O morale se transforme en O civile dans 2 cas : A1235 CV al2 prévoit que la répétition (restitution) n’est pas admise à l’égard des obligations naturelles qui ont été volontairement acquittées. [Ex : une personne s’estimant moralement tenue de verser une pension alimentaire à un proche. Elle