Cas Pratique Merchandising

ont des droits et des devoirs pour mériter le respect des consommateurs et donc pour vendre leurs produits. Le consommateur n’est plus dupe des principes commerciaux, il est averti des supercheries et des pratiques d’entreprises, il demande donc une plus grande transparence des pratiques. Il cherche à connaître l’histoire de l’entreprise et du produit et les valeurs qu’elle communique. Il préfère acheter moins mais mieux. Fin 2000, 73,5% des français se déclaraient prêts à payer plus cher un

Enfin, nous remercions l’IUT Paris Descartes de nous avoir organisés un tel projet durant lequel on a eu la possibilité de pouvoir développer le sens de l’organisation et l’esprit d’équipe ainsi que d’appliquer nos connaissances techniques à la pratique. Sommaire Introduction……………………………………….…………P1 I. Attractive, un fort potentiel de réussite……P2 1. Comment le concept Attractive est-il né ?.........P2 2. Un secteur d’activité performant…………………....P4 3. La place d’Attractive

campagnes de communication mises en place passent par la médiatisation des présentations des produits. Cette communication est très sélective, fermée et repose sur des opérations de relations extérieures très prestigieuses. Cependant, il ne s’agit en aucun cas de publicité télévisés ou radio, les marques préfèrent œuvrer dans l’ombre. +  Le marketing élaboré  Le marketing élaboré est associé aux produits de luxe intermédiaire de haute qualité, se rapprochant fortement des produits de luxe

l’alimentation des Français • De fortes quantités consommées par la quasi-totalité de la population • De nombreux actes de consommation • Peut être consommé dans des contextes bien différents, et accompagné d’aliments diverses • Pour son côté pratique et rapide Le pain de mie est un type de pain qui se caractérise par son absence de croûte croustillante et le caractère moelleux de sa mie, qui apparaît très blanche. Choix du produit 6  Un pain de mie salé aromatisé à partager à l’apéritif

.................................................................................................... 211 CHAPITRE 5 Le merchandising (marchandisage) A B C D E Définitions (merchandising, linéaire, facing) Les acteurs du merchandising et leurs objectifs respectifs Étude du comportement d’achat du consommateur Le merchandising du producteur Le merchandising du distributeur ........................................................ 212 ...................... 213 .....

développe ses magasins selon la formule de la franchise. Véritables vitrines de la marque, les Centres de Beauté sont à la fois des espaces de vente de produits et des Instituts de beauté. c. La vente par réunions à domicile Elle se pratique principalement sur le continent Américain (Etats Unis, Mexique, Amérique Latine), 210 000 ambassadrices partagent ainsi leurs secrets de beauté avec leurs amies clientes dans plus de 50 pays. d. Concept du magasin Le nouveau concept de

final. I. Le détaillant et l’élaboration de sa stratégie L’objectif du commerce de détail c’est le consommateur final. Les détaillants doivent choisir avec beaucoup d’attention leur stratégie. (Choix de l’emplacement, service proposé, prix pratiqué …). Les modes d’achat diffèrent par catégorie de classe sociale et les détaillants doivent adopter leur type de point de vente en fonction des attentes des consommateurs. RAPPEL : Les besoins correspondent à une situation de lacune (de manque)

qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce rapport. Introduction : Quand le corps fonctionne, tout fonctionne ! Pas besoin d’en savoir beaucoup pour comprendre que la pratique d’un sport régulier fait autant de bien au corps qu’à la tête… Pour plus de raison : La pratique régulière d’un sport a des vertus euphorisantes Faire du sport, c’est s’occuper de son corps Réussir ou simplement progresser dans un sport Une séance de taï chi ou de streching (étirements sur

sédentaires et itinérants ) représente près de 65% des échanges." que sert de produire au rythme de la locomotive si l'on distribue au rythme de la brouette ? " L'état donne un coup de pouce à la GD par la circulaire Fontanet de mars 1960 qui interdit les pratiques restreignant la concurrence ( en effet les producteurs privilégient toujours les petits commerçants qui représentent encore le gros de leurs ventes ). Le pouvoir des industriels se trouve ainsi réduit. Apparition des média et de la publicité. Le

(ex : professionnels). L’entretien libre ou non directif L’interviewé est interrogé sur un thème et il est invité à parler librement L’enquêteur n’intervient que pour relancer la conversation et encourager l’enquêté à développer sa pensée. En aucun cas, il ne doit intervenir pour émettre un avis, porter un jugement … L’entretien semi directif L’enquêteur suit un guide d’entretien qui indique les différents thèmes à aborder qui peuvent prendre la forme de photographies, de produits, de questions