Cas Pratique Liberté Matrimoniale

collective est une question importante. Lorsque le débiteur en difficulté est marié, il est essentiel de savoir dans quelle mesure son conjoint in bonis, va subir les conséquences d’une procédure collective vers laquelle le pousse le jeu d’un régime matrimonial (…) Le débiteur (…) va-t-il subir seul cette épreuve ou les époux unis dans l’adversité « pour le meilleur et pour pire » vont-ils devoir faire face ensemble ? » Chaque individu possède un patrimoine propre constitué par l’ensemble de ses droits

En effet, le mariage doit rester une liberté pour l’homme (Chap. 1). Pour autant, lorsque deux personnes décident de s’unir par le mariage, elles doivent obligatoirement respecter toute une série de conditions prévues par la loi (Chap. 2). A défaut, différentes sanctions pourront être prises à leur égard (Chap. 3). Chapitre 1 Le droit au mariage - Le principe qui gouverne la formation du mariage est celui de la liberté matrimoniale. Il existe en effet un droit au mariage

comme manquement à l'obligation de fidélité ce qu'elle appelait l'attitude provocante, une conduite immorale ou légère, le comportement injurieux du mari (qui sort avec d'autres femmes). On peut qualifier d'adultère l'inscription dans une agence matrimoniale ou autre système de rencontre, ainsi que les messages électroniques (même si relation physique absente). L'infidélité morale: souvent des problèmes de preuve et pour qualifier une infidélité morale il faut prouver une relation intime affective

Exercices : Cas pratiques a) Monsieur et Madame Dujardin se sont mariés en 1990. Monsieur Dujardin dispose d’une bonne situation, en tant que directeur de clinique, tandis que Mme Dujardin a exercé une activité peu rémunératrice, en tant que spécialiste dans la médecine des plantes. Elle espère cependant développer sa clientèle grâce à la création récente d’un site internet. Depuis 2002, chacun des époux à manqué à son obligation de fidélité. Monsieur Dujardin a quitté le domicile conjugal pour

Partie I : La naissance. Cas de la mère porteuse traité dans un arrêt en Assemblée plénière du 31 mai 1991. Un couple marié avait eu recours à une mère porteuse : ils on voulu adopter (dans ce cas c’était la mère qui ne pouvait pas porter d’enfant, l’enfant était donc seulement celui du père) pour que la femme soit reconnue comme la mère de l’enfant. Mais on a considéré que l’adoption ce n’était pas cela car c’est donner une famille à un enfant qui n’en a pas et dans ce cas c’est donner un enfant

elle était un lieu de production économique. Aujourd’hui elle est davantage un lieu de consommation. Elle est aussi un lieu de solidarité : passage des richesses intergénérationnel. La dernière loi sur les successions de 2006 : elle organise des libertés intergénérationnelles = les grands parents peuvent transmettre avec l’accord des parents directement aux petits enfants (les parents se trouvent déshérités au profit des petits enfants !) en effet les petits enfants peuvent avoir besoin de cette

ans. L'idée est de libérer le mariage de l'emprise éventuelle que pourrait exercer la famille des époux, et notamment on a voulu éviter la pratique des mariages forcés. L'article 145 du Code civil prévoit cependant que, le procureur de la République du lieu de la célébration du mariage, peut accorder des dispenses d'age pour motif graves. Dans la majorité des cas, on considère qu'il y a motif grave quand la femme mineure est enceinte. L'examen de la capacité des époux permet aux personnes mineurs de

apparaît comme un bien parce qu'elle assure le progrès de la société et le renouvellement de l'espèce humaine (Cf. Carbonnier op. cit. p. 27). Le législateur appréhende donc la mort sans émotion. Dans la majorité des cas, la mort est un fait matériel très reconnaissable. Mais en cas de difficulté d'appréciation (de doute) il est fait appel à l'expertise scientifique pour éviter d'enterrer des vivants supposés morts. Par rapport à la mort, trois questions peuvent être soulevées : l'une a trait

Au-delà de ces divers types de familles quels sont les différents liens reconnus en droits. ? Les liens qui lient les personnes d’une famille entrainent des règles spécifiques. Il en existe deux principaux, la parenté et l’alliance. Dans les autres cas la plus part du temps c’est l’enfant qui fait la famille. * Les liens familiaux reconnus par le droit. * Le lien de parenté, c’est le lien du sang, de la filiation. Il est fait référence à la parenté dans l’article 741 du Code civil. Ce

................................................................ 17 A.l’inégalité ........................................................................................................................................... 17 B.La réduction des libertés ..................................................................................................................... 17 II.le droit contemporain...................................................................................................