Cas Pratique Bigamie

entre fait social et norme juridique La famille ne subit pas le poids des normes, elle a une forte capacité d’adaptation, et le droit doit traduire l’influence des mœurs par des règles nouvelles.Il faut faire en sorte que les normes collent aux pratiques. Mais cette influence est réciproque. Le fait social appelle la norme, et la norme modifie le fait social.Exemple : l’évolution du nombre de divorce a conduit à l’assouplissement de la législation ; et cet assouplissement a ensuite facilité le nombre

religieuse L'Église catholique avait une influence considérable sur la société et la vie quotidienne des Français, en particulier pendant l'Ancien Régime. C’est pourquoi le mariage qui est fortement encouragé par l’église et les familles était la pratique répandue dans la société chrétienne. ll faut savoir que le mariage était nécessairement un sacrement, cette conception était imposée par le christianisme triomphant. Les règles qui régissent le mariage sont principalement dictées par le droit

suppose que le consentement des deux époux existe (art.146 du CC). De plus pour remplir toutes ces obligations il faut qu’il y ait une audition commune ou même une audition personnelle. La question de l’absence de consentement, peut se poser dans deux cas. a. L’hypothèse de l’incapacité mentale à consentir Personne atteinte d’une maladie mentale, voire même mariage blanc. Ici les personnes ne veulent pas se marier, mais utilisent le mariage comme un intérêt, un moyen pour leur intérêt personnel

capacité. -Le 15 décembre 1904 est promulguée une loi autorisant le mariage de l'épouse adultère avec son complice. La même loi modifie le sort des enfants adultérins : leur légitimation semble plus facile, mais certains craignent une sorte de bigamie qui permettrait au père d'avoir des enfants légitimes nés de plusieurs femmes. -Le 6 juin 1908, une loi permet de rendre obligatoire pour le juge la demande de conversion de séparation de corps en divorce présentée par l'un des deux époux trois

fondement la portée de cette décision est limitée au cas particuliers examiné le principe de la prohibition entre allié n'est pas mise en question B) les dispenses la dispense est une exemption de la loi dans un cas particuliers ou des motifs justes et raisonnables la dispense est toujours exclue lorsqu'il s'agit de parenté en ligne directe ou lorsqu'il s'agit de frère et sœur ce que JEAN CARBONNIER désigne par l'expression la zone d’horreur il y a cas de dispenses tout d'abord l'article 64 du code

le respect de la vie privée s’éteint au décès de l personne concernée seule titulaire de ce droit. ». Pour la 1ere chambre civile du 8 juillet 2004. Tout au plus les héritiers peuvent défendre la mémoire des parents ou encore le respect des morts en cas d’atteinte de la publication de faits erroné de la personne décédée. Cependant, le risque de confusion existe car le domaine de la vie privée, les faits relatifs à la vie du défunt peuvent, indirectement, viser la vie des héritiers. L’héritier est donc

pleine capacité juridique. Par exemple, certaines personnes sont frappées d'une incapacité juridique (soit de jouissance, soit d'exercice). Dans le cas de jouissance, la personne est privée de l'aptitude à être titulaire de certains droits. Cette incapacité est spécialisée : elle est limitée à certaines personnes et certains droits. Dans l'autre cas, celui de l'exercice, la personne est privée de la faculté d'exercer seule certains droits dont elle est pourtant titulaire. Cette incapacité peut être

explique que toute l’évolution des modes de vie et l’évolution du droit a été de se détaché du droit de la famille lignage pour se consacrer aux droits pour le conjoint et les enfants. On parle aussi de famille unilinéaire ou encore monoparentale. Dans ce cas on désigne le modèle dans lequel l’enfant est rattaché juridiquement qu’à un seul de ces parents ou encore le modèle dans lequel l’enfant est élevé. b- Les causes: Les sociologues sont d’accord pour dire que le divorce est

provoque un manque de repère. COURS Adresse e-mail : pascalesanseau@hotmail.com Manuel : Malaury Fulchiron à jour de 2008 et lexique des termes juridiques. Notation : interrogation de cours séance 4, galop d’essai le 10 avril = après midi, cas pratique et commentaire d’arrêt après les vacances d’avril. Ramassage de travail à la maison et note de participation orale. Définition du mariage dans le code civil : pas dans le code civil, pas de définition légale du mariage. Le code civil

en réalité trois notions : - L’élément préalable = il n’existe pas tjrs dans les infractions, élément neutre en lui-même, n’a rien de criminogène, mais son absence fait disparaitre l’infraction ou en son absence il n’y a pas d’infraction Ex : la bigamie = fait de se marier pour une seconde fois alors que l’époux est encore dans les liens d’un mariage Elément préalable = premier mariage Ex : La corruption suppose que le sujet corrompu soit fonctionnaire, si il n’est pas fonctionnaire l’infraction