Cartographie Des Risques Bancaires

l’article 89 de l’instruction n° 001/GR/2012, les réponses au questionnaire doivent être approuvées et examinées chaque année par les instances compétentes avant le 30 avril et adressées à la Banque Centrale de Mauritanie (Direction de la Supervision Bancaire et Financière) avant le 31 mai, revêtu de la signature du directeur général de l’établissement. Ce questionnaire fait partie intégrante des obligations mises à la charge des établissements de crédit par l’article 47-1° de l’ordonnance n° 2007-20

l’adage de droit romain est, en l’espèce, particulièrement pertinent. Il est approprié au domaine des affaires, non pas que tout soit fraude et corruption (au sens pénal) dans ce secteur, mais lorsqu’une fraude[1] significative est constatée, le risque de corruption est élevé. Le montage frauduleux et l’infraction pénale se complètent à tel point que le caractère autonome des deux infractions n’apparaît plus clairement. Cela explique que l’aménagement des écritures soit nécessaire pour détourner

…………5 Intérêt et objectif du stage Le choix de l’entreprise Présentation du plan Problématique…………………………………………………..……………………………7 Partie 1 :Généralités Chapitre1 : Système bancaire marocain…………………………………………………….8 I. Historique de la profession bancaire au Maroc II. Système bancaire marocain III. Organisation du système bancaire au Maroc Chapitre2 : Présentation et description de l’entreprise…………...……………………10 I- Données générales sur la CDG Capital A - Présentation du groupe CDG B- Présentation

: Industriels : (BTP – Chimie – Mécanique – Agroalimentaire), responsables de collectivités locales, bureaux d’études, prescripteurs, organismes de recherche. Eau, air, bruit, analyse (mesure, contrôle), déchets et recyclage, énergie, nettoyage, risques, santé et environnement, etc. Contact : Nadwa EL BAINE KARIM Tél. : 0522 43 96 23 Fax : 0522 26 02 82 nelbaine@cfcim.org Sécurité Industrie plastique Foire Internationale de l’Industrie Plastique et de la Chimie Du 29 novembre au 2 décembre 2012

de la structure directionnelle de SITRACEL S.A. 11 Figure 3 : Coût d’un défaut (Roger ERNOUL, 2010.) 18 Figure 4: Les étapes liées à la gestion du processus Achat/approvisionnements à SITRACEL 39 Figure 5: Schéma méthode de travail 45 Figure 6 : Cartographie du processus des approvisionnements 60 Figure 7: Le mécanisme liant les MP et les PF ainsi que les directions concernées 63 Figure 8: Représentation des causes de ruptures 72 Figure 9 : Diagramme de Pareto hiérarchisant les causes de ruptures en

à discuter. Les vaccins spécifiques contre la typhoïde et l'Hépatite A sont à discuter également. Quelques risques sont à prendre en compte, notamment celui de l'hépatite A qui est lié à l'hygiène alimentaire ; ainsi que les infections et infestations intestinales diverses, car un grand nombre d'agents infectieux viraux, bactériens et parasitaires contaminent les aliments et l'eau. Le risque fécal existe. L'hygiène alimentaire est relativement importante. 4. INFORMATIONS

TTUU3. TTUU3.1. TTUU3.2. TTUU3.3. TTUU3.4. TTUU3.5. 5 7 9 12 Organisation du secteur bancaire Renseignements à caractère général Organisation et contrôle de la BMCI Actionnariat Changement de statut Structure des principales participations Moyens humains et effectifs Réseau d'agences 1 1 1 2 2 TTUUCHAPITRE I : LE CONTROLE DE GESTION TTUUSection 1 : Théorie du contrôle de gestion bancaire TTUU1. TTUU1.1. UU1.2. UU1.3. UUa- Calcul des résultats par centre de profit UUb- Les ratios

rencontrés par ces entreprises Partie II : Processus de financement des projets de l’Office National de l’électricité Section I : Présentation de l’Office National de l’électricité 2-1-1- Cadre réglementaire 2-1-2- Présentation générale 2-1-3- Cartographie des effectifs de l’ONE 2-1-4- Structure de l’ONE Section II : Analyse du processus de financement du projet « Ain Beni Mathar » 2-2-1- présentation du projet de la centrale de Ain Beni Mathar 2-2-2- Analyse du processus de financement du projet

Certification Qualité La à l ' u s l ’ g e ad e s déut a b l i s s e m e n t s à a us ge secteur ba r ca b a n c a in e s ierte f i n a n c i e r s Le signe du progrès GUIDE DE LECTURE DE LA NORME ISO 9001 : 2000 A L'USAGE DES ETABLISSEMENTS BANCAIRES ET FINANCIERS COMPOSITION DU GROUPE DE TRAVAIL ayant élaboré le présent guide : Jacques BALASSE BNP PARIBAS Dominique COLLET CREDIT LYONNAIS Patrice CRESSENT CDC IXIS Dominique FOISSAC CREDIT LYONNAIS Marie-Jésus HERRERO AFAQ Patrick MAROLLEAU

fixée. Il permet donc de dégager les meilleurs axes de développement de l’entreprise et le choix des meilleures stratégies en fonction des objectifs généraux qui portent sur la rentabilité, la croissance quantitative et qualitative et enfin sur le risque qui peut être accepté. Mais pour pouvoir jouer ce rôle, le contrôle interne doit régulièrement s’adapter à l’entreprise et suivre l’évolution de l’environnement économique parce que chacun des éléments qui le composent à sa place dans le processus