Bentham

LES RELATIONS INTERNATIONALES INTRODUCTION/ On voit le terme international a un philosophe Jérémy Bentham qui a utilisé ce terme pour la première fois en 1781 dans son ouvrage Introduction aux principes de moral et de législation. C’est un terme ancien mais le concept est récent. Il a utilisé cet adjectif pour caractériser une branche du droit, le droit international qu’il a distingué des droits internes. Selon lui l’étude des normes régissant les relations entre les personnes au sein d’un même

l'obtenir? L’homme est au centre de tous les éléments de la société et toutes ses actions sont orientées en quête de sa satisfaction, en d’autre terme son intérêt est toujours au premier plan, c’est bien dans cet objectif que Jeremy Bentham avance ce qui suit «  Toutes les actions humaines sont intéressées par le désir du plaisir et l’évitement de la douleur………………….. »..Dans les lignes qui suivent, on va essayer de faire un commentaire a propos de cette assertion. CONCLUSION

obligatoire pour les décrets parlementaires : complexité du langage Langage émotif (forme de langage prescriptif) : jugement de valeur implicite (discours politiques) : apparence descriptive mais incitation sous jacente donc langage normatif Jeremy Bentham (1748-1832) : classification des mots selon qu’ils soient neutres, péjoratifs ou laudatifs : langage émotif selon l’emploi des termes : dans le langage courant et politique « Parmi les instruments de tromperie qui sont employés pour faire accepter

travailleurs employés, plus de survaleur produite, donc plus d’accumulation. V Fons de travail Le texte de Marx est contre la théorie d’économie classique qui conçoit le capital social comme une grandeur fixe, dotée d’un taux d’efficacité fixe/ Bentham. Donc, Le capital variable ou convertible en force du travail comme une grandeur fixe, soit le capital avec duquel paie le salaire des ouvriers, dite le ‘fonds de travail’ ne peut pas être élargi. Cette théorie défend la classe capitaliste puisqu’il

loi universelle de la nature ». Ce qui n’est pas universalisable n’est pas moral. 2. Conséquentialiste qui consiste à analyser une action qu’indépendamment de son intention de celui qui agit. Ex : Les utilitaristes anglo-saxons comme Mill ou Bentham. Seul compte l’effet positif et négatif de l’action. Objection :On peut vouloir bien faire et produire une catastrophe. Ex : « L’enfer est pavé de bonnes intentions » Objection : Un homme peut agir de façon apparemment moral sans être vraiment

Innovation : perçu comme innovant mais pas forcément nouveau. MESSAGE Un objet ça raconte quelque chose : les objets ne sont pas muets. Il peut raconter, une époque, un style, etc… Les objets produisent de la signification. OPEN SPACE : économiste BENTHAM à l’origine de la question de l’utilité : système panotique : pânotisme. Tout le monde surveille tout le monde. L’open space est un système panotique. On empêche psychologiquement l’autre de faire ce qu’il à envie de faire. MATIERE Objets culturels :

la peine de mort , la raison est d’ordre culturel. En France , on a une conception du droit qui est assez moralisante : il y a toujours dans les règles de droit un fond moral : pourquoi l’adultère est une cause de divorce ? C’est immoral. Jeremy Bentham est utilitariste ( l’ADN du droit américain ) . En France , on va adopter une règle droit parce qu’elle nous semble juste et morale . Le critère de l’utilitarisme qui façonne les esprits américains : on adopte une règle de droit parce qu’elle est

proposée à la force publique ... D'où la certitude qu'il nous faut obéir aux lois non parce qu'elles sont justes, mais parce qu'elles sont lois. Une sagesse devant la puissance de l'ordre établi que l'on peut apparenter à l'arithmétique morale de Bentham, pour qui le citoyen était censé comparer, dans un raisonnement utilitariste, l'avantage du délit aux inconvénients de la peine. Pourquoi obéir aux lois ? Peut-être parce que pour le citoyen moyen "There is no better way ?". La tentation est

pas d’Etat des solidarité s’exercent → l’Etat nous conduit à être seul face à lui car c’est le seul a donner la vie. L’UTILITARISME → XIX : « La meilleure action est celle qui procure le plus grand bonheur des plus grands nombres » MILL & BENTHAM : - Toutes mes conduites sont subordonnées au principe de l’utilité → Le bien = plaisir ou ce qui cause le plaisir / le mal = peine, ou ce qui cause la peine - Arithmétique des plaisirs et des peines → Fonder une évaluation morale sur un calcul

encore plus qu’avant) un exemple pour les individus. Il faut désormais dresser les corps, c’est l’ère du pouvoir disciplinaire. Ce pouvoir disciplinaire est entre autre investit dans un projet architectural imaginé par le philosophe anglais Jeremy Bentham (1748-1832) : c’est le Panopticon. Son dispositif peut être mis en œuvre non seulement pour les prisons, mais aussi les hôpitaux, les ateliers, les écoles. Le Panopticon produit du savoir sur les individus surveillés et ce savoir permet d'augmenter