Bentham

la solidarité mécanique à se raréfier au profit d’une solidarité organique toujours croissante. Pour expliquer ce fait social il va l’expliquer par un autre fait social. Il s’oppose aux thèses individualiste ou utilitariste défendu par Spencer ou Bentham. Il va proposer une explication sociologique holiste. Pour expliquer les phénomènes de la division du travail il faut le replacer dans un processus plus général de différenciation sociale cad un processus qui implique l’ensemble de la société et pas

1. Toute personne a le droit de prendre part libremement a la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progres scientifique et aux bienfaits qui en résultent Théorie 2: utilitariste ou approche économique (Locke Bentham) les sbiens de propriété intellectuelle sont faciles a reproduire et leur usage (par opposition a la majorité des biens matériels) n'entraine pas une détérioration ou consommation du bien danger du « free rider », de celui qui n'a pas a payer

changements engendrés par cet avènement, ainsi que les différentes propositions d’organisations proposées par Taylor notamment. Dans ce chapitre, l’auteur s’appuie sur les travaux de nombreux auteurs : K. Marx, M. Weber, C. Darwin, M. Berthelot, J. Bentham et bien évidemment F. Taylor. A chaque observation énoncée, P. Bernoux prend bien soin d’expliquer pourquoi telle organisation du travail n’a pas fonctionné, le contexte d’apparition de tel mouvement, les critiques engendrées, pourquoi cela ne fonctionnerait

1- La notion de « Relations internationales »: l'État au centre des relations internationales. International = Entre les nations (Jeremy Bentham). L'expression semble mettre en valeur la nation mais l'expression vise pourtant davantage les relations inter-étatiques. L'État s'identifie à la nation. 1ère approche: Les relations internationales sont donc des rapports entre États, des rapports pacifiés ou conflictuels, et leurs instruments juridiques qui servent à fonder ces rapports, comme par

croissance sont fortement liées. La croissance doit permettre une augmentation de bien-être de la population, mais comment le mesurer ? Cette augmentation est-elle la somme des bien-être individuels comme le montre la théorie de la valeur utilité de J. Bentham ? Se situe-t-elle à un point extrême tel que la situation de l'un soit détériorée en changeant la situation d'un autre comme le veut la théorie de Pareto. Il y aurait bien plutôt un ensemble de choix possibles tel que la solution qui maximise l'utilité

métaphysique des mœurs (1785) Qu’est-ce que s’orienter dans la pensée ? (1786) Critique de la raison pratique (1788) Critique de la faculté de juger (1790) Théorie et pratique (1793) Traité de pédagogie (1803) ; J. Bentham (1748-1832) Panoptique ou Maison d'inspection (1786) Introduction aux principes de la morale et de la législation (1789) . Première période contemporaine (le grand XIXe siècle) G.W.H. Hegel (1770-1831)

George Edward Moore. Pour ce dernier, le bien ne peut être défini et seule l'intuition permet de le saisir (nous verrons plus loin la place de l'intuition chez Keynes). Cela l'amène à critiquer à la fois la tradition utilitariste issue de Jeremy Bentham qui confond plaisir et bien, et les idéalistes tels que McTaggart ou Lowes Dickinson. Dans la pensée de Moore, l'important ce sont les « états d'esprit » (les joies que nous ressentons) dont les plus estimables sont le plaisir des relations entre

condamnés à l’intérieur et à l’extérieur de la prison). L’idéal-type de l’architecture de la prison, et plus largement des mises en pratiques des disciplines, c’est le panoptique. Le panoptique, c’est un dispositif architectural créé en 1791 par Jeremy Bentham, philosophe anglais, père de l’utilitarisme. Ce qui est déterminant, c’est la référence au regard. Le panoptique est un édifice où certains doivent voir d’autres, qui doivent être vus : à la périphérie un bâtiment en anneau, au centre une tour percée

espérée. Les consommateurs achètent le produit si l’utilité escomptée est supérieure au prix. Jeremy Bentham : créateur de la notion d’utilitarisme. J.Bentham considère que l’utilité est la satiété d’un besoin et le soulagement d’une peine. L’utilitarisme est donc l’utilité rapporté à la maximisation des plaisirs et la minimisation des peines, ceci apporte du bien être à l’individu dans la société. Bentham voit la demande comme l’ensemble des utilités individuelles Apparition de l’utilité sociale, et

limites La question est de connaitre l’unité de mesure des inégalités. Le critère utilitariste est associé à Jeremy Bentham à la fin du 18ème siècle. Pour lui une distribution juste est une distribution qui permet de maximiser l’utilité globale de la collectivité. Cette utilité globale de la collectivité consiste en la somme des bonheurs individuels. Cela est possible car Bentham développe une conception cardinale de l’utilité. On peut donc associer à chaque niveau d’utilité une valeur. L’unité