Bentham

l’argent. Cherche la signification de l’utilité, pour atteindre le Bien. Cf Adam Smith, J. Bentham (qui a inventé « déontologie » en 1823). Bentham : utilitariste. Utilitarisme n’est pas Morale, car celle-ci consiste à chercher le Bien en dehors de l’utilité immédiate. Le courant économique de l’époque : laisser faire, laisser l’économie se réguler elle-même, le gouvernement ne doit pas agir sur l’économie. Bentham réfléchit sur le devoir en fonction de l’utile et par groupe professionnel, réfléchit

fait demeurent légitimes. Rawls considère qu’ existe de justes inégalités. il 2.2 La critique de la pensée libérale – La conception libérale de l’ État est ‡ oue. Rosanvallon a¢ rme que les penseurs fondateurs du libéralisme, comme Smith ou Bentham, sont incapables de …xer clairement les limites de l’ intervention de l’ État. Ils considèrent que deux États coexistent : "un État de droit, gardien de la démocratie et garant des libertés individuelles, et un État interventionniste, destructeur

également que la répression doit être utile' et elle doit être prévu par les textes ; on doit savoir par avance quelle peine on risque pour un crime commis. La loi est l'expression de la volonté générale. Un autre auteur de l'école classique, Jeremy BENTHAM. Il pousse plus loin l'analyse de l'utilité, il explique que l'être humain connaît 2 mesures, à savoir la souffrance et le plaisirs, le châtiment dot alors être suffisant pour contre carré le plaisirs. Il dit aussi que pour que l'on sache ce qui a

Au-delà de cette constante, la problématique de la codification demeure largement placée sous le signe de la diversité. Histoire Le mot « codification » (du latin codicem facere : faire un code) n’apparaît qu’en 1815 sous la plume de Jeremy Bentham pour désigner alors le projet de composer un corps complet de législation. Le terme de « code » fut cependant utilisé dans la langue juridique d ès la fin du IIIe s. pour décrire le résultat de certaines entreprises de rassemblement du droit existant

nombreuses dérives politiques.  Ainsi, Edmund Burke, dans ses Réflexions sur la Révolution Française, publiés en 1790, stipule que la DDHC ne peut être appliqué dans la réalité politique et prédit une dérive dictatoriale qui sera la Terreur.  Jeremy Bentham, de l’école utilitariste réagit à cette même DDHC en dénonçant l’anarchie finale qu’elle produira en défendant des droits naturels. Or un droit étant institué par une loi, cette dernière n’étant pas naturelle, un droit ne peut l’être également. Ainsi

recherche l’agir pour une communauté.   [1] Saint Thomas d’Aquin, Summa Teologica, qui réconcilie le christianisme avec la philosophie d’Aristote [2] Descartes, Traité des passions, 1649 [3] Kant, Critique de la Raison Pratique, 1788 [4] Jeremy Bentham notamment, a orienté l’éthique vers la recherche de l’utilité sociale, Une introduction au principe de morale et de législation, 1789 [5] Tel que conçues à l’origine par Henry Sidgwick, The Methods of Ethics, 1874 [6] Paul Ricoeur, “Ethique et Morale”

C'est une critique formulée par Pascal contre Hobbes : la raison ne peut servir à nous indiquer des lois naturelles universelles. Cette objection se rapproche du non-cognitivisme éthique, qui s'oppose au réalisme moral. Elle est reprise par Jeremy Bentham, qui insiste sur l'équivocité de la notion de droits naturels dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Il essaie alors de formuler un conceptutilitariste des droits de l'homme. -------------------------------------------------

chacun poursuivant ses intérêts mais, d’un autre côté, poser la soumission de l’individu verse dans le totalitarisme. Il y a un équilibre à tenir entre ces deux risques Cf. cours sur la société et texte de Bergson, Les 2 sources de la morale… Cf. Bentham et l’utilitarisme en général (cours sur le bonheur) c. Intérêt & limites de la thèse de Kant : L’on pourra se référer à Marx ou Hegel qui posent, avec Kant, la nécessité d’un passage par l’élément négatif pour expliquer les progrès de la raison

existe bel et bien un devoir de rechercher le bonheur mais ce bonheur n’est plus le bonheur individuel mais un bonheur collectif. III. La recherche du bonheur est-elle le fondement de la moralité ? 1) la perceptive utilitariste a. L’hédonisme de J. Bentham et da rectification par J.S Mill. Le bonheur que nous devons rechercher est le bonheur de tous, et il se peut donc que pour le respecter je doive sacrifier mes intérêts et mon bonheur personnel : car la fin la plus haute n’est pas mon bonheur personnel

COLDEFY Antoine CHABALIER SCEC Berthoud Coldefy Chabalier 13 Rue Maurice Bompard 12000 RODEZ Tél : 00 33 5 65 77 28 28 Philippe DONNADIEU Michel DEHORS Alexis ALVAREZ Marc PEDUSSAUD Nicolas LEONEL Audit Sud Conseil Zac de l’aéroport 45 rue Jérémy Bentham 34473 PEROLS CEDEX Tél : 00 33 4 67 60 88 60 Fax : 00 33 4 67 60 99 16 www.auditsudconseil.com Jean GUILLERMINET Bernard LAPOUYADE DGL Experts Conseils 2 rue René Gomez 34500 BEZIERS Tél : 00 33 4 67 09 27 27 Fax : 00 33 4 67 30 72 03 www.dgl.fr