Beauté Cruelle

Ronsard et Yeats Exercice comparatiste : Prendre conscience du temps avant de vieillir, c'est ce que fait Ronsard dans son sonnet le plus célèbre de la poésie française adressé à Hélène, sa bien-aimée, filles d’honneur de Catherine de Médecis, d’une beauté extrême, elle avait perdu son fiancé dans la guerre en 1570 et c’est là qu’il lui chante pour l’immortaliser. Ainsi que Yeats discutaient leurs poèmes sur la vieillesse et l’amour impossible .c’est Maud gone qui lui a inspirés ses poèmes et tomba

gardes » -Pour les prisonniers durant ce rite l’attente est interminable et inhumaine, le sort de leur propre vie est incertain, ils attendent le verdict, ils sont morts de peur, vont-t-ils pouvoir continuer de vivre ou non ? Ainsi la scène apparaît cruelle et insupportable, car le rite est répétitif mais se révèle également être duratif. *répétition désignant le caractère interminable de l’attente, et imparfait de description transcrivant la peur omniprésente des prisonniers. « Et nous devions attendre

du cadavre en putréfaction à l’aide de son souvenir. De plus, Baudelaire mentionne dans la neuvième strophe une chienne regardant le cadavre « d’un œil fâché » (v.34) exigeant manger le « morceau qu’elle avait lâché » (v.39). Cette image assez cruelle du chien voulant manger un morceau de la charogne choque le lecteur et provoque à nouveau le dégout. Aux strophes 10 et 11, le narrateur s’adresse à quelqu’un, probablement à une femme, en lui disant qu’un jour elle finira comme la charogne. Finalement

crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir ? Hymne à la beauté : (Baudelaire) Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme, Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l'on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore ; Tu répands des parfums comme un

comprenne Dans le fatal tribut ; tous sont de son domaine. Et le premier instant où les enfants des rois Ouvrent les yeux à la lumière, Est celui qui vient quelquefois Fermer pour toujours leur paupière. Défendez-vous par la grandeur, Alléguez la beauté, la vertu, la jeunesse : La Mort ravit tout sans pudeur ; Un jour, le monde entier accroîtra sa richesse. Il n'est rien de moins ignoré, Et, puisqu'il faut que je die, Rien où l'on soit moins préparé. Un Mourant, qui comptait plus de cent

de l’homme à travers sa compassion face à la souffrance du crapaud ? Dans un premier temps nous étudierons la souffrance du crapaud que l’auteur nous exprime à travers le texte. Dans un second temps nous montrerons la conscience de la supériorité cruelle de l’homme. Puis dans un dernier temps, nous étudierons l’apparence trompeuse de l’Homme d’après l’auteur puis la dépendance de ladescription physique du crapaud avec son destin. Dans un premier temps, nous allons observer la souffrance du

Notre-Dame. Remarquable par sa beauté, elle incarne l'innocence et la naïveté. Les désirs qu'elle suscite sont le principal engrenage de la fatalité qui lui coûte également la vie à la fin du roman. Le malheur d'Esmeralda est causé par l'amour impossible qu'elle éveille chez l'archidiacre de Notre-Dame, Claude Frollo, qu'elle craint et déteste. De son côté, Esmeralda entretient une passion naïve et aveugle pour Phœbus de Châteaupers, un capitaine de la garde dont elle admire la beauté. Le bossu de Notre-Dame

Andalousie que les révoltes paysannes mettent à feu et à sang. Elle traîne avec elle sa caravane d'enfants, eux aussi pourvus - ou accablés - de dons surnaturels. Avis : Le Coeur cousu propose au lecteur une fresque à la fois mélancolique, cruelle et drôle. Le lecteur s'attache au devenir de la famille Carasco, à commencer par la mère, Frasquita. La maman de cette dernière lui fait subir, à la puberté, toute une série d' "épreuves" au cours de laquelle Frasquita héritera de prières et d'une

Laissons l’auteur expliciter à travers les premières phrases du livre : J’ai toujours raté mes suicides. J’ai toujours tout raté pour être exact : ma vie comme mes suicides. Ce qui est cruel, dans mon cas, c’est que je m’en rends compte. Nous sommes des milliers sur Terre à manquer de force, d’esprit, de beauté ou de chance, or ce qui fait ma malheureusement singularité, c’est que j’en suis conscient. Tous les dons m’auront été épargnés sauf la lucidité. Une entrée en matière fracassante et vertigineuse

la voir rire de moi, S'éjouissant de me voir en tristesse. Ni son bel oeil, qui m'oeillade sans cesse, Ni de sa bouche une parjure foi, Ni sa beauté, de moi tant admirée, Ni de ses yeux une flèche tirée, Ne me vaincront pour me rendre encor sien. Adieu donc, l'oeil, adieu doncques, la bouche, Adieu, beauté, adieu, flèche sans touche, Cruelle, adieu, car je ne suis plus tien. Pierre de RONSARD (1524-1585) : Amour me tue, et si je ne veux dire Amour me tue, et si