Beauté Cruelle

discours direct fait que cette femme reste une inconnue pour le lecteur. Décrite essentiellement par deux adjectifs au superlatif « fort jeune » (l 9) et « si charmante » (l 12), cette femme éblouit notre protagoniste. Ce dernier adjectif qualifie sa beauté mais laisse tout de même sous entendre un côté magique, elle l’hypnotise. Cette apparition bouleverse notre personnage, un homme de raison : « dont tout le monde admirait la sagesse et la retenue » (l 16), « timide » (l19), qui commencera à agir

trait  » : vocabulaire de la lumière · « Cruel  », «  frappe  », «  traits  » : vocabulaire de la violence, de l’agression. Violence de la clairvoyance. Cette lumière peut éclairer la laideur, le vice. Révélateurs de vérités, d’intimités cachées associées aux vices, à la débauche. Il est cruel car il montre des choses laides, sordides et pas faites pour la, poésie.

impatiemment la suivante. L'art du suspens crée par Racine et la complexité des personnages contribuent à donner du caractère au récit, l'invention même d'Aricie n'est là que pour donner un peu plus de piquant à cette tragédie. J'ai pris conscience de la beauté de la langue de Racine, le style d'écriture et les alexandrins splendides, mais surtout de la force de la passion de Phedre. C'est en particulier cette incroyable passion qui m'a touché dans cette œuvre. Je suis restée sous le choc de ces passions

ressorte. Il reprend alors son périple . Scylla est également une jeune fille. Sa généalogie est sujette à de multiples variantes cependant le nom de Phorcys, un dieu marin, ressort souvent comme étant son père. Elle est d’une grande beauté et c’est cette beauté et la jalousie qu‘elle suscite qui sera cause de sa métamorphose et non un défaut ou une mauvaise action.Les détails divergent également sur la transformation en monstre. Soit Circé est jalouse parce que l’homme qu’elle aime lui préfère

cinquième, “Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle” , tire du recueil « L’Hecatombe de Diane » ecrit par Theodore d’Aubigne. Cette auteur participe en tant que combattant a la deuxieme guerre de religion (1567-1568). Tout ces poèmes sont différents et pourtant communs en même temps. Ils ont chacun comme thème commun la guerre, mais évoquée sous différents angles: certains l'honorent ("Le dormeur du val", "Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle") et d'autres montrent son horreur ("Depuis

d'espionnage il sera tué, regrettant alors la douce quiétude de son pigeonnier et la compagnie de son ami. Ici, Fénélon met en scène une condamnation de l'ambition. L'apologue dénonce aussi un monde cruel avec le joujou du pauvre, de Baudelaire où la quête du divertissement est illustré par un jeu cruel qui rapproche les milieux sociaux. Il montre que l'enfant pauvre et l'enfant se satisfassent du même jeu : malmener un pauvre rat. Preuve que leur point commun est dans leur méchanceté et à travers

population, en effet il a des mots tels que « terribles » (v.3), « dardant » (v.4) et « ténébreux » (v.4), qui mettent en valeur la menace que peut peser ces êtres infirmes. Dans le premier quatrain, Baudelaire fait une ironie, mais une ironie cruelle sur l’état des aveugles. En effet il dit « contemple-les » comme s’il fallait qu’on les admire, puis dans le vers suivant il dit « vaguement ridicules ». Autrement dit Baudelaire se moque des aveugles, il a une volonté méchante adressée à l’aide de

Ensuite, nous étudierons comment le poète traite la condemnation de la mort, ce qui nous conduira finalement à parler de la leçon de vie de Ronsard. Dans un premier temps, nous voyons que le poète nous parle des fleurs, l'allégorie de la beauté par excelence, et qui sont en réalité comparées à la jeune femme aimée. Le poète fait d'abord apparaitre les fleurs en tant que présent pour prouver son amour à la jeune femme, ce qui prépare la métaphore prochaine de la femme et les fleurs

quelquefois passé par la tête. Memnon se dit à lui-même : Pour être très sage, et par conséquent très heureux, il n'y a qu'à être sans passions ; et rien n'est plus aisé, comme on sait. Premièrement je n'aimerai jamais de femme ; car, en voyant une beauté parfaite, je me dirai à moi-même : Ces joues-là se rideront un jour ; ces beaux yeux seront bordés de rouge ; cette gorge ronde deviendra plate et pendante ; cette belle tête deviendra chauve. Or je n'ai qu'à la voir à présent des mêmes yeux dont

soldat). Sorti de guerre, il s’interesse à la débauche et à cette société « folle » qu’est l’Allemagne dans les années 20. De ces années on retient surtout l’époque de la beauté et du plaisir, du jazz, des cabarets, du strip-tease, des strass et des paillettes. Mais celà n'est qu'une façade. L'envers du décors, c'est la réalité cruelle et sordide d'une époque contre laquelle vont s'engager les artistes. Cette réalité, Otto Dix va la peintre dans son œuvre opposant le luxe des riches bourgeois de la