Beauté Cruelle

féminin. Elle n'a gardé que des bijoux, ce qui est tout autant évocateur de la beauté féminine : « elle n'avait gardé que ses bijoux ». De plus, cette femme attirante est sure d'elle : «  elle souriait d'aise ». Le vocabulaire pour la description de cette femme est mélioratif : « l'air vainqueur », « charme neuf »,  « onduleux comme un cygne », « le fard était superbe ». Dans le poème Le serpent qui danse , la beauté féminine est traduite par des références exotiques «  âcres parfums », « le serpent »

(Thèse→)Personnellement, je crois que Shrek 2 est un chef-d’oeuvre et il m’a ravi à cause de ses nombreuses qualités. Je le place tout en haut de ma liste des meilleurs films d’animation jamais produits.(S. divisé→)Les trouvailles des scénaristes et la beauté des images ont particulièrement attiré mon attention en me divertissant infiniment. (Marqueur + énoncé→)Tout d’abord, il me faut souligner les allusions fort habiles à des personnages de contes de fées ou à des personnages légendaires. (Exemples

cheminée, vers 1 et 2 montre une douceur chaleureuse et une aisance matérielle. Douceur également artistique, car pendant qu’Hélène file elle chante les vers de Ronsard qui lui sont dédier. Il y a une évocation heureuse en mentionnant son ancienne beauté au style direct. Mais cette douceur est bien monotone, on à l’impression que la vie d’Hélène et de ses servantes est trop bien régler. On a un rythme régulier dans les quatrains et dans l’alexandrin du a l’assonance du

L’île fortunée : c’est là que, selon leur douce loi neuf sœurs rendent la justice à ceux qui vont vers elles depuis nos régions : l'aînée des neufs est particulièrement compétente dans l'art de guérir et surpasse ses sœurs par son exceptionnelle beauté ; 2elle a pour nom Morgane et a étudié les vertus médicinales de toutes les plantes pour soulager les corps souffrants ; elle est aussi passée maîtresse dans l'art fameux de la métamorphose et dans celui de fendre les airs de ses ailes neuves, comme

en reste, avec Salomé et Judith là aussi il sagit de beautés fatales,corruptrices, cruelles ou vengeresses. Plus tard, au Moyen-âge, l'église dénonce la beauté féminine en lui conférant une dimension diabolique. Par de là ces jugements iniques, obscènes ou simplement idiots, qui , hélas , trop souvent perdures, la beauté féminine et plus largement humaine, reste à tous points de vue magnifique. La plus part du temps parler de la beauté s'avère difficile, les mots nous paraissent inadaptés

ou encore » le père » de Titus étaient les seuls obstacles à cet amour, étaient les seuls à s’opposer aux sentiments de Titus représentés par la synecdoque amoureuses« une si chère main ». « Ah Seigneur ! Songez-vous en vous-même / combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? / Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous/ Que tant de mers me séparent de vous ? »Titus, sur le même registre pathétique exprime sa douleur en sachant qu’il perd Bérénice puisque « je sens bien que sans vous

Poésie / Thèmes abordés : amitié, amour, arbre, beauté, chaleur, différence d'âge, espérance, jeune fille, lumière, lune, mer, mort, muse, musique, mythologie, poète, regret, saisons, soleil. Forme du poème : sonnet / alexandrins. Rimes ABBA / ABBA / CCD / EED. INTRODUCTION Prendre conscience du temps qui conduit à évoquer la vieillesse, c'est ce que fait Ronsard dans ce sonnet adressé à Hélène. Si elle se reconnaît dans l'image cruelle d'une jeune femme nostalgique, elle comprendra qu'il

devant quelque chose d'extraordinaire, d'imprévu, sentiment de joie et d'admiration devant ce qu'on juge de beau ou de grand. Ordre d'admiration ou de surprise : « Il parut » « une beauté » « donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes » « il fut surpris de la grande beauté de Mlle de Chartres, et il en fut surpris avec raison » « un éclat que l'on n'a jamais vu qu'à elle ». → Elle attire les yeux de tout le monde, elle est encore + belle que les + beaux

concrets comme en témoignent, par exemple, les expressions suivantes : « ce qu’il y avait de mieux fait et de plus agréable à la cour » l2 superlatif. « L’air brillant qui était dans sa personne » l20. *Leur beauté étant indicible, la narratrice préfère montrer l’effet produit par cette beauté sur le partenaire. L’effet produit est le même chez les 2 personnages comme le souligne la double litote en forme de parallélisme « il était difficile de n’être pas surpris de le voir quand on ne l’avait jamais

Par$e écrite 1) Présenta$on : Poème numéro 1 : « La beauté » poème 17 du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire. Son thème : Dans ce poème, Baudelaire évoque la beauté. Le « je » représente la beauté elle-même et tout ce qu’elle représente pour l’homme, aussi bien la femme, un objet, la nature. Mais la beauté est aussi cruelle qu’elle fascine. Baudelaire dessine un portrait de la beauté d’une manière austère et froide. Ce poème comporte les deux visions du spleen et de