Beauté Cruelle

accompagnée d'une jeune femme à la beauté fascinante. Il se souvient alors qu'enfant, dix-huit ans auparavant, il les voyait sur le trajet qu'il parcourait du lycée à sa maison ; qu'un jour, la petite fille fut seule, mais que, trop lâche, ligoté par sa réserve de petit garçon de bonne famille, il ne sut pas répondre à son invite, eut peur de cet amour, de cette passion. Aussi, aujourd'hui, passe-t-elle près de lui sans s'arrêter, son visage portant «une expression cruelle de dédain et de colère». Analyse

transformé en phrase interrogative par Narcisse suivi d’une longue tirade de Néron expliquant cette confession. Cette réplique, présentant l’élément déclencheur de l’aveu vers 390 « D’une beauté qu’on vient d’arracher au sommeil », c’est l’enlèvement de Junie. Cet acte expose un caractère de Néron c’est une personne cruelle puisqu’il éprouve du plaisir à voir quelqu'un souffrir, notamment dans ce passage Junie. Vers 402 « j’aimais jusqu’à ses pleurs que je faisais couler », à travers ces paroles Néron

Leurs tiges vont plier au grand vent qui s'élève. Des pétales de rose ont chu dans le chemin. Ô Belle, cueille-les, puisque nos fleurs de rêve Se faneront demain ! Mets-les dans une coupe et toutes portes doses, Alanguis et cruels, songeant aux jours défunts, Nous verrons l'agonie Aux râles de parfums. Le grand jardin est défleuri, mon égoïste, Les papillons de jour vers d'autres fleurs ont fui, Et seuls dorénavant viendront au jardin triste

question est ici de savoir si cette définition donnée au roman correspond également à la nouvelle Stendhalienne : Mina de Vanghel. En d’autre termes, en quoi « ce micro roman » peut il être considéré comme le parfait reflet de la vie réel, de ses beautés mais aussi de ses vices ? Certains éléments de l’histoire du personnage de Mina nous permettrons de répondre par l’affirmative. Par ailleurs, Stendhal, dans cette nouvelle, n’a t-il pas simplement voulu donner l’illusion du réel afin de poursuivre

Hymne à la beauté | Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme, Ô Beauté ? ton regard infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l'on peut pour cela te comparer au vin.Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore; Tu répands des parfums comme un soir orageux; Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ? Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien;

un rêve aux apparences surréalistes. Il décrit Paris comme un tableau coloré et merveilleux : «  entre des quais roses et verts » (l. 26), «  palais infini » (l.14), « rideaux de cristal » ( l.18), « architecte de mes féeries » (l.37). Tout devient beauté, gaité : «  Et tout, même la couleur noire, / semblait fourbi, clair, irisé » (l.41-42). Cependant, les deux strophes finales forment un violent contraste entre son rêve et son brutal réveil, retour à la réalité, caractérisé par l'utilisation de l'adverbe

personnage et annoncent son destin ( comme dans Stendhal ) Madame de Lafayette expose d'abord la stupéfiante beauté de son héroïne mais elle éclaire aussi son personnage par le récit de son éducation exemplaire. C'est alors que la figure maternelle envahit le portrait de la fille et on sait de quelle façon cette éducation influencera ses futurs choix. L'accent est d'abord mis sur « une beauté » qui ne détaille aucune description. Lorsque la narratrice veut donner des précisions, elle ne donne que de

travers l'énonciation, la structure, les exemples qui reprennent ceux des deux poèmes de Ronsard du corpus tout cela pour pouvoir réussir à convaincre la femme aimé. Même si ce texte est différent de ceux de Ronsard on retrouve quand même la lucidité cruelle, ironique parfois cinglante et la tendresse profonde des textes de Ronsard. En premier lieu nous verrons que Queneau offre une transposition Burlesque du thème Ronsardien. Nous avons bien ici une parodie des thème de Ronsard car ici Queneau utilise

délicatesse se trouve à notre goût excellente, à l’envi des nôtres,(7) en divers fruits de ces contrées là sans culture. Ce n’est pas raison (8) que l’art gagne le point d’honneur sur notre grande et puissante mère Nature. Nous avons tant rechargé la beauté et richesse de ses ouvrages par nos inventions, que nous l’avons du tout étouffée. Si est-ce que (9) , partout où sa pureté reluit, elle fait merveilleuse honte à nos vaines et frivoles entreprises Notes : instrument de réglage optique, ici

Comentaire composé de Carmen – Théophile Gautier Le poème Carmen de Théophile Gautier fait partie du receuil « Emaux et camées », publié en 1852. Il est composé de six quatrains en octosyllabes à rimes croisées. Dans le poème, Gautier présente la beauté de la femme d’une manière très différente de la façon romantique qui était si populaire à cette époque là. Tout d’abord je vais exposer l’image irrégulier de Carmen,avec sa laideur et après je vais analyser le lyrisme et comment il parvient à créer