Beauté Cruelle

roman d’Oscar Wilde, est une œuvre à la richesse psychologique et l’élégance stylistique telles qu’elles lui confèrent, à l’image de son personnage, une éternelle jeunesse. Car tel est, en partie, le thème de l’histoire, celle d’un jeune homme d’une beauté exceptionnelle qui sème la désolation et l’envie sur son passage. Grandement impressionné par la perfection physique de Dorian Gray, son ami Basil Hallward, peintre talentueux, décide d’en faire l’œuvre de sa vie : « Sa personnalité m’a suggéré une

terres, n’arrête pas de penser à elle et à sa beauté : « bien que les champs, les fleuves et les lieux/ les monts, les bois, que j’ai laissés derrière/ me tiennent loin de ma douce guerrière/ […] Toutes les nuits, impatient de hâte/ entre mes bras je rembrasse et retâte/ son vain portrait en cent formes trompeur ». Ainsi le poète est impatient de revoir son amoureuse et passe des nuits entières à penser à elle et à son beau portrait en se rappelant de sa beauté. De même, l’idéalisation de la femme est

qui apporte la vie. Puis nous poursuivrons avec « La beauté », de Charles Baudelaire extrait de « Les Fleurs du mal », 1857. Il fait aussi l'éloge de la femme, de sa beauté mais ici l'auteur prend la place de la femme, il parle a la première personne. Beaudelaire nous présente d’abord la beauté sous un visage ambigu et contradictoire. Il montre ensuite la fascination qu’elle exerce sur lui, ce qui donne lieu à un véritable hymne à la beauté. Notre étude continuera avec « Les yeux d'Elsa » de

Jeanne Duval, capricieuse et cruelle. Choisissez 3 ou 4 expressions qui évoquent Jeanne Duval comme capricieuse et cruelle. Pour les trouver, lisez les poèmes suivants : « Je t’adore àl’égal de la voûte nocturne… », « Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle… », « Sed non satiata », « Avec ses vêtements ondoyants et nacrés… », « Le serpent qui danse », « Une nuit que j’étaisprès d’une affreuse Juive… » (XXIV, XXV, XXVI, XXVII, XXVIII, XXXII) 5. Jeanne Duval, une beauté périssable. Dans « Une charogne

Dont la senteur me ravit tout de moi. Prends cette rose, et ensemble reçois Dedans ton sein mon cœur qui n’a point d’ailes : Il est constant et cent plaies cruelles N’ont empêché qu’il ne gardât sa foi. La rose et moi différons d’une chose : Un Soleil voit naître et mourir la rose, Mille Soleils ont vu naître

femme a) Paul Eluard  « La courbe de tes yeux » b) Leopold Sedar Senghor  « Femme noire » c) Louis Aragon  « Les yeux d’Elsa » 2. La femme insaisissable a) Marc Alyn « le long chemin qui conduisait à toi » 3. La femme cruelle a) Jean de la Fontaine «  La jeune veuve » b) Baudelaire «  L’amour du mensonge » c) François Malherbe «  Il n’y faut plus y penser » 4. La femme aimée par tous les hommes a) Francis Cabrel « Je l’aime à mourir » b) Jean

    - "Les Fleurs du mal" en 1857 qui rapporte au projet poétique de Baudelaire qui était d’extraire la beauté du mal. On y soupçonne aussitôt des profondeurs philosophiques, avec une note d’audace et une possibilité de scandale. « Fleurs du mal » : du choc des deux mots jaillit une antithèse. Le sens est donc la beauté que l’on extrait du mal. Mais « fleurs » ne suggère pas seulement la beauté, il faut y ajouter une notion de culture. Et le « mal » signifie la souffrance. (Baudelaire dit : " tu

réel et le rêve.............................10 Le rôle salvateur de Jeanne Duval.....................................11 Jeanne Duval, objet de désir sensuel voire animal............12 Jeanne Duval, cruelle et capricieuse..................................13 Jeanne Duval, une beauté périssable.................................14 Un amour parfois destructeur mais nécessaire au poète....14 « Je te donne ces vers... »..................................................15 Votre

de rose aux roses les plus belles, Qui sert de fleur aux fleurs les plus nouvelles, Dont la senteur me ravit tout de moi. Prends cette rose, et ensemble reçois Dedans ton sein mon cœur qui n’a point d’ailes, Il est constant, et cent plaies cruelles N’ont empêché qu’il ne gardât sa foi. La rose et moi différons d’une chose Un soleil voit naître et mourir la rose, Mille soleils ont vu naître m’amour. Ah ! je voudrais que telle amour éclose Dedans mon cœur qui jamais ne repose, Comme

est-ce qui t'a mis Sur ton beau sein cette couleur rougette ? Qui t'a noirci les arcs de tes sourcils ? Qui t'a bruni tes beaux yeux, ma maîtresse ? Ô grand beauté remplie de soucis, Ô grand beauté pleine de grand liesse ! Ô douce, belle, honnête cruauté, Qui doucement me contraint de te suivre, Ô fière, ingrate, et fâcheuse beauté, Avecque toi je veux mourir et vivre. Amourette Marie, à tous les coups vous me venez reprendre Que je suis trop léger, et me dites toujours, Quand