Bardamu Picaresque

Piacenza, liceo Gioia COMMENTAIRE DIRIGE Céline, Voyage au bout de la nuit, « dialogue entre Bardamu et Lola à propos de la guerre » Question de réflexion personnelle : « d’après-vous, Bardamu est-il un héros ou un anti-héros ? Remarque : -attention à la construction de la réponse et la mise en page (revoir synthèse) - le héros, du héros mais l’anti-héros, de l’anti-héros Eléments de correction Introduction Définition de la notion de héros : personnage qui se distingue par ses

nous raconte les années d’errances de Ferdinand Bardamu, l’anti héros par excellence. Au sein de son œuvre, il renouvelle les codes du récit romanesque traditionnel.   Dans un premier temps, l'adoption du point de vue interne, (c'est-à-dire que la scène est vue d'après le personnage principal, Bardamu) permet au lecteur de se sentir proche du personnage, et donc d'adhérer plus facilement à ses opinions. En effet, nous avons accès aux pensées de Bardamu ainsi qu'à ses sentiments. Le fait d'avouer ses

avec succès. Mais ses pamphlets antisémites, parus à la veille de la seconde guerre mondiale, nuisent à sa réputation d'écrivain. À la chute du régime de Vichy en 1944, Céline, qui craint les représailles, fuit la France. Son personnage : François Bardamu  pasticher : réécrit d’1 autre manière les txts des autres (ex :l’Illiade) Mouvement : Réalisme (19è siècles) / Texte épic Analyse : « instruments » = armes jeux de guerre/rapport avec mourir pour la patrie « sottises »  manière enfantine Dialogue

Résumé Voyage au bout de la nuit : Voyage au bout de la nuit est un roman qui mêle la philosophie réaliste de Ferdinand Bardamu, un personnage qui perd tout espoir ; et le langage cru de la narration, donnant un véritable chef-d’œuvre littéraire, touchant et qui nous reste à jamais. On remarque évidemment les analogies entre le parcours de l’auteur et son personnage, rien que par son prénom, qui rend ce récit encore plus réaliste et émouvant. Nous suivrons celui-ci à travers ses voyages autour

Godard (Poétique de Céline) y voit non pas une invention liée à la fiction, mais une transposition. On remarque dans l’œuvre de Céline la superposition de l’espace fictif et de l’espace autobiographique. Voyage au bout de la nuit voit l’épopée de Bardamu-Ferdinand suivre presque exactement les voyages successifs de Céline lui-même dans sa vie (Première Guerre mondiale, Afrique, Amérique…) Mais l’ordre de publication de ses romans ne reflète pas l’ordre chronologique de sa vie : le Voyage est le premier

écrire ce livre, Céline s'est inspiré de sa vie personnelle puisqu'il a participé à la première guerre mondiale, puis au bout de quelques semaines il fut blessé puis réformé. Dans cet extrait, Céline raconte, à travers le personnage de Ferdinand Bardamu, ce qu'il a ressenti et vécu à la guerre. D'ailleurs, dans le reste du roman, il va raconter ce qu’a fait son héros après avoir déserté il va partir par exemple en Afrique Ce livre va choquer à sa sortie à cause de la vision que porte Céline sur

le passage ci-dessous, extrait de�Voyage au bout de la nuit, j'ai toujours �t� frapp�e par les ressemblances existant entre Voltaire et son Candide et C�line et son Bardamu lorsque ces deux personnages sont pr�cipit�s au milieu de la folie meurtri�re des hommes. Ce texte se situe en d�but du roman lorsque le h�ros, Ferdinand Bardamu qui s'est engag� sur un coup de t�te lors d'un d�fil� militaire � Paris, se retrouve plong� brutalement dans l'horreur de la premi�re guerre mondiale. Le texte offre

Voyage au bout de la nuit, 1932 • Fresque de Diego Rivera, 1932 • Extrait de Gaston Berger, Le Monde en devenir, 1959 Support 1 : Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932 Dans ce roman nourri de la biographie de son auteur, Ferdinand Bardamu, le narrateur, étudiant en médecine, vient d'être embauché aux usines Ford à Détroit. 1 « Ça ne vous servira à rien ici vos études, mon garçon ! Vous n'êtes pas venu ici pour penser, mais pour faire les gestes qu'on vous commandera d'exécuter...

labourée, en engageant ses pieds dans ses propres entrailles ; il voulait suivre les autres : le sang coulait dans la boue. ». Le texte B est un extrait de « voyage au bout de la nuit », de Louis-Ferdinand Céline, le narrateur du texte est Ferdinand Bardamu le héros. Dans ce texte le cherche à nous montrer l’horreur de la guerre en nous montrant comment le héros est surpris par cette atrocité « On ne lui disait donc pas d’en haut qu’il y avait méprise ? Abominable erreur ? Maldonne ? Qu’on s’était trompé

amour pour Mme Arnoux ; l'air de Paris « semble contenir des effluves amoureux. » Nous pouvons observer également qu’il n’y a que des phrases déclaratives. Ce qui nous donne une impression de calme et de douceur. Les sentiments de Bardamu sont plus divers : il ressent de l’oppression dans cette ville où il se sent tout petit, sans repères « vers le bout qu'on ne voit jamais » ; Mais il surmonte ce malaise par une prise de distance et l'ironie, sensibles dans la comparaison avec l'univers