Bancarisation

dynamique de bancarisation avec un objectif de 5,2 millions de clients domiciliés à l’horizon 2013, et grâce au développement de la banque du développement régional où elles ont l’ambition d’améliorer leur PNB de 10 % par an sur la période du projet. Le coefficient d’exploitation hors dividendes est fixé à 68 % en 2013. Dans les détails, les Caisses d’Epargne sont amenées dans les quatre ans à générer une croissance du PNB fondée sur : -la poursuite d’une dynamique de bancarisation grâce àune meilleure

autre forme de moyen de paiement dématérialisé qui est la monnaie électronique. Le paysage monétaire du futur se dessine, la dématérialisation est en route, les moyens de paiement évoluent vers plus d'instantanéité, plus de globalité et moins de bancarisation. Nul doute que l'irruption de la monnaie électronique ou e-monnaie comme monnaie d'initiative privée ébranle quelque peu la sphère bancaire et les institutions La dématérialisation des moyens de paiement ne fait que commencer et les entreprises

financier de la région à travers la mobilisation de l'épargne, son utilisation au niveau local, au bénéfice des acteurs économiques et sociaux. Dans le plan de développement du groupe, l'implication reste effective et très prononcée en matière de la bancarisation de la population, qui rappelons-le reste encore à un niveau très faible au Maroc. Ceci est possible grâce à la politique de proximité du groupe et la souplesse dans les ouvertures de compte ainsi que son large réseau de distribution. La cadence

de marché De capitaux, de banque des entreprises qu’a satisfaire les besoins de la clientéle des particuliers et élargir son audience. La déréglementation des marchés, la banalisation des produits, l’avivement de laconcurrence, la plus grande bancarisation des clients et la situation économique difficile amènentles banquiers à redécouvrir le marché des particuliers et à se redéployer sur ce segment declientèle. Dès lors, il est devenu impératif pour les banques de réorganiser l’offre de servicefinancier

est aussi le premier réseau bancaire marocain en terme de proximité, avec 674 agences à fin Décembre 2007. Il est de ce fait le premier operateur bancaire national en termes de mobilisation de l’épargne, d’octroi de crédit à l’économie, et de bancarisation de la population. Le portefeuille du CPM est constitué par une clientèle assez diversifié allant du particulier a la grande entreprise, avec quelque particularités propres aux groupes, ainsi, le GBP est le premier partenaire bancaire des PME/PMI

fondements à l'origine de sa création. En terme de parts de marché, le Crédit Agricole est en deuxième position dans la zone de chalandise avec 17 % derrière le Crédit Agricole 33 %. La demande locale de l'unité commerciale Avec un taux de bancarisation national de 99 % la demande est constituée par une population déja utilisatrice des services bancaires. Il s'agit donc essentiellement de capter la part de population restante mais surtout d'essayer de capter la clientèle de la concurrence. La

marocain n’a pas connu de véritable évolution. Or, de profondes mutations se sont senties sur le plan technologique, facilitant ainsi l’innovation et donnant lieu á l´amélioration des qualités de services rendus aux clients : baisse des tarifs, bancarisation croissante de la population ainsi que l’intégration de la population á bas revenus. La déréglementation qu’a connue le secteur a également impacté la concurrence et en a fait une des préoccupations majeures des pouvoirs publics. De ce fait, les

cette loi prometteuse et ambitieuse d’après plusieurs analystes, a visée des objectifs dont on site : * Mettre un terme définitif a toute ingérence administrative * Rétablir la valeur du dinar algérien * Aboutir a une meilleure bancarisation de la monnaie * Encourager les investissements extérieurs utiles * Assainir la situation financière des entreprises * Déspécialiser les banques et clarifie les missions confié aux banques et aux établissements financier * Diversifier

origines structurelles C hb an iM M oh a Les limites de la politique monétaire oh am >>les limites de la politique monétaire au Maroc m La politique monétaire au Maroc risque d'être freinée par plusieurs facteurs : >la sous-bancarisation de l'économie marocaine (certains ménages n'ont de compte bancaire!) >le poids de la dette extérieure (la dévaluation du dirham fait augmenter le poids de la dette extérieure!) >le poids de la facture énergétique (la dépendance du Maroc vis-à-vis

bancaire. En effet, elles constituent le degré le plus élevé des difficultés bancaires quand les personnes ne disposent d’ aucun service bancaire. Dans les pays anglo-saxons, terrains d’ étude de la majorité des travaux sur le sujet, le taux de bancarisation est relativement faible et les modes de consommation des produits bancaires conduisent les personnes qui rencontrent des difficultés dans l’ utilisation de leurs services à y renoncer. On comprend dès lors que les difficultés d’ accès soient largement