Autrui Est Il Mon Semblable

de violence : autrui, qui est pourtant un autre moi-même, semble avoir le pouvoir de menacer ce qui constitue notre intégrité, par le simple effet d’un regard. En ce sens nous pouvons nous demander si la crainte ne devient pas une réaction naturelle nécessaire pour se protéger du regard d’autrui. La crainte, en effet, est un sentiment, d’appréhension qui inhibe nos actions. Mais se pose alors le problème –moral- de savoir s’il est légitime de fonder ainsi nos rapports avec autrui sur la peur. La

Le conflit est-il le fondement de tout rapport à autrui ? INTRO : Le XXème siècle, de par les multiples troubles et traumatismes aberrants qu’il a entraînés – deux guerres mondiales, d’innombrables guerres civiles, le fascisme et le nazisme,… – nous rappellerait, s’il en était besoin, les difficultés qu’ont les hommes à vivre ensemble. Ces difficultés sont-elles insurmontables ? Demandons-nous pour le savoir si les rapports avec autrui sont nécessairement de l’ordre du conflit. Tout penseur

principalement vers autrui. Ainsi, alors que nous avons les mêmes désirs, les mêmes envies et les mêmes ambitions, l’amour propre de chacun nous fait vouloir le mal autrui. Au départ, favorisée par la faiblesse ou l’absence des lois, cette violence débridée définit un état de nature, qui comme le montre Hobbes dans Léviathan, porte en lui l’exigence de recourir aux moyens les plus extrêmes pour la conservation de soi. Plaute et Hobbes avaient résumé cette envie continuelle de faire du mal à autrui par « Homos

AUTRUI INTRODUCTION : Quelle est l’importance qu’il faudrait accorder à autrui ? ARISTOTE  (IVème – IIIème avant J.-C.): « L’homme est un animal social ». * Idée d’une indépendance * Société des fourmis = relations mécaniques, organisation conditionnée génétiquement (toujours pareil). * Société humaine = changeante se fondent sur des principes ≠ fluidité. Autrui = personne → nous rencontrons la liberté quand nous rencontrons autrui. * Sociétés dans lesquelles existe la

reste s'en suivra tout seul (ou presque). Ce sur quoi portera le devoir ce sera, bien sûr, l'autre, et non pas la place. Les mots - thèmes place et autre sont de sens contraire : ma place et sa place ne sont évidemment pas les mêmes. -Si autrui est mon semblable, un autre moi, une conscience, liberté et existence toujours par delà l'essence, comment pourrais-je prendre la place de ce qui n'a pas de place parce que c'est un mouvement? -Si le moi est création de soi par soi, comment comprendre ce

Peut-on exister sans les autres?   AUTRE EXEMPLE  DE PLAN SYNTHETIQUE I)   LE SOLIPSISME : UNE HYPOTHESE INTENABLE  I)L’hypothèse  ne serait même pas exprimable II)Le « pour autrui » comme structure de la conscience ( Sartre) III)L’absence est encore un mode de présence.( Il est terrible de se rendre compte qu’on n’existe plus pour les autres alors qu’on pense encore à eux. )            Transition : l’homme n’est pas fait pour vivre seul d’ailleurs…   II) L’ISOLEMENT A DES EFFETS REGRESSIFS

Sujet : Faut-il se battre pour être reconnu par autrui ? La reconnaissance par autrui se veut constructive de notre identité puisqu'elle assure notre rapport au monde. Elle représente un des fondements des relations avec autrui, elle assure la légitimité de quelque chose ou de quelqu'un. Mais est-ce pour autant que l'homme se devrait de combattre pour l'obtenir ? De manière générale la réponse qui s'impose est oui ; l'histoire est notamment parsemée de combats de reconnaissance (ex : lutte ouvrière)

cette citation datant du Moyen-âge, je me suis donc demandé, dans un contexte actuel, comment l’Homme doit se concevoir, au sens de comment il doit comprendre et prendre conscience de tout être humain, c’est-à-dire avant tout lui-même, mais aussi autrui. Afin de structurer mon raisonnement, je découperai en trois parties la citation, chacune caractérisant non pas un moyen différent de répondre à cette problématique, mais trois étapes complémentaires de cette réflexion. Dans un premier temps, je verrai

Autrui est-il seulement un alter ego, un autre comme moi ? L'habitude de vivre avec elles et ceux que nous nommons « les proches » nous donne à croire qu'ils sont comme nous. Ainsi entendons-nous parfois : « je te connais comme si je t'avais fait ...». Autrui serait-il donc un simple alter ego ? Sa différence serait-elle inessentielle ? Partagerions-nous un fond commun qui constituerait l'essence de chacun ? On peut songer, ici, à Descartes. Par contre, force est de constater qu'il est

extérieure. En effet, l’humain détient en lui un fort besoin de rapport avec ses semblables. En effet, en occultant cette partie importante, le bonheur obtenu ne serait pas complet puisqu’il n’impliquerait pas le bonheur d’un être avec d’autres de son espèce. * Problématique : En quoi la recherche du bonheur pourrait-elle être une affaire privée si l’humain est dans l’incapacité de se passer de ses semblables pour faire du bonheur, un bonheur absolu ? 5- Elaboration du plan. Je