Autrui Est Il Un Miroir Brisé

 LE MIROIR DU HANDICAP A propos de l’illusion réparatrice Pascal Prayez1 « Qu’est-ce qu’un handicapé ?  Celui qui te fait croire que tu es normal... » Simone Sausse, Le miroir brisé, Calmann-Lévy, Paris, 1996 Peur de la différence ou de la ressemblance ? Comment comprendre les difficultés d’intégration des personnes souffrant de handicap ? Quelle est donc cette peur qui détourne les « valides » des personnes dites «handicapées» ? Il est habituel de dire que ce rejet est la conséquence

I.Ambivalence des sentiments du personnage. a)la crainte d’être ridicule, sentiment de honte. b)étonnement et métamorphose du personnage. c)un stratège II.Le jeu de miroir a)le dualisme, jeu de rôle. b)le décalage entre l’être et la paraître. III.L’art de la description. a)une description réaliste. b)la théâtralisation : une montée symbolique des marches. I.Ambivalence des sentiments du personnage. a)la crainte d’être ridicule, sentiment de honte. -crainte d’être

(Aristote) et en cela on peut en déduire que c’est dans  sa relation et dans ses actions avec autrui qu’il est le mieux placé pour se connaître. La question posée dans se sujet peut donc sembler paradoxale. En réalité, l’étude de l’énoncé laisse apparaître une problématique plus nuancée qui place la relation au centre. En effet, est-ce que ma relation avec moi même est plus transparente que ma relation avec autrui ? Dans un premier temps nous approfondirons la notion de la relation que j’ai avec moi-même

l'identification fusionnelle puisque toutes deux abolissent le rapport à l’altérité ? Ebauche de plan : I) La politique de l’usurpation des compétences contre la politique du respect II) La connaissance comme effort de décentrement III) Le miroir et la xénophobie Développement : I) La politique de l’usurpation des compétences contre la politique du respect Le monde est plein d’usurpations. L’usurpateur se fait passer pour un autre. Il joue avec les apparences, simule les compétences

Le reste s'en suivra tout seul (ou presque). Ce sur quoi portera le devoir ce sera, bien sûr, l'autre, et non pas la place. Les mots - thèmes place et autre sont de sens contraire : ma place et sa place ne sont évidemment pas les mêmes. -Si autrui est mon semblable, un autre moi, une conscience, liberté et existence toujours par delà l'essence, comment pourrais-je prendre la place de ce qui n'a pas de place parce que c'est un mouvement? -Si le moi est création de soi par soi, comment comprendre

se connaître soi même. Sartre le confirme en affirmant: "Pour obtenir une vérité quelconque sur moi, il faut que je passe par l'autre". Enfin, lorsque Sartre affirme "l'enfer c'est les autres", dans Huis Clos, c'est bien dans le sens où il est mon miroir et m'oblige à me voir tel que je suis. Ensuite, le moi ne peut s'affirmer qu'en affirmant sa différence aux autres. "Ce qui importe, ce n'est pas de savoir à qui et à quoi ressemble quelqu'un, c'est de découvrir en quoi il ne ressemble en aucun

utiles. Vous disposerez de tous les éléments pour réussir votre devoir et pour vous préparer efficacement au BAC ou à votre examen de fin d'année. Archive de sujets de philosophie Archives / Divers Autres thèmes.. Le sujet Inconscient, autrui, le désir.. La culture Art, langage, travail, technique, religion, histoire.. La raison et le réel Vérité, rationalité, théorie et expérience, vivant.. La politique Société, justice, Etat.. La morale Liberté, devoir, bonheur..

Sartre, le grand Sartre, a pu écrire cette phrase, qui a largement contribué à sa renommée, juste parce qu’il était agacé par d’autres que lui-même ? C'est en effet autre chose que l'auteur a voulu exprimer : "Je veux dire que si les rapports avec autrui sont tordus, viciés, alors l'autre ne peut être que l'enfer. Pourquoi ? Parce que les autres sont, au fond, ce qu'il y a de plus important en nous-mêmes, pour notre propre connaissance de nous-mêmes. Quand nous pensons sur nous, quand nous essayons

proches de Hugo :· « Pour Juliette Drouet »son amante durant l’exil· « Charles Vacquerie » il rend hommage au fiancé de sa fille · « Nuit de décembre » Alfred de Musset met en forme son ado et son expérience d’adulte jusqu’àu temps où il souffre d’amour brisé avec George SandLe lyrisme :· « Je lyrique » il exprime ses sentiments les plus profonds avec force(récurrence exclamation interrogation)La nature : (livre 2 : l’âme en fleurs)· « Ondine » d’Aloysius Bertrand alliance forte entre l’amour et la nature

scène ne se manifeste alors plus que par des mots, des noms : Sully, Prudhomme et autres, les personnages lient ensuite les noms qu’ils énoncent. Un semblant d’esprit reste visible, avec la référence au poème de Sully Prudhomme « Le vase brisé » : « elle est brisée » (Mme Smith). Comme l’indique la didascalie en début d’extrait, la gradation si violente fait que les personnages ne disent plus que ce qui leur passe par la tête, jusqu’à en arriver aux sons les plus simples, ceux des lettres… Les fantoches