Autoportrait

Triple autoportrait Introduction: Ce tableau est une huile sur toile de Norman Rockwell (1894-1978) publiée le 13 février 1960 dans le Saturday Evening Post où Norman Rockwell réalise des couvertures chaque semaine. N. Rockwell se présente ici en train de peindre comme le firent de nombreux artistes avant lui : Poussin en 1650, Manet en 1879, ou Picasso en 1938 se représentent palette à la main. C'est un moyen pour le peintre de s'affirmer en tant que tel. DESCRIPTION: On voit l’artiste

binaire il y a le Mexique a gauche et les Etats unies a droite. On sent une opposition des 2 pays mais on peut voir que le Mexique a plus de place sur le tableau car 2/3 sont consacré au Mexique alors que 1/3 états unies. Les 2 sont séparés par un autoportrait en pied de Frida Kahlo. Tableau très symbolique Frida sur un socle tel une statue. Chaque éléments du tableau se font opposition par exemple les fleurs et les légumes s’opposent à la parabole à l’horloge et a la lampe. Elle a été très aussi connue

rétrospectif fondé sur des souvenirs (« A.N relate la période de sa vie de 0 à 3 ans » …) topoi chers à l'auteur : Sa famille, sa gouvernante chérie, sa vie au Japon … Présentation d'éléments rentrant dans la formation de sa personnalité (son autoportrait) « Apprentissage de la lecture / réflexion sur le langage = statut d'écrivain et amour des mots » Présence d'un pacte de lecture donnant : le ton de l'œuvre (humour...) et recherche d'une originalité la sélection de ses souvenirs la pratique

habituellement noir en éclaircissant d’un pour cent de blanc progressivement. Il se photographie face à l'œuvre en s’habillant d'une chemise blanche et dans un éclairage très clair. Il essaye ainsi de montrer la trace du temps irréversible. 20) Autoportrait de Günter Grass Raphaelle Ephrati, le président des Etats-Unis d’Amérique.

accident qui lui a provoqué le syndrome d’Asherman. Elle souffre beaucoup de ses blessures et on lui amputa même un pied. En 1954, elle mourut. Description de l’œuvre : La colonne brisée est une huile sur toile de petit format ( 40x34cm). C’est un autoportrait puisque que c’est Frida elle même qui est représentée. Le tableau représente Frida debout, avec le corps fendu et pour que l’on puisse voir ce qui se passe à l’interieur. Son buste est retenu par un corset de fer qui semble l’empêcher de se briser

préférer extraire les mots clés (dans un index) présentation d’œuvres en réseau Présentant des similitudes formelles (caractéristiques plastiques, ou autres caractéristiques reconnaissables / transposables Une photographie : Lee Friedlander Reflets, autoportrait, regard, geste, porte (dans les deux œuvres :illusion ou réalité ?) « Les Ménines », 1656, Diego VELASQUEZ *Attention… une caractéristique de cette œuvre est que Vélasquez peint le portrait du roi Philippe lV et de la reine (visibles dans le

a eu le vagin de transpercé lors de l'accident, ne peut pas avoir d'enfant. Son corps nu, dévoilant toute sa féminité et maternité par ses seins, reste dramatiquement vide. 1944 Huile sur bois aggloméré 40x30,5 Musée de Mexico C'est un autoportrait de Frida Kahlo. Au 1er plan, l'artiste se représente debout au milieu du tableau face au spectateur. Derrière elle s'étend un paysage désertique et infertile présentant de nombreuses failles. Elle est nue de la tête au hanche avec un corset de

Mexique. Elle peint des tableaux qui traduisent sa lassitude et son dégoût des États-Unis et des Américains alors que son mari, lui, reste fasciné par ce pays et ne veut pas le quitter. Elle exprime son point de vue sur le pays des « gringos » dans Autoportrait à la frontière entre le Mexique et les États-Unis et dans Ma robe est suspendue là-bas. Malgré son admiration pour le progrès industriel des États-Unis, la nationaliste mexicaine se sent mal à l’aise de l'autre côté du Río Bravo. On retrouve dans

les poupées qui pleurent : les larmes sortent de leurs yeux en plastique mais leur visage reste inchangé. Cela fait aussi penser au visage de la Vierge en douleur dans les églises mexicaines avec de fausses larmes transparentes collées. Dans ses autoportrait, Frida semble porter un masque : un visage neutre (jamais un sourire ni même une grimace de douleur ne viennent perturber ses traits). Malgré ses souffrances physiques et morales, Frida reste tête droite, le regard fier. Soutenue par son corset

lettre autobiographique A – Le registre lyrique Il est aisé de constater dans cette lettre 81 l’omniprésence de la première personne du singulier avec les pronoms personnels « je », « me », et les possessifs « mon », « ma ». C’est clairement un autoportrait qu’esquisse La Marquise de Merteuil pour son interlocuteur. L’évocation de ses sensations et de ses sentiments suggère un registre lyrique : « Ressentais-je quelque chagrin », « ma façon de penser ». B – Un orgueil démesuré En Outre , Elle insiste