Au-delà du principe de plaisir

le désir; elle est ce qui enchaîne l’homme à un objet; le désir ne s’accomplit pas, il se fixe ou se pervertit : Harpagon aime l’or, il accumule ce métal qui n’est qu’un signe ou un intermédiaire; le désir d”Harpagon, au lieu de se porter sur le plaisir lui-même, s’arrête sur ce qui n’en est que le signe. Le désir est ainsi perverti, détourné de son but. Le passionné poursuit un but qu’en réalité il n’a pas choisi. Il est en effet incapable d’en rendre raison : le pouvoir, l’argent, le jeu s’imposent

les plus importants pour la vie de personnages comme pour celle des lecteurs. II. «Mme Péruvienne» (1675-1758) Pourquoi regarder de près l’auteur des Lettres d’une Péruvienne alors que l’ouvrage pourrait s’expliquer en soi? Peut-être pour le simple plaisir de gambader entre la fiction et les endroits très concrets de la vrai vie de Mme de Graffigny, pour partir à la recherche d’une société française corrompue, d’un sentiment perdu et de moments biographiques que l’on perçoit à travers les pages et les

monde revient plûtot de manière indirecte à se poser la question de l'existence d'un autre monde qui serait plus réel que le notre dont le notre ne serait qu'1 rêve. D) La conscience de soi comme personne, la conscience existentielle ce de soi Au delà de la conscience de soi, abstraite, intellectuelle qui apparaît avec le langage, existe une autre conscience de soi plus personnelle, celle de sa propre intériorité et de sa propre liberté qui fait de chacun à un moment de son histoire (l'âge de la

Plan de l’exposé: INTRODUCTION I – EPICURISME 1. L’école épicurienne 2. Les fondements de la morale épicurienne 3. Une typologie des plaisirs II – LA RECHERCHE DU BONHEUR 1. Les hommes à la quête du bonheur 2. Le bonheur selon les épicuriens CONCLUSION INTRODUCTION Epicure, philosophe, physicien

À propos de La Vie heureuse de Sénèque Avant-propos Ce texte de Sénèque — vraisemblablement écrit autour de l'année 58 après JC — peut surprendre par sa forme peu systématique. S'adressant à son frère Gallion, et au-delà de lui au lecteur, son discours a plus le style informel de la conversation que la rigueur de l'exposé philosophique. On remarquera d'ailleurs que cette forme de l'interpellation est fréquente chez les moralistes de l'Antiquité (Épicure, Épictète, etc.) qui ont plus le souci

nous entoure. Zazie dans le métro – Queneau : Découverte de Paris sous le regard d’une enfant. De nombreux autres thèmes sont représentés : le travail, l'amitié, le tourisme, l'argot... Charlie et la chocolaterie – Roald Dahl : Pour un plaisir esthétique. Roman d’apprentissage : Chacun de ces enfants est l'allégorie d'un vice trouvé dans la personnalité des enfants de l'époque. Charlie est montré de manière évidente comme l'enfant parfait, humble, gentil, et non-gâté. Comme un roman

a désobéi en mangeant le fruit défendu. Sa punition : Vivre en mortel, souffrir dans son corps et dans son âme. L’homme est à la fois animal et divin : - Il doit châtier son corps pour accéder à la contemplation - Refus de la sexualité et des plaisirs - Éviter la tentation - Mortifier le corps L’idéal chrétien de l’abnégation : - IL FAUT TOUJOURS GARDER LA FOI - Il accepte la volonté divine, le destin, il se soumet - C’est le prix à payer pour aller au Paradis - Le reste nous fait perdre

ramadan. Les religions asiatiques Les religions asiatiques, dont le bouddhisme, l'hindouisme, et plus encore le jaïnisme, enseignent que toute vie devrait avoir une valeur et ne devrait pas être détruite volontairement juste pour se faire plaisir. Un principe important de ces religions est l'ahimsâ, généralement traduite par non-violence. Ce terme signifie plus précisement non-nuisance à l'égard de tous les êtres vivants, ou respect de la vie sous toutes ses formes. Cet idéal fait que le végétarisme

réponse directe. Freud n’hésite pas à se remettre en cause, surtout en 1920 quand il découvre la notion de pulsion de vie comme force vitale et la notion de pulsion de mort comme frein à toute excitation qu’il définit plus précisément dans Au-delà du principe de plaisir. Ce changement théorique oblige Freud à réviser la première topique et, en 1923 dans Le Moi et le Ca, à créer la seconde topique. Dans cette seconde topique apparaît la notion de Ca qui renvoie à la pulsion et l’absence de censure sans temporalité

doit choisir entre l’amour ou l’honneur, l’amour impossible de Tristan et Iseult ou celui de Roméo et Juliette. Dans son livre Shan Sa reprend ce principe en l’adaptant à son époque. L’écrivaine, par cette phrase, révèle l’impossibilité du bonheur complet du sentiment amoureux. En effet, selon elle, le sentiment amoureux est à la fois le bonheur et le plaisir mais aussi la souffrance et la peur. L’un ne va pas sans l’autre. Afin de montrer dans quelle mesure l’amour, dans ce livre, correspond à la