Arrêt 25 Mars 1997

à la loi Kouchner du 4 mars 2002 : une indemnisation sur le fondement de la responsabilité sans faute de l’établissement hospitalier ? 4 A. La juridiction administrative 4 1. L’hypothèse de la thérapie nouvelle 4 2. Le cas du risque exceptionnel 5 a. Le principe et les conditions posés par l’arrêt dit Bianchi 5 b. L’expansionnisme du risque à la suite de l’arrêt dit Bianchi 6 B. La juridiction judiciaire 7 II. La jurisprudence postérieure à la loi Kouchner du 4 mars 2002 : une indemnisation

des ascendants ou des descendants de l'étranger, aux frères et sœurs de l'étranger et leurs conjoints, à la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui. (Voir « Le délit de solidarité », dans la revue du GISTI Plein Droit n° 59-60, mars 2004, http://www.gisti.org/doc/plein-droit/59-60/solidarite.html ). 2 Liste non exhaustive de personnes condamnées pour délit de solidarité Les « Amoureux au ban public » et la CIMADE se sont joints au Gisti pour recencer les condamnations prononcées

le montant nominal de la créance (300) CESSIONNAIRE 0 30 250 DÉBITEUR CÉDÉ Créance initiale 300 CRÉANCIER CÉDANT => Différent de la subrogation où le subrogé ne peut réclamer que la valeur payée au subrogeant. SUBROGÉ 0 25 250 DÉBITEUR Créance initiale 300 CRÉANCIER SUBROGEANT TD – S6 - Cession de créance & S7 – Subrogation & S8 – Délégation & S9 - Solidarité 1/35 ➔ Cession de créance à titre de payement CESSIONNAIRE => Créancier 0 30

Assistant : Année académique 2012-2013 INTRODUCTION Dans un arrêt du 21 mars 2012, la Cour de cassation s’est interrogée sur la destination à donner à la restitution du paiement du cautionnement visé à l’article 35, § 4, de la loi du 20 juillet 1990 relative à la détention préventive[1], lorsque celui-ci a été effectué par l’avocat de l’inculpé. Par cet arrêt, la Cour affirme que lorsqu’il exécute un tel paiement, l’avocat est présumé agir en qualité de mandataire

cour de justice au nom du principe de sécurité juridique a développé une jurisprudence avec pour objet de moduler les effets des arrêts qu’elle rend. Dans cette hypothèse la cour peut maintenir provisoirement une directive illégale en attendant qu’un autre texte soit élaboré et ce en contradiction avec le principe de légalité.[16] De même la cour peut décider qu’un arrêt préjudiciel déterminant la portée ou la validité d’une norme communautaire ne peut valoir pour le cas d’espèce à l’occasion duquel

TD DROIT FISCAL n°3 Les sociétés de personnes Document 2: CE, 16 février 2000 (à commenter) Document 3: CE, 04 Novembre 1970 Dans un arrêt du 4 novembre 1970 (CE, 7e et 9e sous-sect., req. n° 77667.' Dr. fisc. 1971, n° 51 comm. 1702, concl. comm. gouv. G. Schmeltz), la haute assemblée a jugé que la société passible de l'impôt sur les sociétés qui possède une participation dans une société de personnes doit, lorsque les résultats de cette dernière n'ont pas donné lieu à un transfert de fonds

efficacement ; soit en terme de mayens. Soit en terme de pris en charge des besoins des citoyens en prestations médicales. C’est sans doute la raison majeur qui a conduit à la libéralisation du secteur de la santé par le vote de la loi 97-020 de juin 1997 jusant les conditions d’exercice de la profession médicale en clientèle privée en République du Bénin ; officialisant ainsi l’exercice de la médecine à titre privé .5 Et à l’élaboration du guide du patient et du guide des bonnes pratiques dans le secteur

(permettait préfet dʼannuler ou suspendre, même pour raisons dʼopportunité, principales décisions des maires) / Tutelle dʼapprobation pour actes règlementaires/ Tutelle de substitution lorsque maire refusait de prendre mesure obligatoire. Loi du 2 mars 1982 bouleverse, en apparence un tel système = suppression de toute tutelle, remplacé par ctrl en matière adm et budgétaire. Tutelle dʼapprobation + annulation disparaissent au profit ctrl adm qui permet seulement au préfet de saisir tribunal adm. 243

| | | | |22/03/2002 |Liège 22 mars 2002, F.J.F. 2002, liv. 7, 623; , Rec. gén. enr. not. 2002, liv. 10, 619, note DENOTTE, T. . | | | |

Les dispositions de la loi relative à l’IVG, déférée au CConstitutionnel, ne sont pas contraires à la Constitution. Le CConstitutionnel s’est refusé de contrôler la constitutionnalité de la loi, en passant par le contrôle de conventionalité. Cet arrêt consacre la primauté des traités sur les lois , cependant il n’est pas de la compétence du CConstitutionnel de contrôler la conventionalité des lois (art 55) dans le cadre du mécanisme prévu par l’article 61 (contrôle de constitutionnalité). Considérant