Arrêt 22 Avril 2005 Chronopost

qualification de contrat réel ou consensuel dépends en réalité de la personne prêtant l’argent ; si le prêt est effectué par un professionnel, se sera un contrat consensuel ; à l’inverse si ce n’est pas un professionnel, alors se sera un contrat réel (Arrêt 1ère Ch. Civ. 28 mars 2000, réaffirmé par l’Arrêt 1ère Ch. Civ. 27 mars 2006). => Distinction entre contrat de gré à gré et contrat d’adhésion : - contrat de gré à gré : clauses débattues librement entre les parties, au regard du contenu des contrats

confidentialité Le droit romain connaissait une quatrième obligation : obligation praestere : obligation de restituer le bien à l'échéance du contrat. Cette obligation n'a pas été reprise par le code civil de 1804. L' avant projet de Catala de 2005 reprend à son compte cette obligation de donner à usage donc peut être qu'elle fera son apparition dans le droit positif. Cette classification tri-partite a vécu, aujourd'hui on résonne sur une classification plus moderne : apparition au début

Litiges individuels du T –> contentieux Prud’homal –> Conseil de Prud’homme, formation sociale CA, Chambre sociale Cour de cassation. Lien avec le droit civil –> droit des contrats –> rôle déterminant dans le contrat T & conventions collectives. Arrêt de 1998 : l’employeur ne peut plus modifier unilatéralement le contrat de travail sans l’accord du salarié. Lien avec le droit commercial –> CT se distingue du contrat d’entreprise. Lien avec le droit constitutionnel –> D sociaux fondamentaux reconnus

promesse unilatérale 14 IV. La promesse synallagmatique 15 Chapitre 3 : La formation du contrat 16 Section 1: les conditions de formation du contrat 16 I. Les conditions de fond 16 A. Le consentement 16 B. La capacité 20 C. L’objet 21 D. La cause 22 II. Les conditions de forme 23 Section 2 : la nullité du contrat mal formé 24 I. La typologie de la nullité 24 A. Distinction entre nullité relative et absolue 24 B. Les conséquences de ces distinctions 24 C. La question de la prescription 25

spécifications convenues (CA Paris chambre 25 section A, 1er février 2002, Sté Fichorga, CCE 2002, n°103), ou encore de respecter les délais de livraison convenus (CA Colmar, 13 avril 2006, GMBH Industrial Application Software c/ Sté Escarmor, Lamy droit de l’immatériel juillet/août 2006 p.49 ; Cour d’appel de Paris, 25e ch. 2 septembre 2005, n°2004/786). La Cour de cassation a également précisé qu’en matière de fourniture de solutions informatiques, « l’obligation de délivrance du vendeur de produits complexes

révision du code civil. En effet, à l’occasion du bicentenaire du code civil, on a dénoncé le vieillissement du code civil et la nécessité d’une refonte. Un avant projet de réforme a été déposé sur le bureau de la chancellerie, suite à cela le 22 septembre 2005, le projet Catala apparait. C’est un travail considérable, important qui vise à réformer tout le droit des contrats. Depuis la chancellerie a élaboré un autre projet rendu public a partir de juillet 2008 et qui est soumis à la doctrine et aux

franco-africains depuis 2002.........................90 2- Liste des photos - Photo 1 : Les marins américains au large du golfe de Guinée...................81 - Photo 2 : Le vaisseau USS Emory S. Land qui a patrouillé le golfe de Guinée en février 2005..................................................................81 - Photo 3 : Un déploiement aéronaval américain en haute mer.....................82 - Photo 4 : Le Jules Verne au large du golfe de Guinée.....................................82

faisait moins ambitieuse. En réaction on a eu des projets Français. -Les projets Français de réforme du droit des contrats et des obligations. On a 3 principaux projets : -L'avant projet Catala sur le droit des obligations et de la prescription en 2005. C'est le seul projet qui englobe et les contrats et la responsabilité civile. La partie sur la prescription est devenue droit positif. -Projet de la Chancellerie élaboré en 2008 qui est un mix entre l'avant projet Catala et les principes du droit

résultat, mais avec cet arrêt, c’est fini. Par exemple, le médecin n’a pas d’obligation de sécurité à l’égard de son patient. Dans certains cas, la jurisprudence admettait une obligation de sécurité. 2ème chambre civile le 10 janvier 1990 : un accident dans le hall d 'accueil du centre médicale ; on a considéré qu'il n'y avait que responsabilité délictuelle. Avant les années 1990, on considérait qu'il y avait une obligation de sécurité en tant que résultat ; avec ect arrêt cela est fini. Mais

décision du 6 octobre 2009 concernant une clause d’arbitrage. Par sa portée générale et sa motivation, elle a vocation à s’appliquer aux autres directives « consuméristes » d’harmonisation minimale ou maximale comme, par exemple la directive du 23 avril 2008 relative aux contrats de crédit aux consommateurs. La modification de l’art. L. 141-4 du Code de la consommation pour rendre obligatoire l’invocation des dispositions impératives du Code de la consommation aurait le grand mérite d’une part