Arrêt 20 Novembre 1967 Novation

.......432 4 ABRÉVIATIONS ET SIGLES Act. Proc. Coll. Actualités des procédures collectives. Art. Article. Banque Revue Banque. BRDA Bulletin rapide de droit des affaires. Bull. Civ. Bulletin des arrêts de la Cour de cassation, chambres civiles. Bull. Crim. Bulletin des arrêts de la Cour de cassation, chambre criminelle. Bull. Joly Bourse Bulletin Joly bourse et produits financiers. Bull. Joly Sociétés Bulletin Joly sociétés. C. Civ. Code civil. C. Com. Code de commerce. C

constatation de la caducité. La Cour d'appel de Paris (10 déc. 2002) opte pour la caducité en observant que la vente était soumise à la condition de verser le prix et les frais au plus tard le 30 janvier 1998 et que, lors de l'assignation de M. X., le 20 mars 1998, la société Sceaux Immobilier ne les avait pas consignés. Mais la troisième chambre civile casse sous le visa de l'article 1134, alinéa 3 : « en statuant ainsi, qu'elle avait relevé que, par lettre du 7 janvier 1998, le conseil de M. X.

qu’un créancier impayé a le droit de conserver une chose qui appartient à son débiteur tant qu’il n’a pas été payé. La rétention n’est pas une sureté. Le rétenteur n’a pas une action supplémentaire. La question a été portée devant la Cass (Cass. Com. 20 mai 1987) : tout créancier doit déclarer aux organes de la procédure, en cas de procédure collective contre le débiteur, la créance dont il est titulaire mais aussi les privilèges et suretés dont il dispose. Or, le créancier n’avait pas mentionné l’existence

recours, suspendre les effets d’un acte administration pris sur le fondement de l’intérêt général. = Pas d’effet suspensif du recours Selon le conseil d’état, l’absence d’effet suspensif des recours constitue une règle essentielle du droit public : « Arrêt Huglo », 2 juillet 1982. Section 1 : La notion d’acte administratif L’AAU est un acte juridique adopté unilatéralement par une autorité administrative et modifiant les droits et obligations des administrés indépendamment de leurs consentements

Loire. Un particulier insatisfait de devoir s’acquitter d’une redevance pour stationner a contesté cet acte. Cet arrêt met en évidence que des actes administratif règlementaires peuvent devenir illégaux, soit parce qu’il y a changement des circonstances de fait, soit parce qu’il y a modification des circonstances de droit. Cette distinction importante a été effectivement opérée dans cet arrêt. S’il y a modification des circonstances de fait, l’arrêt Despujol reconnait la possibilité pour tout intéressé

marchandises : la jurisprudence a étendu l'objet du commerce à tous les meubles. Une loi du 13 juillet 1967 a entériné cette jurisprudence et vise à présent tout achat de biens meubles.   La question des immeubles : Traditionnellement, les immeubles ne font pas partie de l'activité commerciale mais entrent dans la sphère civile. Une évolution s'est cependant faite faisant que la loi de 1967 a réputé actes de commerce les achats d'immeuble pour revendre, et la loi du 9 juillet 1970 de préciser

obligation civile Arrêt de 1995 qui a redéfini les conditions de transformation. 3 sur 153 Avant 1995, la cour de cass considérait que la transformation de l’obligation naturelle en obligation civile reposait sur ce qu’il appelle la novation. (Mécanise d’exception d’une obligation qui passe par la naissance d’une nouvelle obligation). La nouveauté importe sur : - un nouveau créancier - un nouveau débiteur. - Novation par changement d’objet Le problème est que la novation ne peut pas se présumer

DANS LE CONTRÔLE AU SÉNftGAL DU CRÉDIT Jean ROCH et Guy ROCHETEAU Section ~co?roiïlie-~éfliog~apllie de I’O RSTOM Centre de Daknr-Ham, B.P. 1386 - Dakar (SLinLigal) Le Traité de l’Union Monétaire Ouest-Africaine (U.M.O.A.), ratifié le 1” novembre 1962, organisait entre sept Etats nouvellement indépendants (1) et l’ancienne métropole un régime de coopération monétaire qui? au moins en ce qui concerne le Sénégal, est demeuré à peu près inchangé jusqu’en 1973 : La monnaie commune est le franc

constitutif d’une gestion anormale, elle doit en chiffrer le montant et apporter la preuve de sa réalité : ainsi en va-t-il par exemple d’un abandon de créance (2). (1) Bachelier, concl. sous CE 25 avril 2003 n°236923, RJF 03 n°822 (2) CAA Marseille 20 décembre 2005 n°02MA00942, Godé, DF 23/06 n°424 concl. Bonnet 2 / Dans un premier temps, la jurisprudence recherche la contrepartie chez les deux intervenants à l’opération. Ainsi constitue un acte anormal de gestion le fait de supporter des charges

contrats, Story Scientia, 1999; David-Constant, S., Théorie générale des obligations, 3 fascicules, Presses universitaires de Liège; De Page, H., Traité élémentaire de droit civile belge, spécialement tomes II et III, 3e` édition, Bruylant, 1964 et 1967; Dieux, X., Fontaine, M., Foriers, P.A., `t Kint, F., Parmentier, C. et Van Ommeslaghe, P., Les obligations contractuelles, Editions du Jeune Barreau de Bruxelles, 1984; DIEUX, X. et alii, Les obligations contractuelles, Editions du Jeune Barreau