Arret 19 Octobre 2010

vertu duquel les règlements ne disposent que pour l'avenir », ainsi que « le principe de l'égalité entre les usagers d'un service public ». Ce n'était pas la première fois que le juge recourait à la technique des « principes généraux du droit » (26 octobre 1945, Aramu). Par cette formulation, solennelle et sobre, on retiendra ici que le Conseil d'État affirme que la non-rétroactivité des actes administratifs est un principe général du droit. Ce principe connaît des exceptions. Le principe de non-rétroactivité

VAULTIER, avocat(s)       lecture du vendredi 25 octobre 2013   REPUBLIQUE FRANCAISE   AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS       Vu la requête, enregistrée le 11 mars 2013, présentée pour Mme B...A..., demeurant..., par Me Vaultier avocat au barreau de Nantes ; Mme A... demande à la Cour :       1°) d’annuler le jugement n° 1007467 du 7 juin 2012 par lequel le tribunal administratif de Nantes a rejeté sa demande tendant à l’annulation de la décision du 12 janvier 2010 par laquelle le ministre de l’immigration, de

l’arrêt CE, Assemblée, 9 juillet 2010, Mme Cheriet-Benseghir Depuis l’arrêt Dame Kirkwood (Conseil d’Etat, Assemblée, 30 mai 1952) il est admis que les traités internationaux sont à certaines conditions, applicables dans l’ordre juridique interne. Dès lors, on peut invoquer la violation de leurs stipulations comme moyen d’annulation d’un acte administratif. C’est dans ces prérogatives que l’Assemblée du contentieux du Conseil d’Etat a eu à statuer le 9 juillet 2010 sur une demande en annulation

chefs d’Etats et de gouvernements et d’autres représentants des 192 Etats-membres ont eu lieu du 23 au 29 septembre. 1. décision en nomination du membre non permanant, membre d’ECOSOC L'Assemblée générale des Nations Unies a élu le 12 octobre 2010, l'Afrique du Sud, l'Inde, l'Allemagne, le Portugal et la Colombie comme membres non permanents du Conseil de sécurité pour un mandat de deux ans, à compter du 1er janvier 2011. Outre les cinq membres permanents (la Chine, les États-Unis, la Fédération

-distinguer le contrôle de constitutionnalité des lois et le contrôle de constitutionnalité des actes administratifs ; -distinguer le rôle du juge administratif et le rôle du juge constitutionnel ; -commenter un arrêt ancien et savoir le mettre en perspective ; -savoir commenter un arrêt très bref tout en évitant l’écueil de la dissertation. DOCUMENTS : - Doc. 1 : CE, Sect., 6 novembre 1936, Arrighi, Rec. p. 966 ; D., 1938, 3, 1, concl. Latournerie, note Eisenmann. - Doc. 2 : CESect. 10 juillet

PERMIS DE RECHERCHES (PR) Préambule PREAMBULE Pour la troisième fois consécutive, le Ministère des Mines tient à honorer son engagement en publiant « le Répertoire des opérateurs du secteur des mines et carrières » pour l’éditiopn 2010. Comme on peut le deviner, il s’agit là encore une fois d’une exigence dictée par le souci non seulement de mettre à la disposition du public un certain nombre d’informations sur les activités du secteur minier congolais, mais aussi et surtout de

défaite de 1940 et l'invasion allemande 1.2 La demande d'armistice 1.3 L'armistice 2 Le fondement législatif du régime de Vichy 2.1 Controverse quant au fondement juridique et à la nature du régime 3 Repères chronologiques 3.1 1940 1 sur 33 14/11/2010 19:16 Régime de Vichy - Wikipédia http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Régime_de_Vichy&printable=yes 3.2 1941 3.3 1942 3.4 1943 3.5 1944 4 La « Révolution nationale » dans le paysage politique français 4.1 Le cléricalisme de Vichy 4.2

PARTENAIRES COCONTRACTANTS Articles 1-10 11-24 11 12-20 21-24 25-61 ter 25-34 35-40 41-51 52 53-59 60-61 ter 62-115 62 63-72 bis 73-91 92-101 102-106 107-109 110-115 110-111 112-113 114-115 116-172 116-119 Page 3-7 7-12 7-8 8-11 11-13 14-30 14-18 18 19-25 26 27-29 29-30 30-43 30-31 31-33 33-36 36-38 38-39 39-40 40-43 40-41 41-42 42-43 44-60 44 Section 1 : De la détermination des besoins Section 2 : Des marchés Section 3 : Des partenaires cocontractants TITRE III : DES PROCEDURES DE SELECTION DU

document personnel, et spécialement d'un courriel, constituerait un mode de preuve déloyal, que les juges devraient écarter. La jurisprudence a-t-elle évolué depuis ? Cette jurisprudence très remarquée a été confirmée, trois ans plus tard (Soc. 12 octobre 2004, Mme X c/ Société Sulzer orthopédie Cedior, n°02-40392). Mais la protection des dossiers et fichiers individuels a été rapidement relativisée : la jurisprudence a, plus tard, réservé l'hypothèse de survenance d'un « risque ou événement particulier

des Communautés européennes (CJCE), à l'encontre des États de l'Union, dont la France, qui réservent l'accès et l'exercice de la profession de notaire à leurs nationaux, ce qui a amené Gouvernement français à prendre le Décret n° 2011-1309 du 17 octobre 2011 relatif aux conditions d'accès aux fonctions de notaire qui ouvre l'accès à la profession aux ressortissant d'un autre Etat membre de l'Union européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen. La condition de nationalité