Approche Humaniste Abraham Maslow

durable. Finalement, la logique et la rationalisation demeurent entièrement du coté de la direction. On n'est guère sorti du modèle taylorien. Il n'a pas vraiment été remis en cause, il faut donc aller plus loin. Théorie des motivations : A.H Maslow a construit une pyramide des besoins, où les premiers priment sur les suivants. Ces besoins peuvent être des besoins organiques, d'appartenance, d'estime ou de réalisation de soi. Mac Gregor de l'école des motivations (théories X et Y) a élaboré

devoir d’assistance envers son proche et de l’avoir confié à des étrangers (l’institution). Les intérêts des professionnels ne coïncident pas toujours avec ceux des proches de la personne âgée. Les soignants sont formés à soigner. Ils ont donc une approche médicale du sujet âgé qui est réduite alors à un corps vieillissant et malade. De ces positionnements d’intérêts divergents, émerge l’idée, qu’aujourd’hui, il est nécessaire de reconsidérer la place de la famille avec un autre regard et prendre le

institutionnel: Page 2 La Maison d’enfants « La Charmille » a) la structure : b) le projet institutionnel : c) le public : d) le cadre juridique : II) Présentation des situations : Page 4 -Catherine -Laurent -Stéphanie III) Approche théorique : avoir confiance en soi pour une meilleure estime de soi. Page 7 1) l’accompagnement des jeunes placés en maison d’enfants. 2) L’estime de soi 3) La valorisation pour une meilleure estime de soi. IV) Démarche éducative.

Tessier est consultant et formateur en téléphonie IP, selon lui, l’arrivée de la téléphonie IP n’a pas du tout changé les raisons pour lesquelles on opte pour l’amélioration ou le remplacement d’un système téléphonique ordinaire, il privilégie même une approche à petits pas en se posant d’abord la question de savoir quand faut-on le faire et surtout comment s’y prendre ? Yves Tessier attire notre attention sur l’importance d’éviter de succomber à la mode, il préfère adapter les besoins technologiques

dysfonctions. L’être humain devrait être conceptualisé et compris comme ayant un potentiel à développer des traits de caractère positifs ou vertus (rejoignant ainsi les concepts de tendance à l’actualisation de Rogers, 1959 et d’auto-actualisation de Maslow, 1968). En référence explicite au discours d’Abraham Lincoln, le concept de « bon caractère » (good caracter) est central en psychologie positive. Seligman (2002, p.125-128) formule ce qui pourrait être considéré comme les suppositions de base

conjuguer la motivation et les habiletés d’une personne pour voir ce qu’elle est capable de réaliser. Or, la définition qu’il a donnée s’est vite révélée incomplète. 2) Les théoriciens 2.1 Abraham Maslow (1943)[1] Abraham Maslow est un théoricien célèbre qui a créé la pyramide des besoins. Maslow pense que les conduites humaines sont dictées par la satisfaction des besoins ; « l’homme est donc instinctif, biologique et fondamental ». Il a distingué 5 grands groupes de besoin : • les besoins

aussi aux bien-portants Les premières pierres de la psychologie positive ont été posées dans les années 1960 par le psychologue humaniste américain Carl Rogers. Ce dernier avait forgé le concept de « fonctionnement optimal de la personne », bien que peu de mesures standardisées aient été utilisées à l’époque pour l’évaluer. Un autre psychologue humaniste américain, Abraham Maslow, souligna aussi les biais de la psychologie, mieux armée pour identifier les pathologies que les potentialités humaines. Mais

soubassements de l'analyse des problèmes rencontrés par l’organisation, ainsi que ceux de management à l'échelle des processus de production. Leurs travaux sont à la base de l’école classique et d’autres écoles et approches scientifiques. Dans cette section seront exposées les principales écoles et approches qui ont émergé tout au long du 20ème siècle. 2 ESSECT 2013-2014 Management I.1. L’école classique L’école classique concerne les premiers auteurs qui au début du 20ème siècle ont posé les bases de la

méthodes de travail entraînent des coûts importants. On prend alors conscience de l’importance des pratiques qui visent une meilleure organisation du travail. Les travaux de Frederick Taylor ainsi que ceux de Frank et Lilian Gilbreth débouchent sur une approche scientifique de la gestion du travail. En matière de pratiques de gestion des ressources humaines, on se penche surtout sur l’analyse des postes et la clarification de leurs exigences, de même que sur la description des emplois, la formation technique

considérer comme des managers au sein d’un même groupe, les managers sont tenues de diriger leurs employés en s’appuyant sur les compétences et l’expertise de leurs employés. • Chester BARNARD Il fait le lien entre les visions classique et humaniste du management, il était le président d’une entreprise, il s’inspire de WEBER mais défend la vision d’un système social requérant une coopération intersubjective, il considère que le fonctionnement des entreprise composé d’être humains reposent sur