Approche Humaniste Abraham Maslow

cartes sur un jeu ? Si l’on a oublié le jeu, personne ne s’en apercevra. C’est exactement le même procédé que l’auteur décrit et explique lorsqu’il décrypte la capta on d’informa ons dans une discussion pra quée par les « médiums » ou dans les approches réalisées par les services de renseignements. Le sujet oublie qu’il donne lui-même des informations. Champagne est devenu un classique. À l’époque, la théorie magique majeure était celle de Tony Slydinil qui considérait que, pour faire une appari

la CNSA et l'Union nationale de l'aide, des soins et des services aux domiciles 6 La systémique consiste dans une approche globale d'un problème vécu par une personne, considérant que celle-ci vit dans un environnement interagissant. Elle s'est développée au sein de l'école de Palo Alto. Cette approche est surtout développée aux États-Unis. L'auteur le plus renommé de cette approche est Paul Watzlawick 5 4 de l’intervention et des - 10 - généralisation, elle devra prévoir l’évaluation

éclats sa conception du monde. Aujourd’hui, c’est au tour des humanistes de poser leur ligne de défense loin derrière la ligne de rupture qui s’annonce. Aldo Schiavone proposait celle-ci : que toutes les modifications apportées au corps ou au cerveau soient non transmissibles aux générations suivantes, de manière à laisser l’homme inchangé… Une idée volontairement provocatrice, mais qui révèle la fragilité de nos certitudes humanistes face à des questions nouvelles, qui nous laissent désemparés :

au contact de la réalité des entreprises, ajoute à la pression que vivent les enseignants. Cela leur laisse peu de temps pour batifoler dans les champs disciplinaires voisins et risquerait d’ailleurs de donner l’impression de dispersion… Les approches pédagogiques sont donc essentiellement disciplinaires, sous forme de silos ne communiquant que peu entre eux. Elles donnent l’impression que l’entreprise est une collection de fonctions et non un ensemble organisationnel intégré. Même si la pédagogie

rester au contact de la réalité des entreprises, ajoute à la pression que vivent les enseignants. Cela leur laisse peu de temps pour batifoler dans les champs disciplinaires voisins et risquerait d’ailleurs de donner l’impression de dispersion… Les approches pédagogiques sont donc essentiellement disciplinaires, sous forme de silos ne communiquant que peu entre eux. Elles donnent l’impression que l’entreprise est une collection de fonctions et non un ensemble organisationnel intégré. L’apprentissage

chose pour que ça change : il s’agissait en l’occurrence de créer un mastère réellement fait pour les dirigeants en place, ceux qui pratiquent le management. Comprenant que nous aurions de meilleures chances de réussir en partenariat, nous avons approché l’Insead, où j’enseignais également à l’époque. Mais cela ne nous a pas menés très loin, c’est pourquoi j’ai appelé Jonathan Gosling, à l’université de Lancaster, pour voir si notre projet pouvait intéresser son école. Il fallait qu’il en parle à

chose pour que ça change : il s’agissait en l’occurrence de créer un mastère réellement fait pour les dirigeants en place, ceux qui pratiquent le management. Comprenant que nous aurions de meilleures chances de réussir en partenariat, nous avons approché l’Insead, où j’enseignais également à l’époque. Mais cela ne nous a pas menés très loin, c’est pourquoi j’ai appelé Jonathan Gosling, à l’université de Lancaster, pour voir si notre projet pouvait intéresser son école. Il fallait qu’il en parle à

ces interrogations, nous nous attacherons à rendre compte de la diversité des approches et des points de vue relatifs aux enjeux liés aux usages des technologies dans les sociétés. Pour ce qui est de la problématique spatiale des TIC, le raisonnement démontre que la trame de fond de la plus grande partie de la littérature se rapporte au soi-disant pouvoir déterritorialisant de ces objets. Dans une large mesure, les approches sont similaires. Tandis que certains font planer « le mythe de l’abolition

de l’œuvre poétique baudelairienne, basée sur la mise en évidence de l’imaginaire religieux, d’inspiration notamment biblique, et surtout d’une figuration essentielle du mal : le fantasme démoniaque. Autrement dit, en termes métaphoriques, cette approche critique a essayé d’entrer dans le jardin maléfique du poète Charles Baudelaire par le biais et sous le prétexte d’une figuration essentielle du mal : le démon. Un appareil théorique essentiellement anthropologique a été appliqué au fait littéraire