Apports De La Rationalité Limitée

autre que le marché. La conceptualisation de l’organisation s’est développée en 1970, mais elle s’est heurtée à un certain nombre de problèmes, notamment celui de la conception de la réalité (jusqu’au années 70, on a rationalité parfaite et à partie des 70’s on développe la rationalité procédurale). Section 1 - Firmes et marché La conception néoclassique de la firme a été remise en cause dès les années 30, notamment lorsque Hall et Hitch publient un article intitulé « Théorie des prix et comportement

d’acteurs[2]) qui ne partagent pas les même valeurs, d’où la difficulté de prendre des décisions, car qui croire les scientifiques ou les profanes ? Dans une situation d’incertitude, l’approche fonctionnaliste[3] est remise en cause par le concept de rationalité limitée. Une crise amène toujours à revoir la boîte à outils politico-administrative. Une crise permet d’affiner le positionnement des acteurs. La crise fait peur dans le processus de décision publique. Donc, on envisage une approche des risques

salariat. Les sociologues vont alors tenter de répondre partiellement aux questions suivantes : quels sont les types de pensée et d’action qui expliquent l’existence de certains types d’organisation ? A cet effet, M. Weber propose un type de rationalité, dite rationalité instrumentale à travers des objectifs de résultats, pour caractériser les organisations que sont les entreprises. Autre question à laquelle la sociologie des organisations tentera de répondre : comment les individus et les groupes d’individus

- le secteur de l'économie sociale ou coopératif : les entreprises du secteur coopératif sont des entreprises détenus par ceux qui en bénéficient. Elles sont un mode de décision démocratique (un homme = une voix) et le pouvoir ne dépend pas des apports en capital. On rémunère les associés en fonction de leur activité. Ce secteur va rompre avec une logique capitaliste (les SCOP : Société Coopérative Ouvrière de Production qui sont des sociétés commerciales détenu par les salariés ; coopérative de

répétitives et l’information est fiable. Les décisions de gestion courante : Elles ont lieu sur le court terme, sont nombreuses et répétitives l’information est endogène, complète. Elle définit le périmètre de ses activités et leur équilibre global. La rationalité parfaite du décideur n’est qu’un mythe, la trajectoire stratégique prouve que le stratège n’a pas toujours une version très précise du futur , c’est incertain. B : La planification stratégique. La planification stratégique est un processus

programme post-graduate dans le cadre du "Global Public Policy Network" (GPPN), en partenariat avec Columbia University, la London School of Economics, Lee Kwan Yew School of Public Policy de Singapour et la Hertie School of Governance. II- Les apports de M. Crozier et Erhard Friedberg Les deux auteurs se sont appuyaient sur le raisonnement systémique et stratégique afin de développer les concepts suivants : 1- L'analyse stratégique : les systèmes d'actions concrets L’analyse stratégique développée

sont en relation avec l'entreprise). ? L'entreprise est-elle rationnelle? A l'intérieur de l'entreprise, à cette vision irénique de l'entreprise, peut être opposée la vision de l'entreprise comme organisation, quelles limites (sur la notion de rationalité, et puis sur la pertinence des organisations)? Section 1: l'entrepreneur, le risque, le marché §1 Production et VA A/ La notion de VA Stricto sensu, la VA est vue comme la différence entre valeur de la production et les consommations

'imperfection de l'information 4. L'entrepreneur, un acteur doté d'une rationalité limitée CHAPITRE II. L'approche comportementale de la firme : une rupture décisive CHAPITRE III. Vers de nouvelles théories économiques de l'entreprise A. La théorie des coûts de transaction (Coase et Williamson) 1. Evaluer les coûts de transaction pour rendre la théorie opérationnelle 2. Les hypothèses comportementales : rationalité limitée et opportunisme des acteurs 3. Choisir le mode de coordination le plus

de système décisionnel. 2. Rôle du système décisionnel. Chapitre III : Relation décision / information et critiques. Section 1 : Relation décision / information. 1. Le modèle rationnel. Section2 : Les critiques. 1. Le modèle de rationalité limitée 2. Le modèle comportementale. 3. Le modèle organisationnel. 4. Le modèle politique. 5. Le modèle de la poubelle. Conclusion. INTRODUCTION : Pour l’entreprise l’information est simultanément un instrument de connaissance

l'importance croissante de la rationalité en finalité dans les actions sociales. Cette rationalisation est à la fois une maîtrise théorique de la réalité par des concepts théoriques (la science) toujours plus précis et une maîtrise pratique de celle-ci. Mais c’est la maîtrise pratique en tant que critères grâce auxquels les acteurs sociaux orientent leur action pour mieux contrôler leur environnement que Weber s’intéresse tout particulièrement. C’est afin d’étudier cette rationalité pratique, donc l’histoire