Apports De La Rationalité Limitée

compromis = comment on élabore des compromis dans les organisations, les entreprises ? Compromis nécessaires car de nombreux acteurs dans l’organisation, acteurs qui ne se comprennent pas toujours, par exemple ingénieur/commercial. Les agents ont des rationalités différentes dans l’organisation. Pour que l’entreprise fonctionne -> tisser des conventions, rechercher des compromis sinon l’entreprise explose. Culture/identité Culture/identité au travail Sainsaulieu Idée que l’entreprise et l’organisation

décision » 1947 Lien avec le référentiel  Thème1.3 Diriger et décider/ Décision et processus de décision Idées développées Simon met en doute le modèle de prise de décision de Harvard (modèle LCAG) qui suppose la parfaite rationalité des décideurs dans la droite ligne de la théorie microéconomique classique. Il relève que l’optimum est rarement atteint dans toute décision car : le décideur cherche avant tout un certain niveau de satisfaction, il ne dispose que d’informations

l’ampleur et de la profondeur de l’info recherchée : En effet, la BI sera orientée vers des infos plus générales et moins profondes. La CI sera orientée vers des infos moins générales mais plus profondes. Ces typologies nous paraissent avoir une portée limitée dans le sens où il serait difficile de vérifier sur le terrain leur application d’autant plus que l’info représente un bien particulier qu’il serait difficile d’en juger l’étendu ou la profondeur. 2- Evolution du concept de Surveillance de l’Environnement

puisqu’il s’agit dans tous les cas de tendre vers l’efficience de l’organisation. De plus, quelles que soient la nature et l’importance des transformations envisagées, on retrouve toujours dans les processus de conduite du changement le même souci de rationalité, celle-ci étant supposée garantir l’optimalité des solutions à mettre en œuvre. Performance et changement : l’élargissement du champ de la réflexion La notion de changement dans les organisations est indissociable de celle de performance. Or, cette

développement de la science économique est un facteur de l’émergence de politique publique. Science économique s’est penché sur la rationalité dans l’économie, les chercheurs se sont penchés sur la rationalité comment atteindre ses objectifs avec le coût le plus faible. Il faut maximiser le profit. Logique de recherche de rationalité, cela a amené à une recherche de rationalité dans la prise de décision publique. De plus les critiques envers l’état se sont multipliés dans les années 70. Depuis les années

Columbia-Sony, Disney-ABC etc. Comme toutes les FMN ces sociétés ont des stratégies dites globales ou mondiales : elles visent à la « conquête » de marchés étrangers pour faire toujours plus de profits (loi du capitalisme); les FMN ont leur propre rationalité, parfois indépendante par rapport à leur pays d’origine, ce qui fait qu’elles peuvent opérer des fusions /achats de concurrents pour être bien placé sur un ou plusieurs marchés. Elles peuvent procéder aussi à certaines délocalisations des unités

par imitation. Les actes des individus dotés de sens méritent d’être décrits. Le fait social est objectif, on le recueille en observant. Le sociologue observe et recueille les faits mais doit aussi les interpréter. La réalité sociale n’est pas limitée à observer ce que font les gens, mais aussi à savoir ce que pensent les gens de ce qu’ils font. Ex : la violence > recueillir les faits de la violence (délits) et en même temps ce que les gens pensent de la violence et de ces faits. L’analyse

l'accent sur les similitudes et non sur les dissemblances. Ce qui est commun aux organisations c'est cette rationalité, rationalisation (recherche d'une rationalité accrue). Celle-ci a tendance à se répandre dans toutes les organisations et touche petit à petit toutes les activités humaines. Le fait que dans la vie d'un être humain tous les domaines soient touchés par cette volonté de rationalité cela va entrainer la réification des hommes. (Res facere – res: la chose facere: faire) C'est essayer

capitalisme par elles-mêmes, et par suite n’envisage aucun frein à son développement en restant dans une optique pleinement productiviste, d’autre part, il reste plus qu’optimiste en ce que, pour lui, la société capitaliste est capable de créer un apport de production qui serait adapté aux besoins d’une forme plus haute de civilisation humaine. Néanmoins cet optimisme, encore très actuel au dix-neuvième siècle, s’estompa progressivement, incitant en cela la théorie économique à prendre en compte la

doit prévoir des passerelles afin que chaque division soit représentée « consultativement » dans les autres divisions. Il pense que la décentralisation procure initiatives, responsabilités, efficacité et réduit considérablement le temps de réponse apporté à tout problème. La condition pour que " ça marche " c'est la coordination et la circulation horizontale des informations. On imagine le caractère révolutionnaire de ces idées entre 1925 et 1935 au temps du Taylorisme-roi. 9 Alfred Pritchard Sloan