Apports De La Rationalité Limitée

système d’information est donc un sous-système du système entreprise, qui produit de l’information pour assister les êtres humains dans les fonctions d’exécution, de gestion et de prise de décision. On pourrait concevoir un système d’information sans apport informatique. Mais le concept n’est réellement intéressant qu’en raison des capacités et de la puissance des ordinateurs. Tout système d’information est constitué par : * L’ensemble des informations formelles circulant dans l’entreprise ;

Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : erudit@umontreal.ca Document téléchargé le 2 July 2010 07:23 Crises boursières, bulles spéculatives et rationalité économique Marie-Christine ADAM et Ariane SZAFARZ* ABSTRACT — Stock Market Crashes Spéculative "Bubbles" and Economical Rationality In October 1987 the stock markets across the world witnessed an unprecedent crash of which both economists and

les objectifs, les stratégies et les décisions Doc. 7 Les difficultés de la prise de décision Doc. 8 Les différentes catégories de décisions B. Le processus de décision Doc. 9 Les différentes étapes du processus de décision Doc. 10 La rationalité du processus et ses limites Doc. 11 Des décisions pas toujours pertinentes… Observer Chantier pour la création du TGV Est. Ce chantier est le résultat de multiples décisions : décision de création de la nouvelle ligne TGV, choix du tracé

qui augmentent si les transactions sont longues et lourdes Le recours à l’organisation coûte moins cher = existence des firmes Williamson, la théorie des coûts de transactions et ses fondements : Les postulats de base : * La rationalité limitée * L’opportunisme * L’asymétrie informationnelle * Maximiser son gain Si l’un des deux acteurs en sait plus que l’autre, alors même si la décision du client est rationnelle, si le fournisseur en sait plus, il y a asymétrie d’information

organisationnelle. Or, on remarque que l'Ecole classique regroupe en son sein des courants de pensée aux préoccupations differentes mais marqués par une même approche de l'organisation, à savoir la recherche de la rationalité. (Rationalité productive : Taylor ; Rationalité administrative : Fayol ; Rationalité structurelle : WEBER) 1-1) Le Taylorisme et le management scientifique v Frederick Winslow Taylor : F.W.Taylor (Etats-Unis, 1856-1917) est considéré comme l'un des membres fondateurs de la théorie des

l'autonomie intellectuelle minimale lui permettant de comprendre ce qui lui est demandé, donc lui redonner un certain pouvoir. Ce n'est pas franchi dans les applications des théories de l'école des relations humaines, qui furent peu nombreuses. Le principal apport des théoriciens de ce mouvement consiste en la prise en compte de l'homme comme acteur de groupe. Le facteur technique n'est ainsi plus privilégié par rapport au facteur humain. Mais ces mêmes théoriciens ne considèrent pas encore le groupe comme

Mittal ? Etc., 1 Michel Carrard / 2011-12 2 Economie de la firme et des organisations Séance 1 Michel Carrard / 2011-12 Introduction à l’économie des entreprise L’objectif de ce cours est d’apporter des éléments théoriques pour pouvoir apporter des réponses à ces questions ; En effet, l’économie des entreprises s’est enrichie ces dernières années d’un ensemble d’approches nouvelles : théorie de l’agence, théorie des coûts de transaction, théorie des compétences, théorie évolutionniste ;

l’action collective serait spontanée, mimétique et tendanciellement dangereuse. Dans la première partie, nous verrons que les sciences sociales ont cherché à se départir de cette appréhension de l’action collective par une réflexion sur la rationalité de l’acteur et l’ouvrage de Mancur OLSON intitulé La logique de l’action collective (1965) constitue à cet égard un tournant majeur dans la réflexion. En effet, celui-ci a permis d’élargir le champ de l’analyse en montrant que l’action

mesure car les possibilités de pointage sont inégalées. Cependant, la rémunération au rendement a largement disparu. On parle d'une dédramatisation aujourd'hui du calcul des temps dans un principe d'autocontrôle. 4) Les apports et les limites du modèle Taylorien * Les apports L'amélioration de la productivité : augmentation de la valeur ajoutée et l'amélioration des revenus. Le modèle fordiste taylorien est à l'origine de la plus formidable croissance des gains de productivité de l'histoire

salariés. Le lien entre la macro et la microéconomie : La microéconomie est un fondement essentiel à la macroéconomie, on est obligé de la connaître. Apport essentiel donné par la microéconomie. Caractériser son approche : Approche éminemment normative de la microéconomie : « ce qui devrait être ». Les hypothèses comportementales sur la rationalité des acteurs sont parfois utopistes. L’hypothèse de la concurrence qui est pure et parfaite : « ce qui n’est jamais le cas ». Approche très rarement