Apologue Allégorie

pins", " les rameaux tordus font cent coudes difformes". Cette nature humanisé ou aninaimée apparait avant tout comme immortelle, notament dna sles trois premiers poèmes, qui évoquent le cycle sans fin de la vie : Lamartine utitlise utilise une allégorie pour s'adresser aux rochers "que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir". Dans le texte de Vigny, la nature détermine elle-même ce cycle dont-elle se nourrit éternellement : "mon hiver prend vos morts comme son hécatombe" signifie que les vies humaines

L’Amour et la Folie : une allégorie de la passion amoureuse Cette fable, tout ridicule qu’elle est, propose néanmoins une morale assez profonde. Ce mythe de la dispute entre la Folie et l’Amour sert pour la fabuliste à expliquer en quoi le sentiment amoureux est bien souvent incompréhensible. Il semble « guidé par la Folie ». L’amant ne peut pas toujours expliquer les motifs de ses actes, ainsi qu’il ne peut expliquer les raisons de sa passion. Cette fable est en somme une allégorie de la passion amoureuse

Texte 1) Le Loup et l’Agneau Jean de La Fontaine, est né à Château-Thierry le 8 juillet 1621 et est mort le 13 avril 1695 à Paris. Il est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. Sa carrière de poète commença en 1658 avec la rencontre du ministre Fouquet. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition

SEQUENCE 1 : la fable. I/ DEFINITION : Etymologiquement, le terme fable vient du latin …………………. qui signifie « récit ». En effet, la fable est un court ……………. en vers ou en ……………. mettant le plus souvent en scène des ……………………. et incluant une ……………………. qui peut être explicite ou …………………….. . La visée de la fable est double : plaire et ……………………….. . La fable est ainsi une des variantes de …………………………… défini comme « un court récit exposé sous forme allégorique et

l’époque : la Vénus au centre du tableau n’est pas seulement la déesse de l’amour, mais aussi une allégorie de l’Humanitas ; la Flore est une allégorie du temps et de ses métamorphoses ; les trois Grâces et leur corps de jeunes florentines sont des allégories de la jeunesse et de la féminité. Quant à Mercure, représenté ici en jeune adolescent préoccupé d’oranges, dans ce jardin féminin, il devient comme une allégorie insolite et décalée de la paix, de la connaissance et de la beauté. Question 4 La beauté

hypocrisie - alceste orgueilleux & excessif = il voudrait que tt la sté pense comme lui => tyrannie de l’idée d’imposer sn avis Vers 132 < dble personnificat° + parallélisme = allégories « mérite » et « vertu » => alceste incarnat° du mérite & vertu = orgueil Vers 137< chmps lexical de l’hypocrisie : « grimace » … < hypocrisie de la sté = disparité E≠parraitre -> « nommer » = désignat° d’ordre moral =

son [d] « D’ongles, de poings, de pieds… » qui accentuent le martyre de la mère. Puis les verbes au participe passé comme « infligée », « éplorée » signifient qu’elle subit l’action. La répétition du mot « coups » acharne l’idée du combat. Cette allégorie de la lutte fratricide c'est-à-dire entre deux religions montre une mère qui meurt. Donc elle représente l’affaiblissement du peuple. Par ces moyens, Agrippa d’Aubigné critique la guerre et touche la sensibilité du lecteur par le massacre.

leurs pensées à l'aide des gestes et du langage. 3) La pièce de Caldéron trouve son inspiration dans la religion, notamment des Mystères. Elle met en scène des allégories, des personnages représentant une image, une idée abstraite ou une notion morale difficile à représenter directement, comme "Le Monde" dans cet extrait. 4) Une allégorie représente de façon concrète et imagée les divers aspects d'une idée abstraite. Elle se repère souvent grâce à l'emploi de la majuscule. 5) Une mise en abyme est

avec tout de même un renforcement grâce au mot " barreaux ".  Baudelaire ne se contente plus de décrire mais de peindre.  Cette absence de liberté amène l'angoisse au sens propre.  3. L'angoisse :  De nombreuses images, comparaisons et allégories font basculer le lecteur vers une atmosphère fantastique, angoissante.  Cette angoisse est introduite, dans les 3 dernières strophes avec la notion de claustrophobie inhérante à la précédente référence.  Cette claustrophobie est vécue grâce

tue ». La symétrie du vers 6 : « La douceur / qui fascine // et le plaisir / qui tue » traduit bien cette ambivalence. Est-ce tout à fait par hasard si la rime riche des vers 2 et 3  fait entendre à deux reprises le mot « tueuse » ?    b) Une allégorie de l’inaccessible Idéal : ·Le poète voit dans la passante l’incarnation de l’Idéal. Notons d’abord le portrait peu flatteur que le narrateur donne de lui-même dans ce poème : un être hypersensible, qui ressent la rue, la foule comme une agression