Apologue Allégorie

des symboles. Un ensemble d'indices permet d’associer l’image à une idée comme la justice, le temps, la mort etc. Ex: - Une femme aux yeux bandés tenant une balance : allégorie de la Justice. - La statue de la Liberté : allégorie de la Liberté. - Marianne : allégorie de la République - La Colombe et le rameau d'olivier : allégorie de la Paix. Lorsque l’auteur la fait parler, il s'agit alors d'une prosopopée. L’apostrophe Figure de style qui consiste à interpeller une personne vivante ou morte

intrduit par ''Où'' = pronom relatif (ou sans accent est conj. de coordina°. Strophe évoquant un sentiment de claustra° par le chp lexical du lieu clos : ''cachot'' v.5, ''murs'' v.7, ''plafond'' v.8 = malaise ds l'âme du poète. ''Espérance'' = allégorie décrite ds une lutte vaine ; ''aile timide'', ''battant les murs'' = allitéra° en dentale (d,t) soulignant une succession de chocs cntre les obstacles. Mal-être exprimé aussi par l'atmosphère insalubre: ''humide'' v.5 et ''pourris'' v.8 L'allégorie

l'est pas. Ex : les branches des arbres hurlaient sous l'effet du vent. L'allégorie : est une forme de personnification approfondie puisqu'elle donne corps à une idée. Ex : une femme aux yeux bandés tenant une balance : allégorie de la Justice Métonymie : désigne un référent par un terme qui entretient avec lui une relation facilement identifiable. Ex : C'était très bon, j'ai mangé tout mon assiette. Périphrase : une expression simple et

de vers, Victor Hugo a su peindre le cadre, les personnages avec réalisme, force d’imagination et un appel à la compassion. De plus, ce poème n’est pas qu’un poème émotion, c’est un poème combat. Le lecteur peut constater que ce poème est un apologue, un message politique (le peuple est écrasé par une force cruelle). Cette scène indigne est le premier temps de l’attaque.

la Garisou de Marianno (la Guérison de Marianne) de Guillaume Lavabre. Marianne : * Incarne la république française et représente les valeurs de la république et des citoyens français : « Liberté, Egalité, Fraternité ». Il s’agit d’une allégorie (ou personnification). = Le symbole de Marianne montre que les symboles de la République française tirent leur origine surtout de la Révolution française et de l’existence des citoyens français. Cocarde tricolore : * Symbole de l’attachement

réécriture est plus radicale en ce qu’elle crée un mythe nouveau, même si ce mythe est toujours créé à partir d’une histoire fondamentale. Nous conclurons sur cette phrase de Tournier : « la fonction de l’écrivain est d’empêcher les mythes de devenir des allégories », autrement dit des mythes morts. Sans la création littéraire et artistiques, les mythes mourraient, et avec eux l’expression de grandes questions existentielles de l’humanité.

« horreur du silence » (l.35) ; - construction narrative sophistiqué → différence entre l’histoire et la narration ; - condamnation de la vie monastique, axés sur la souffrance. II. La dimension symbolique du texte. 1. Allégorie de la duchesse et du général. - allégorie : forme de représentation indirecte qui emploie une chose (une personne, un objet, une action) comme signe d'une autre chose ; - duchesse symbolisée par le couvant ; - « roc » (l.48) symbolise le général → représentation phallique

"prison" ils sont en prison, présent de narration, le poète évoque les conditions de détentions. Fin du poème, on assiste à la mort des R. Coté inconfortable, dans la prison "grabat" lit de mauvaise qualité en paille ou en bois, personnification ou allégorie de l'aube. V41. V41/42 « l’aube cruelle » exécution a mort. la mort est raconté longuement au présent de narration,= impression que l’action est en train de se dérouler. (Personnification) « Répétant » est au participe présent. ; Description du

Le poème est composé en tout début de deux quatrain puis ensuite en tercet donc on peut dire que c'est un sonnet. Ces vers composé en alexandrin a l'exception de la dernière strophe qui est en hendécasyllabes. On observe dans cette œuvre des allégories, tout d'abord le démon qui l'allégorie du mal qui est cité dans le premier vers et qui va venir le perturber tout au long de l'histoire.On observe une comparaison avec « il nage autour de moi comme un air impalpable » puis une métaphore « Je l'avale

/ Et rongé d'un désir sans trêve ! ». Ce passage fait référence au fameux "chant du cygne", puisque dans la légende celui ci est censé pousser un chant sublime à l'instant de sa mort.Ce chant peut bien sûr renvoyer au poème que nous lisons Cette allégorie permet à Baudelaire d’éclairer la condition de l’homme moderne : lorsque le Cygne s’échappe de sa cage, il est désorienté « gestes fous» et n’est plus dans son état naturel, il a quitté la ménagerie car il pensait pouvoir trouver l’eau de son lac