Apologie De Socrate Rhétorique

identifier les arguments et les exemples Cours Chapitre ➜ 1. Les arguments n L’argument est une idée qui permet d’appuyer ou de réfuter une thèse. C’est une le locuteur s’adresse à la raison du destinataire - travail de l’éloquence : figures de rhétorique destinées à émouvoir, à impressionner, apitoyer ou effrayer le lecteur, rythme étudié, effets d’insistance… - prise en compte de la personnalité du destinataire - expression de la sensibilité personnelle de l’auteur - registre pathétique, lyrique

d’un escalier qui renvoie à une succession de connaissance et qui contribue à l’élévation de celui qui les possèdent (cumulative et qualitative). Références textuelles : 1ère référence : Platon, le mythe de la caverne. C’est un récit produit par Socrate où il veut déterminer la situation humaine à l’égard de la culture, païdega (qui signifie pédagogie), autrement dit la formation, la culture, l’éducation. C’est une maîtrise de soi. Ce mythe intervient dans une réflexion sur la formation des gardiens

parascolaires | |Les présocratiques |OC |Pléiade ou Fo 1 vol. |N(e) | | |TC :Les penseurs grecs avant Socrate |GF | | |*Héraclite |Fragments |GF |

que mon maître d’école le connaissait. » Mais ajoute Montaigne, « j’avais plus de six ans que je ne comprenais pas encore plus de français ou de périgourdin que d’arabe. » De 7 à 13 ans, Montaigne est envoyé suivre le « cours » de grammaire et de rhétorique au collège de Guyenne à Bordeaux, haut lieu de l'humanisme bordelais, dirigé par un Portugais, André de Gouvéa entouré d’une équipe renommée : Cordier, Vinet, Buchanan, Visagier. Rétif à la dure discipline de l’époque, il gardera le souvenir des

que mon maître d’école le connaissait. » Mais ajoute Montaigne, « j’avais plus de six ans que je ne comprenais pas encore plus de français ou de périgourdin que d’arabe. » De 7 à 13 ans, Montaigne est envoyé suivre le « cours » de grammaire et de rhétorique au collège de Guyenne à Bordeaux, haut lieu de l'humanisme bordelais, dirigé par un Portugais, André de Gouvéa entouré d’une équipe renommée : Cordier, Vinet, Buchanan, Visagier. Rétif à la dure discipline de l’époque, il gardera le souvenir des

pourquoi Socrate , par ex. , même si le jugement qui le condamne à mort est injuste aux yeux de ses disciples , refuse absolument de s’y opposer et de bafouer les lois de la cité auxquelles il se sent redevable de ce qu’il est devenu comme homme et comme citoyen : cf. Le Criton , la prosopopée des lois : il y a un contrat tacite entre le citoyen et les lois ; désobéir à celles-ci , c’est porter atteinte au fondement de la cité , violer ce pacte et ce serait contradictoire avec l’attitude de Socrate qui

en justice un autre qu’il estime dangereux pour la cité. 6/ Les critiques de la démocratie par les sophistes Le 1er est Socrate, a été un Bouleute. Il s’aperçoit de la dérive de la démocratie. Va critiquer les institutions de la cité, la flatterie (les discours que les citoyens aiment entendre). La cité va se retourner contre lui, l’accuser du crime d’impiété. En 399, Socrate accepte sa condamnation à mort. Les sophistes : aujourd’hui représente un mot péjoratif, à savoir un beau parleur. A Athènes

commentaires voués à l’échec sont ceux qui : - racontent l’histoire (paraphrase), - suivent l’ordre du texte (explication linéaire), - séparent le fond et la forme du texte, - présentent une juxtaposition de remarques grammaticales, stylistiques, rhétoriques sans commentaires pertinents. Consignes diverses   - Ne pas suivre l'ordre du texte   - Toujours faire des citations du texte   - Ne jamais séparer la forme du fond. Par exemple, tout signalement d'une figure de style doit être accompagné d'un

........................................................................................................................................... 226 La finalité du savoir, de sa recherche, est-elle uniquement de nature théorique ? Platon, Apologie de Socrate, 21b - 22e : c’est d’abord au désir du bien que la recherche du vrai en tout homme est assujettie. Se poser la question des valeurs – celle du choix des valeurs – c’est se poser la vraie question de l’homme et de la connaissance de soi. Le

= Platon & Aristote. -> Les premiers éducateurs du monde grec ont été des poètes dont Homère avec réflexion sur l’Iliade. Chez Platon, véritable conception de l’éducation et fut élève de Socrate. Platon sera aussi l’inspirateur des sophistes qui révolutionneront aussi le monde grec avec l’art de la rhétorique. Platon rêve d’une société parfaite – former ceux qui plus tard gouverneront la cité. Sens moral des éducateurs dans le sens qu’ils doivent guider leurs élèves vertu vers la vertu et la vérité