Animalité

— L’homme est la seule créature qui doive être éduquée. — La discipline empêche l’homme de se laisser détourner de sa destination : l’humanité. Mais la discipline est purement négative car elle se borne à dépouiller l’homme de son animalité ; l’instruction, au contraire, est la partie positive de l’éducation. — La sauvagerie est l’indépendance au regard des lois. La discipline soumet l’homme aux lois de l’humanité. Cela doit avoir lieu de bonne heure. Ainsi on envoie les enfants

attirance, émerveillement envers Laurent. Thérèse ressent une contemplation et des frissons envers Laurent. Elle est placide. Mais Thérèse reste bouche bée devant la carrure de Laurent elle n’avait jamais vue un homme. Elle reste étonnée devant son animalité. Elle voit en Laurent l’homme viril, puissant et fort. Thérèse a une forte admiration envers Laurent. On peut dire aussi que le champ lexical du regard est employé. Le jeudi soir quand Laurent était là, la jeune femme ne chercher pas à descendre

en communauté, mais bête sauvage. La bête à les moyens de vivre seule et sans aide, les animaux vivent en société car il a besoin des autres pour satisfaire ses besoins. Pour l’homme, parole détermine le type de communauté de l’humain. Mais c’est animalité de l’homme qui le conduit à vivre en société (analyse grec de la soc moderne)  nous vivons en soc parce que nous sommes des animaux. Communauté non humaine Nietzsche, instinct grégaire car l’homme est un animal  vie en troupeau, ne pas être une

vient en aide physiquement à l'homme de la maison. Lors du malaise de Camille, Thérèse l'a «soulevé», «transporté» (L.25) en y déployant toute sa force (L.26). Ensuite nous pouvons observer qu'il se dégage de Thérèse une certaine animalité. En effet elle marche « sans faire de bruit », « reste muette et immobile » tel un félin qui attend sa proie, ou qui attend le moment propice pour s'élancer. Ceci est majorée par la gradation utilisée par l'auteur: « On sentait en elle des souplesses

3- Si les hommes ont effectivement besoin d'être gouvernés, c'est au sens d'être administrés par des serviteurs de la loi et non par des maîtres. Autant dire qu'ici le terme "besoin" ne doit pas être pris au sens de nécessité inscrite dans une animalité mais au sens d'exigence accompagnant l'existence vraiment humaine. Les hommes n'ont d'ailleurs pas de nature fixe, chacun étant une personne, une fin en soi.

endroit insalubre et très petit : « sur de la vieille paille » Le terme « niche » est normalement destiné aux animaux ; la « paille » peut désigner la litière des vaches or il est employé pour désigner le logement indécent de Gervaise, c’est une animalité. Nana t0ermine sa vie dans une chambre d’hôtel, bien loin du luxe de son appartement. Il y a une opposition des pronoms personnels : on ≠ elle « on la chargeait des salles commissions » ; « on la découvrit ». Le pronom « on » montre que les autres

reste. Il pense que sa taille imposante et son statut sont des motifs suffisants pour provoquer et ridiculiser le moucheron en l'insultant (V1). Passons au portrait physique. Le lion a une description qui montre bien sa force, sa violence et son animalité (V 15, 20 et 24), alors que le moucheron est représenté comme un animal petit et fragile. Le fait que le moucheron, ce petit animal insignifiant aux yeux du lion, gagne "la bataille" donne une dimension comique et parodique à la fable. En conclusion

autres. Il menait une vie monotone. Refus d'accepter son nouvel état, ne veut pas reconnaître qu'il est un insecte. Inquiétude de la soeur pour son frère => complicité. Gregor à une part d’humanité car il pense. Il y a une lutte constante entre animalité/humanité. Métamorphose progressive, changement d’apparence, sa voix évolue, il n’aime plus sa chambre (perception différente de l’environnement qui l’entoure, différents plaisirs => grimper aux murs. Il est sorti de sa chambre (=monde clos) pour

Selon Kant la notion même de bonheur pose d’abord un problème, car le contenu concret (empirique) en est impossible à cerner. « Le concept de bonheur n’est pas un concept que l’homme abstrait de ses instincts et qu’il extrait en lui-même de son animalité, mais c’est une simple Idée d’un état, à laquelle il veut rendre adéquat cet état sous des conditions simplement empiriques (ce qui est impossible) » 1 De même il pense que le bonheur supposerait que nous puissions satisfaire tous nos désirs, pleinement

elle n’est pas présente, nous ne sommes que des êtres humains vulnérables, petits, nu. Merleau-Ponty considère qu’il n’y a pas de frontières entre la culture et la nature car elles constituent un tout, la culture servant à s’échapper de cette animalité dont l’homme est originaire et dont il est pourvu toujours un minimum. La culture se mélange à la nature pour l’améliorer, dans une quête de perfectionnement de l’homme et de le rendre plus humain. Merleau-Ponty affirme qu’il n’y a pas de nature