Analyse Stratégique Crozier

les modèles bureaucratiques et entrepreneuriaux de l'organisation. Dans le chapitre 2 de son livre « l'action contrainte, organisations libérales et domination. », David Courpasson critique de nombreuses analyses de la sociologie française des organisations, notamment des auteurs comme Crozier, Freidberg (dans leur ouvrage : l'acteur et le système) ou Segrestin, Dubar, Reynaud, etc. il s'oppose à l'organisation comme modèle libéral, il faut penser autrement la sociologie française que par la conception

informelles peuvent également jouer un rôle positif. La bonne entente dans un groupe peut permettre d'améliorer les résultats (alors que Taylor pensait lui que les relations informelles étaient dangereuses). 3) Michel Crozier, l'analyse stratégique Point de départ de son analyse : il concilie les 2 approches concurrentes du fait organisationnel développé par la sociologie américaine. • Approche d'Harvard qui s'inspire des travaux d'Elton Mayo : productivité des travailleurs dépend de la qualité

1. Une présentation descriptive et théorique de la relation de pouvoir De nombreux sociologues, notamment Crozier et Friedberg, se sont intéressés à la notion de pouvoir au sein de l’organisation. 1.1. La définition de la notion de pouvoir Crozier et Friedberg définissent le pouvoir comme étant : "Le pouvoir de A sur B correspond à la possibilité pour A d'obtenir que dans sa négociation avec B, les termes de l'échange lui soient favorables." Le pouvoir est ici appréhendé par rapport à l’intérêt

MANAGEMENT Cas : GDF SUEZ. I) Analyse de la situation de l’entreprise : 1. Identifier les parties prenantes, leurs intérêts et leurs moyens d’action. Selon Freeman, les parties prenantes de l’entreprise sont ceux qui peuvent affecter les objectifs ou êtres affectes par les objectifs organisationnels de l’entreprise. Dans le tableau (voir annexe), on verra les parties prenantes, leurs intérêts et les moyens d’action au sein de GDF SUEZ. II) Identification du problème de management

cadre mondial avec les manifestations altermondialistes. Tandis qu’une organisation est un groupe d'individus qui présente la particularité d'être structuré. Lorsqu'il s'organise, le groupe se dote de règles et choisit un statut juridique. Selon CROZIER, l’organisation est une réponse au problème de l’action collective. Il faut savoir d’abord que l’action collective n’est pas un phénomène naturel, c’est un construit social ou artefact humain, c'est-à-dire un objet artificiel construit par l’homme

&Né en 1922 à Sainte-Menehould (Marne), Michel Crozier mène des études de droit et obtient une habilitation à diriger des recherches en sociologie en 1963, puis devient directeur de recherches au C.N.R.S., professeur de sociologie à Nanterre, et professeur à l'Institut d'études politiques de Paris en 1975. Il a également enseigné à Harvard. Il s'est surtout intéressé au monde des employés et des fonctionnaires et a contribué à la diffusion d'une vision sociologique de la bureaucratie. 1. Une sociologie

gouvernance posé par le projet des dirigeantsde GDF SUEZ ? Comme le souligne Cyert et March une entreprise est « un groupe de participants aux demandes disparates ». La fusion de ces deux entreprises GDF et SUEZ va provoquer deschangements stratégiques. Pour lesquelles vont avoir lieu des rivalités entre les parties prenantes propres aux entreprises. III) Proposition de solutions : 3. Quelles solutions ont été trouvéespour résoudre ce problème ? Quelles peuvent en être les conséquences 

COURS de M. Yvon PESQUEUX "Contrôle des Connaissances"   Michel Crozier, Erhard Friedberg "L'ACTEUR ET LE SYSTÈME : Les contraintes de l'action collective" Editions du Seuil, 1981. Première parution en 1977, dans la collection "Sociologie politique"   SOMMAIRE : * I - Les auteurs * II - Questions * III - Postulats * IV - Démarche * V - Résumé de l’ouvrage * VI - Conclusion     I – Les auteurs Michel Crozier Directeur de Recherche émérite (CNRS) Diplômé d'HEC. Docteur en droit

 on appelait ce ralentissement volontaire des cadences  « faire le soldat ». C’est à ces freins à la production que le jeune contremaître Frederick Taylor est confronté au début  de sa carrière, à la fin des années 1870. Il s’y attaque avec vigueur. Chronomètre en main, il observe et analyse avec  soin les modes opératoires des meilleurs ouvriers, puis recompose le travail en combinant les gestes les plus efficaces. Il  obtient  ainsi  la  meilleure  façon  d’opérer, « the  one  best  way ».  Sélectionnant  avec  soin  les  hommes  à 

de vivre. Lorsqu'il se livre à une enquête il utilise une méthode plurielle, il refuse d'observer un phénomène à partir d'une méthode unique ce qu'il va appelé la méthode " in vivo". La nature de la société: A partir des ces 2 précédentes analyses ( présent + complexité) va l'amené à avoir une nouvelle vision de la société ou il conçoit le monde social comme une entité ou travaillent en permanence des forces qui s'assemblent et s'opposent ou ordre et désordre se mêlent, ou les phénomènes d'émergence