Analyse Strategique D Airbus

premières, pièces détachées, équipements, prestations de transport, de conseil, de nettoyage, etc.)Marché d’entreprise à entreprise ● Marché très important car environ 2/3 du total deséchanges commerciaux des pays de l’UnionEuropéenne ● Ex : Intel, Airbus, Siemens, IBM, General Electric,Caterpillar, ... Illustration B2C et B2B : Types de marketing B2B     1. Marketing de grande diffusion S’adresse à une clientèle professionnelle mais entrès grand nombre Ex : fourniture de bureaux, informatique

TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 1. ANALYSE DE LA SITUATION ACTUELLE 3 1.1 Activités stratégiques 3 1.2 Environnement interne et externe 3 1.2.1 Environnement interne 3 1.2.2 Environnement externe 5 1.2.3 Étude comparative 7 2. SITUATION FINANCIÈRE 9 3. MISSION, VISION ET OBJECTIFS 11 3.1 Mission 11 3.2 Vision 11 3.3 Objectifs stratégiques 11 3.4 Besoins des parties prenantes 12 3.5 Les facteurs clés de succès 13 4. OPTIONS STRATÉGIQUES 14 4.1 DEVANCER L’AGRANDISSEMENT DE L’AÉROGARE

---------------- Département de Gestion ---------------- MEMOIRE DE MAITRISE Option : Gestion et Administration des Entreprises THEME : QUEL IMPACT A L’ANALYSE DE LA CHAINE DE VALEUR DANS LE PROCESSUS DE DECISION STRATEGIQUE Présenté et soutenu par : Directeur de mémoire : ZAGHRE T. Euloge Année Universitaire 2003-2004 BURKINA FASO Ministère des enseignements Unité

paradigmes, d’une nouvelle conception de la valeur de l’information, qui, en ce début du 21e siècle, est l’élément stratégique dans toute perspective de croissance intéressant à la fois les pays du Nord et les pays du Sud. Après la Société agraire est apparue la Société industrielle dans laquelle les matières premières, surtout le pétrole et l’uranium, étaient les richesses stratégiques qu’il fallait contrôler. Aujourd’hui, le monde entre de plein pied dans la « société de l’information », en ce début

intellectuelle n’autorisant, aux termes des articles L.122-4 et L.122-5, d’une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective », et, d’autre part, que « les analyses et les courtes citations » dans un but d’exemple et d’illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite ». Cette représentation

..........................19 1. L’application de l’intelligence économique sous un angle défensif...........................................................................................19 2. L’intelligence économique comme arme offensive et stratégique de l’entreprise ................................................................................26 B - LES PME : AVERTIES MAIS SANS RÉELLE MISE EN ŒUVRE LE PLUS SOUVENT .........................................................29 C - LA VALORISATION

Stratégie d'entreprise, le cas Air Sud-Ouest ------------------------------------------------- Sommaire I- Identification du métier / business de l’entreprise II- Segmentation stratégique III- Analyse de la dynamique sectorielle et concurrentielle IV- Diagnostic des ressources V- Analyse de l’efficacité managériale VI- Recommandations I- Identification du métier / business de l’entreprise : qui sommes-nous ? * Contexte du transport aérien Le transport

(P. 7 À 12) Textile ALLER PLUS LOIN (P. 13 À 15) Changer d’organisation : redéfinir les priorités dans l’entreprise ARGUMENTS (P. 4 À 6) Points de vigilance Une approche globale pour réussir ; pas de changement sans concertation ; bien analyser tous les aspects du changement. Quand le dialogue se redynamise Service Les nouveaux défis des entreprises Interviews de Pascal Kern, chef de projet chez De Dietrich ; Philippe Lefebvre, sociologue ; Évelyne Blondeau, conseillère chez Damart

quotidienne, l'organisation est confrontée à une multitude de choix. Pour diriger une organisation, l'équipe dirigeante doit prendre des décisions qui vont engager et garantir son avenir. Ces décisions peuvent revêtir plusieurs formes, des décisions stratégiques aux décisions opérationnelles, sans oublier les décisions exceptionnelles et les décisions à caractère routinier. Toutefois, derrière ces aspects théoriques, il ne faut pas oublier que « décider, c'est transformer l'information en action » (J. Forester)

raisonnement à la négociation d’un projet de regroupement entre firmes. La différence de poids économique, la menace d’une opération hostile sur l’une des parties ou encore le caractère asymétrique de la complémentarité des actifs de A et B au plan stratégique constituent quelques exemples de sources de déséquilibre dans le pouvoir de négociation des partenaires. Conformément au principe d’efficience qui gouverne la théorie de l’agence, les acteurs de la relation de coopération vont chercher à réduire